Atlas V 411 (OSIRIS-REx) - 8.9.2016
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Pour poursuivre le sujet (maintenant classé nécro-post depuis) qu’avait ouvert Ripley en 2007, nous sommes en 2011 et on reparle de nouveau d’OSIRIS.
Une équipe de scientifiques de l'Université « Luna & Sciences Planetary Laboratory » en Arizona a été choisi par la NASA pour diriger un projet lourd de 800 millions de dollars consacré à une mission d’exploration spatiale automatique nommé « OSIRIS-Rex ». Ce total de 800 millions de dollars ne comprend pas le véhicule de lancement. Le plan que la NASA vise actuellement consisterait à lancer le vaisseau spatial OSIRIS-REX en 2016 à destination d’un astéroïde géocroiseur 1999 RQ36, ainsi nommée pour rendre hommage à l'année dans laquelle il a été découvert. La sonde serait alors mise en orbite autour de celui-ci et ce afin d'explorer l'astéroïde pendant plus d'un an avant une opération de collecte d’échantillons et un retour sur terre courant 2023.
Selon le communiqué de Lunar and Planetary Laboratory, l'espoir est de trouver des échantillons biologiques qui pourraient expliquer le développement de la vie et les origines du système solaire. Le nom de l'engin spatial du projet provient tant d’un acronyme que de la mythologie Egyptienne. OSIRIS est l’acronyme de « Origins, Spectral Interpretation, Resource Identification, Security ». Osiris est aussi le nom d'un dieu égyptien qui a été tué par un méchant frère jumeau. L'histoire raconte que l'agriculture s'est répandue dans toute l'Egypte parceque des morceaux du corps d'Osiris avaient été jetés dans le Nil. La partie Rex du nom de la mission est une version raccourcie de « régolite Explorer ».
Les instruments embarqués sur OSIRIS-Rex comprendront notamment un spectromètre visible infrarouge développé au Goddard Space Flight Center à Greenbelt, un spectromètre d'émission thermique issu de l'Arizona State University et d'un altimètre laser issu de l’Agence spatiale canadienne. D'autres participants au projet comprennent Lockheed Martin, qui va construire le vaisseau spatial, et KinetX, une entreprise spécialisée dans l’ingénierie spatiale. En plus du Goodard, le NASA Ames Research Center en Californie participera au projet ainsi que le Langley Research Center à Hampton, en Virginie, et le Johnson Space Center à Houston.
Selon les scientifiques, l'astéroïde 1999 RQ36 ne possèderait qu’1 risque/1, 800 quand à un potentiel impact avec la Terre et ce, en 2182.
http://insidetucsonbusiness.com/news/top_stories/ua-scientists-to-lead-million-exploration-of-asteroid/article_e89da1b2-8d6f-11e0-9c49-001cc4c002e0.htmlUne équipe de scientifiques de l'Université « Luna & Sciences Planetary Laboratory » en Arizona a été choisi par la NASA pour diriger un projet lourd de 800 millions de dollars consacré à une mission d’exploration spatiale automatique nommé « OSIRIS-Rex ». Ce total de 800 millions de dollars ne comprend pas le véhicule de lancement. Le plan que la NASA vise actuellement consisterait à lancer le vaisseau spatial OSIRIS-REX en 2016 à destination d’un astéroïde géocroiseur 1999 RQ36, ainsi nommée pour rendre hommage à l'année dans laquelle il a été découvert. La sonde serait alors mise en orbite autour de celui-ci et ce afin d'explorer l'astéroïde pendant plus d'un an avant une opération de collecte d’échantillons et un retour sur terre courant 2023.
Selon le communiqué de Lunar and Planetary Laboratory, l'espoir est de trouver des échantillons biologiques qui pourraient expliquer le développement de la vie et les origines du système solaire. Le nom de l'engin spatial du projet provient tant d’un acronyme que de la mythologie Egyptienne. OSIRIS est l’acronyme de « Origins, Spectral Interpretation, Resource Identification, Security ». Osiris est aussi le nom d'un dieu égyptien qui a été tué par un méchant frère jumeau. L'histoire raconte que l'agriculture s'est répandue dans toute l'Egypte parceque des morceaux du corps d'Osiris avaient été jetés dans le Nil. La partie Rex du nom de la mission est une version raccourcie de « régolite Explorer ».
Les instruments embarqués sur OSIRIS-Rex comprendront notamment un spectromètre visible infrarouge développé au Goddard Space Flight Center à Greenbelt, un spectromètre d'émission thermique issu de l'Arizona State University et d'un altimètre laser issu de l’Agence spatiale canadienne. D'autres participants au projet comprennent Lockheed Martin, qui va construire le vaisseau spatial, et KinetX, une entreprise spécialisée dans l’ingénierie spatiale. En plus du Goodard, le NASA Ames Research Center en Californie participera au projet ainsi que le Langley Research Center à Hampton, en Virginie, et le Johnson Space Center à Houston.
Selon les scientifiques, l'astéroïde 1999 RQ36 ne possèderait qu’1 risque/1, 800 quand à un potentiel impact avec la Terre et ce, en 2182.
Dernière édition par Sidjay le Lun 5 Aoû 2013 - 23:52, édité 1 fois
Sidjay- Messages : 17121
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Une belle mission, avec une enveloppe conséquente (ce qui n'est pas évident dans le contexte actuel).
Des "premières" en ce qui concerne l'atterrissage (façon touch and go si j'ai bien compris) avec prise d'échantillons, puis retour vers la Terre. Il y a un petit air d'Hayabusa.
2016 pour le lancement ..... 2023 pour le retour d'échantillons .... il va falloir être patient
Des "premières" en ce qui concerne l'atterrissage (façon touch and go si j'ai bien compris) avec prise d'échantillons, puis retour vers la Terre. Il y a un petit air d'Hayabusa.
The plan is for NASA to launch the OSIRIS-REx spacecraft in 2016 for the 575-meter near-Earth asteroid 1999 RQ36,.../cut/... collecting samples which would then be returned to Eart sometime in 2023.
2016 pour le lancement ..... 2023 pour le retour d'échantillons .... il va falloir être patient
montmein69- Donateur
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Et voici REXIS!
L'astéroïde 1999 RQ36 n’est peut-être pas un nom connu à vos yeux, pourtant certains astronomes prédisent que dans moins de 200 ans, il pourrait avoir un impact notoire avec notre planète. Selon les observations radar et optique, cette roche spatiale, cet astéroïde mesurerait cinq fois la surface d’un terrain de football rien qu’en diamètre. Toutefois, ne vous fiez pas au terme « pourrait » car il n’y aurait qu’un risque sur 1000 pour qu’il s’écrase sur la terre en l'an 2182. bref…là n’est pas tant le sujet de ce topique…
Cependant, les astronomes sont intéressés par le potentiel de cet astéroïde, qui devrait révéler des indices sur notamment les origines de la Terre. Basé sur des données d'imagerie spectrale, 1999 RQ36 est probablement principalement constitués de carbone et serait un vestige relativement intacte du système solaire primitif, formé il ya 4,56 milliards années. Cet astéroïde est pourtant la destination cible pour la mission OSIRIS-Rex, une sonde de la NASA prévue pour être lancée en 2016. Le satellite, développé conjointement par l'Université d'Arizona, Lockheed Martin et la NASA, vise à ramener un échantillon vierge de l'astéroïde sur terre pour 2023. Aujourd’hui, nous savons à ce propos qu’un instrument sera construit par des étudiants du MIT et de Harvard dans le but d’aider le vaisseau spatial à déterminer où se trouvent les plus anciennes parties de l’astéroïde, histoire d’en récupérer les échantillons les plus purs.
La NASA a récemment donné le feu vert à cette proposition conjointe pour construire un spectromètre d'imagerie à rayons X, appelée REXIS (régolithe rayons X Imaging Spectrometer). REXIS volera à bord d'OSIRIS-Rex. L'instrument aura pour rôle d'analyser la surface de l'astéroïde et devra détecter la présence de fer, d'oxygène ainsi que d'autres éléments installant du bon « terreau », pour le dévellopement de la vie.
Les futurs instruments des étudiants accompagneront une suite d'autres placés à bord du vaisseau spatial, y compris les caméras qui permettront de cartographier la taille de l'astéroïde, la forme et la composition de sa surface. D'autres instruments mesureront l'effet du vent solaire sur l'orbite de l'astéroïde, informations notables qui pourront aider les astronomes à tracer un chemin relatif sur le « sol » de l'astéroïde.
Les professeurs du MIT envisagent de demander aux élèves de construire l'instrument à plusieurs reprises, jusqu'à ce que bon leur semble accompli en termes de perfection. Au cours de la première année, les élèves vont devoir concevoir une maquette fonctionnelle de l'instrument qui sera capable de détecter avec des rayons X. Dans la deuxième année, les élèves vont devoirs construire un nouveau modèle mais cette fois-ci amélioré, en fonction d’un ajustement aux spécifications de l'engin principal. A noter que ce modèle sera ensuite soumis à une série de tests de vibrations qui simuleront les conditions de lancement.
Dans la troisième année de conception, les élèves ingénieur de vol sur cet appareil construiront enfin l'instrument qui sera embarqué à destination de l'astéroïde. Tout au long du projet, les étudiants du MIT et de Harvard travailleront avec des scientifiques du laboratoire Lincoln du MIT et de l'Harvard College Observatory, ainsi qu’avec des systèmes propres à la NASA et à Lockheed Martin Space sur Denver.
http://web.mit.edu/newsoffice/2011/asteroid-mission-0726.htmlL'astéroïde 1999 RQ36 n’est peut-être pas un nom connu à vos yeux, pourtant certains astronomes prédisent que dans moins de 200 ans, il pourrait avoir un impact notoire avec notre planète. Selon les observations radar et optique, cette roche spatiale, cet astéroïde mesurerait cinq fois la surface d’un terrain de football rien qu’en diamètre. Toutefois, ne vous fiez pas au terme « pourrait » car il n’y aurait qu’un risque sur 1000 pour qu’il s’écrase sur la terre en l'an 2182. bref…là n’est pas tant le sujet de ce topique…
Cependant, les astronomes sont intéressés par le potentiel de cet astéroïde, qui devrait révéler des indices sur notamment les origines de la Terre. Basé sur des données d'imagerie spectrale, 1999 RQ36 est probablement principalement constitués de carbone et serait un vestige relativement intacte du système solaire primitif, formé il ya 4,56 milliards années. Cet astéroïde est pourtant la destination cible pour la mission OSIRIS-Rex, une sonde de la NASA prévue pour être lancée en 2016. Le satellite, développé conjointement par l'Université d'Arizona, Lockheed Martin et la NASA, vise à ramener un échantillon vierge de l'astéroïde sur terre pour 2023. Aujourd’hui, nous savons à ce propos qu’un instrument sera construit par des étudiants du MIT et de Harvard dans le but d’aider le vaisseau spatial à déterminer où se trouvent les plus anciennes parties de l’astéroïde, histoire d’en récupérer les échantillons les plus purs.
La NASA a récemment donné le feu vert à cette proposition conjointe pour construire un spectromètre d'imagerie à rayons X, appelée REXIS (régolithe rayons X Imaging Spectrometer). REXIS volera à bord d'OSIRIS-Rex. L'instrument aura pour rôle d'analyser la surface de l'astéroïde et devra détecter la présence de fer, d'oxygène ainsi que d'autres éléments installant du bon « terreau », pour le dévellopement de la vie.
Les futurs instruments des étudiants accompagneront une suite d'autres placés à bord du vaisseau spatial, y compris les caméras qui permettront de cartographier la taille de l'astéroïde, la forme et la composition de sa surface. D'autres instruments mesureront l'effet du vent solaire sur l'orbite de l'astéroïde, informations notables qui pourront aider les astronomes à tracer un chemin relatif sur le « sol » de l'astéroïde.
Les professeurs du MIT envisagent de demander aux élèves de construire l'instrument à plusieurs reprises, jusqu'à ce que bon leur semble accompli en termes de perfection. Au cours de la première année, les élèves vont devoir concevoir une maquette fonctionnelle de l'instrument qui sera capable de détecter avec des rayons X. Dans la deuxième année, les élèves vont devoirs construire un nouveau modèle mais cette fois-ci amélioré, en fonction d’un ajustement aux spécifications de l'engin principal. A noter que ce modèle sera ensuite soumis à une série de tests de vibrations qui simuleront les conditions de lancement.
Dans la troisième année de conception, les élèves ingénieur de vol sur cet appareil construiront enfin l'instrument qui sera embarqué à destination de l'astéroïde. Tout au long du projet, les étudiants du MIT et de Harvard travailleront avec des scientifiques du laboratoire Lincoln du MIT et de l'Harvard College Observatory, ainsi qu’avec des systèmes propres à la NASA et à Lockheed Martin Space sur Denver.
Sidjay- Messages : 17121
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L'animation vidéo de la mission (Goddard space center):
Sidjay- Messages : 17121
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et bien cette fois ça y est cette mission vient de passé en phases de développement lire cet article de sciences et avenir
http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/espace/20130529.OBS1084/osiris-rex-un-voyage-aux-origines-du-systeme-solaire.html
autre vidéo
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Dernière édition par grysor le Mer 5 Juin 2013 - 20:49, édité 1 fois
grysor- Messages : 3316
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Les astéroïdes deviennent une cible privilégiée pour la NASA.
Et le retour d'échantillons un objectif de plus en plus présent dans les missions d'exploration, même si c'est compliqué à réaliser.
La composante robotique de ces missions progresse, au sens où des outillages divers doivent fonctionner en autonomie et accomplir une tâche : prélever, stocker, rapporter.
Il ne s'agit plus simplement de prélever des données à distance ... mais d'interagir avec l'objet d'exploration et de rapporter des matériaux sur Terre. Un cran au-dessus de ce que font lander et rovers.
Touch and go Sample acquisition mechanism (TAGSAM) pour prélever l'échantillon de l'astéroïde Bennu
Largage de la capsule de retour (Sample return Capsule)
Ce sont encore des balbutiements .... mais c'est AMHA une orientation inéluctable et où les progrès sont prévisibles.
Et le retour d'échantillons un objectif de plus en plus présent dans les missions d'exploration, même si c'est compliqué à réaliser.
La composante robotique de ces missions progresse, au sens où des outillages divers doivent fonctionner en autonomie et accomplir une tâche : prélever, stocker, rapporter.
Il ne s'agit plus simplement de prélever des données à distance ... mais d'interagir avec l'objet d'exploration et de rapporter des matériaux sur Terre. Un cran au-dessus de ce que font lander et rovers.
Touch and go Sample acquisition mechanism (TAGSAM) pour prélever l'échantillon de l'astéroïde Bennu
Largage de la capsule de retour (Sample return Capsule)
Ce sont encore des balbutiements .... mais c'est AMHA une orientation inéluctable et où les progrès sont prévisibles.
montmein69- Donateur
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C'est une Atlas5 en configuration unique qui lancera OSIRIS REX en septembre 2016.
Le lanceur volera en config 411 (Comprenez, une coiffe de 4m de diamètre, 1 unique SRB et 1 moteur pour propulser l'étage cryo centaure).
Cette configuration n'aurait volé que trois fois à ce jour, depuis 2006.
http://spaceflightnow.com/news/n1308/05osirisrex/#.UgAdy2107x0
Le lanceur volera en config 411 (Comprenez, une coiffe de 4m de diamètre, 1 unique SRB et 1 moteur pour propulser l'étage cryo centaure).
Cette configuration n'aurait volé que trois fois à ce jour, depuis 2006.
http://spaceflightnow.com/news/n1308/05osirisrex/#.UgAdy2107x0
Sidjay- Messages : 17121
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ça se précise, la Nasa n'a pas donné de date pour "le retour sur la lune", mais nous en avons une (fin 2016) pour l'exploration des astéroïdes (à but ultérieur d'exploitation)... il ne reste plus qu'à trouver le bon filon et l'industrie US se mettra rapidement en marche (c'est à espérer) ;
katalpa a écrit: la Nasa n'a pas donné de date pour "le retour sur la lune",
Je ne vois pas précisément à quoi tu fais référence ?
S'il s'agit de projets de missions robotiques vers le sol lunaire (comme les chinois et les russes/indiens) ... cela aurait sa place dans la partie "exploration de la Lune" ? Or ... rien
S'il s'agit du retour "physique" sur la Lune (mission habitée) .... on en saura plus après le débat budgétaire ..... pour l'instant le "mandat" visant à la capture d'un astéroîde et à sa visite lors d'EM-2 n'est ni abrogé, ni confirmé, et son remplacement par des missions lunaires n'est pas décidé non plus.
Du coup difficile de parler de fixer des dates pour l'instant.
En tout cas préservons ce FIL pour OSIRIS-REX et le retour d'échantillons d'un astéroïde.
montmein69- Donateur
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Localisation : région lyonnaise
J'appuie la suggestion de montmein, restons "on topic" merci. ;)
En sus le wikki de Bennu (101955): http://fr.wikipedia.org/wiki/%28101955%29_Bennu
En sus le wikki de Bennu (101955): http://fr.wikipedia.org/wiki/%28101955%29_Bennu
Sidjay- Messages : 17121
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Localisation : R.P
Pour ceux qui veulent faire un petit voyage jusqu'a Bennu, du moins en inscrivant votre nom dans les microships qui seront incorporrés dans la sonde et le module de retour d'échantillons, voici le site où vous pouvez faire votre inscription:http://www.planetary.org/get-involved/messages/bennu/
Il est ensuite possible d'enregistrer le certificat qui vous est fournit et de l'imprimer.
Bon voyage!
PS: Attention, pour m'être aussi inscrit, je me suis aperçu que le nom de famille (Last Name) venait avec la dernière letre répétée sur le certificat. En effet lorsque l'on fait l'inscription, votre nom entier apparait en rouge tel qu'il devrait apparaitre sur le certificat, mais vous remarquerez que la dernière lettre de votre nom de famille n'apparait pas, bien que vous l'ayez tappez dans l'espace reservé à cet effet. Or, en fait, celle-ci apparait bien dans le certificat, donc inutile d'insiste pour qu'elle apparaissee nom de famille sinon vous aurez votre nom avec le dernière lettre repetée. Moi j'ai dut m'inscrire de nouveau pour avoir un certificat avec mon nom "comme il faut". :lolnasa:
Il est ensuite possible d'enregistrer le certificat qui vous est fournit et de l'imprimer.
Bon voyage!
PS: Attention, pour m'être aussi inscrit, je me suis aperçu que le nom de famille (Last Name) venait avec la dernière letre répétée sur le certificat. En effet lorsque l'on fait l'inscription, votre nom entier apparait en rouge tel qu'il devrait apparaitre sur le certificat, mais vous remarquerez que la dernière lettre de votre nom de famille n'apparait pas, bien que vous l'ayez tappez dans l'espace reservé à cet effet. Or, en fait, celle-ci apparait bien dans le certificat, donc inutile d'insiste pour qu'elle apparaissee nom de famille sinon vous aurez votre nom avec le dernière lettre repetée. Moi j'ai dut m'inscrire de nouveau pour avoir un certificat avec mon nom "comme il faut". :lolnasa:
Atlantis- Messages : 1052
Inscrit le : 30/12/2008
Age : 55
Localisation : Ourém-Portugal
La phase la plus délicate ce sera l'atterrissage (avec probablement un harponnage vu la faible gravité) en ayant sélectionné une zone propice, puis la collecte et la mise en canister des échantillons (pour les impératifs de confinement), et ensuite le re-décollage et la phase de retour.
Une belle série de challenges !
On ne sait pas encore, si dans ce créneau de dates, l'opération capture et remorquage d'un astéroïde sera réalisée. Dans ce cas cela annonce de belles choses du côté des missions automatiques.
Une belle série de challenges !
On ne sait pas encore, si dans ce créneau de dates, l'opération capture et remorquage d'un astéroïde sera réalisée. Dans ce cas cela annonce de belles choses du côté des missions automatiques.
montmein69- Donateur
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Age : 73
Localisation : région lyonnaise
montmein69 a écrit:La phase la plus délicate ce sera l'atterrissage (avec probablement un harponnage vu la faible gravité)
il n'y aura pas d'atterrissage proprement dit, seulement un "touch and go" style Hayabusa. Seulement un bras robotique avec le système d'acquisition des echantillons entrera en contacte avec l'asteroide.
Paolo- Messages : 629
Inscrit le : 10/12/2005
Age : 53
Localisation : 43° 35' 53" N 1° 26' 35" E
Absolument tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur (101955) Bennu (ou 1999 RQ36), l'astéroïde cible de cette mission :
http://arxiv.org/abs/1409.4704
http://arxiv.org/ftp/arxiv/papers/1409/1409.4704.pdf
http://arxiv.org/abs/1409.4704
http://arxiv.org/ftp/arxiv/papers/1409/1409.4704.pdf
Gasgano- Messages : 2730
Inscrit le : 07/03/2007
Age : 70
Localisation : 91 & 44
UP ! dernier rappel, vous n'avez que jusqu’à ce soir pour envoyer votre nom a bord de la sonde !
http://www.planetary.org/get-involved/messages/bennu/
http://www.planetary.org/get-involved/messages/bennu/
yoann- Messages : 5781
Inscrit le : 31/01/2007
Age : 39
Localisation : indre et loire
Le premier des cinq instruments de la sonde est arrivé chez Lockheed Martin pour l'installation sur OSIRIS-REx.
C'est le spectromètre d'émissions thermiques (OSIRIS-REx Thermal Emission Spectrometer - OTES) qui cartographiera les différents minéraux et analysera la température de Bennu. Il sera mis sous tension peu après le lancement prévu en septembre 2016, pour une arrivée sur la cible en 2018 et un retour d'échantillons en 2023.
http://www.nasa.gov/press-release/goddard/first-instrument-delivered-for-nasa-s-upcoming-asteroid-sample-return-mission
OTES
C'est le spectromètre d'émissions thermiques (OSIRIS-REx Thermal Emission Spectrometer - OTES) qui cartographiera les différents minéraux et analysera la température de Bennu. Il sera mis sous tension peu après le lancement prévu en septembre 2016, pour une arrivée sur la cible en 2018 et un retour d'échantillons en 2023.
http://www.nasa.gov/press-release/goddard/first-instrument-delivered-for-nasa-s-upcoming-asteroid-sample-return-mission
OTES
_________________
Blog sur le suivi du développement d'Orion
Livraison chez Lockheed Martin Space Systems à Denver du 2 ème instrument de la sonde: OVIRS ( OSIRIS-REx Visible and Infrared Spectrometer) qui permettra de mesurer la lumière visible et proche infrarouge de l'astéroïde Bennu.
Après des tests approfondis avec la sonde au sol, l'instrument sera mis sous tension pour un "check-out" peu après le lancement, avec les premières données scientifiques recueillies au cours de l'assistance gravitationnelle de la Terre en Septembre 2017
http://www.nasa.gov/press-release/goddard/second-instrument-delivered-for-nasa-s-osiris-rex-mission
OVIRS
Après des tests approfondis avec la sonde au sol, l'instrument sera mis sous tension pour un "check-out" peu après le lancement, avec les premières données scientifiques recueillies au cours de l'assistance gravitationnelle de la Terre en Septembre 2017
http://www.nasa.gov/press-release/goddard/second-instrument-delivered-for-nasa-s-osiris-rex-mission
OVIRS
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Blog sur le suivi du développement d'Orion
Pose sur banc d'essai qui imite leurs dispositions sur OSIRIS-Rex des trois caméras - MapCam (à gauche), et PolyCam SamCam - qui seront les yeux de la mission.
Elles vont cartographier l'astéroïde Bennu, aider à choisir un site d'échantillonnage et veiller à ce que l'échantillon soit correctement arrimé sur le vaisseau spatial.
Elles vont cartographier l'astéroïde Bennu, aider à choisir un site d'échantillonnage et veiller à ce que l'échantillon soit correctement arrimé sur le vaisseau spatial.
_________________
Blog sur le suivi du développement d'Orion
On connaît la date de lancement : ce sera le 8 septembre à 23h05 UTC (avec une fenêtre de 2h et des opportunités toutes les 5 minutes)
L'arrivée de la sonde au KSC est prévue le 20 mai
http://spaceflightnow.com/2016/05/03/new-lineup-plan-spelled-out-for-upcoming-atlas-5-rocket-launches/
L'arrivée de la sonde au KSC est prévue le 20 mai
http://spaceflightnow.com/2016/05/03/new-lineup-plan-spelled-out-for-upcoming-atlas-5-rocket-launches/
Gergovi- Messages : 5255
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Age : 67
Localisation : ISERE
vidéo du 29 avril
Gergovi- Messages : 5255
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Comme souvent avec la NASA, aucune référence à une mission précédente similaire, en l'occurrence Hayabusa. On se permet même de parler des échantillons d'Apollo. Un peu vexant pour les Japonais. :scratch:Gergovi a écrit:vidéo du 29 avril
Invité- Invité
Leur instrument de prélévement TAGSAM (Touch-and-Go Sample Acquisition Mechanism) est original, avec si j'ai compris une injection de gaz qui propulse de la poussière dans des canisters.
Une video expliquant bien la technique de prélévement et comment c'est ensuite "chargé" dans la capsule de retour (Sample Return Capsule SRC)
source
Une video expliquant bien la technique de prélévement et comment c'est ensuite "chargé" dans la capsule de retour (Sample Return Capsule SRC)
source
montmein69- Donateur
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