comment quitté la terre
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Bonjour a tous, je sais que tous les appareils fabriqué par l'homme qui ont quitté l'influence de la gravité de la terre, ont commencé leur voyage en se plaçant en orbite autour de la terre. Le carburant étant le nerd de la guerre dans l'exploration spatial, et qu'il faut beaucoup de carburant pour atteindre la vitesse autorisant la mise en orbite, ne serait il pas plus économique de pointé une fusée directement sur la lune (c'est un exemple) a une vitesse inférieur a celle nécéssaire pour la mise en orbite. Ne peut ont pas envoyé un appareil directement sur la lune a 10,000Km/hr???
Alpha- Messages : 729
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Il est impossible d'atteindre la lune à une vitesse inférieure de la mise ne orbite terrestre.
La vitesse minimum de satellisation terrestre est de 7.9 km/s
Pour aller sur la lune ou aillerus il faut atteindre la vitesse de libéraion de l'attraction terrestre qui est de 11.186 km/s. après le surplus de vitesse permettra d'aller plus ou moins vite.
Bon cela dit pour atteindre la lune pas besoin d'atteindre cette vitesse en faisant une longue orbite excentrique, appelé trajectoire de Holmann. Mais c'est assez proche malgré tout.
Après si tu veux lancer une sonde à partr d'une orbite lunaire, je pense que c'est le fond de ta question qui me parait incomplète, ce serait effectivement mieux de le faire sur une orbite lunaire mais il faut savoir qu'il aurait fallu du carburant pour l'amener autour de la lune, ou bien qu'il aurait fallu lancer un autre engin pour la ravitailler, bref rien de bien économique finalement.
non, le mieux reste encore de lancer depuis la terre et profiter d'un lanceur puissant qui lui donnera une vitesse suffisement forte de départ pour minimiser la consommation de carburant de la sonde.
La vitesse minimum de satellisation terrestre est de 7.9 km/s
Pour aller sur la lune ou aillerus il faut atteindre la vitesse de libéraion de l'attraction terrestre qui est de 11.186 km/s. après le surplus de vitesse permettra d'aller plus ou moins vite.
Bon cela dit pour atteindre la lune pas besoin d'atteindre cette vitesse en faisant une longue orbite excentrique, appelé trajectoire de Holmann. Mais c'est assez proche malgré tout.
Après si tu veux lancer une sonde à partr d'une orbite lunaire, je pense que c'est le fond de ta question qui me parait incomplète, ce serait effectivement mieux de le faire sur une orbite lunaire mais il faut savoir qu'il aurait fallu du carburant pour l'amener autour de la lune, ou bien qu'il aurait fallu lancer un autre engin pour la ravitailler, bref rien de bien économique finalement.
non, le mieux reste encore de lancer depuis la terre et profiter d'un lanceur puissant qui lui donnera une vitesse suffisement forte de départ pour minimiser la consommation de carburant de la sonde.
Si je comprend bien la réponse, si l'ont veut quitté la terre a faible vitesse(soit moin de 11Km/s) il faudra conservé une poussé tout le long du voyage, tout comme un hypothétique assenseur spatial. Alors si nous voulons allé au loin dans l'espace a 1,000Km/hr il faudra conservé le propulseur en marche pour ne pas retombé sur terre et faire attention pour passé loin de la lune pour ne être attiré par elle et s'écrasé dessus également. En effet la consomation devient astronomique si la poussé dure plusieurs jours.
Alpha- Messages : 729
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Oui c'est un peu ça, sauf que tu te mélange dans les termes. Tu confonds la vitesse avec la poussée.
Si tu vole toujours à 1000km/s tu n'atteindras jamais les 11km/s pour t'arracher de l'attraction terrestre.
Il faut savoir que dans l'espace à poussée églale ta vitesse s'accroit constamment puisqu'il n'y a aucune résistance. Donc effectivement la technique est d'utiliser la poussée pluslongtemps afin d'avoir la vitesse nécessaire à une éjection transplanétaire.
Pour ce qui est des risques d collisions avec la lune si on la vise, ne t'inquiète pas car non seulement les calculs sont trè sprécis de nos jours et en plus on utilise les corrections de trajectoires pour recaler l'engin sur la bonnes trajectoires en cas de déviations. C'est courant et bien maitrisé.
Pour ce qui est de laisser un moteur allumer plusieurs jours ce n'est pas envisageable pour nos moteurs chimiques actuels. D'une part parceque cela équivaudrait à une capacité de carburant énorme qui rendrait la satellisation probablement impossible, et d'autres part parceque les moteurs ne le supporteraient pas. La seule technique pouvant faire cela sont les moteurs plasma ou ionique qui ont une poussé très très faible mais compense par leur durée. La sonde Clémentine en a été un bel exemple mais ... elle a mis plusieurs mois à atteindre la lune.
Si tu vole toujours à 1000km/s tu n'atteindras jamais les 11km/s pour t'arracher de l'attraction terrestre.
Il faut savoir que dans l'espace à poussée églale ta vitesse s'accroit constamment puisqu'il n'y a aucune résistance. Donc effectivement la technique est d'utiliser la poussée pluslongtemps afin d'avoir la vitesse nécessaire à une éjection transplanétaire.
Pour ce qui est des risques d collisions avec la lune si on la vise, ne t'inquiète pas car non seulement les calculs sont trè sprécis de nos jours et en plus on utilise les corrections de trajectoires pour recaler l'engin sur la bonnes trajectoires en cas de déviations. C'est courant et bien maitrisé.
Pour ce qui est de laisser un moteur allumer plusieurs jours ce n'est pas envisageable pour nos moteurs chimiques actuels. D'une part parceque cela équivaudrait à une capacité de carburant énorme qui rendrait la satellisation probablement impossible, et d'autres part parceque les moteurs ne le supporteraient pas. La seule technique pouvant faire cela sont les moteurs plasma ou ionique qui ont une poussé très très faible mais compense par leur durée. La sonde Clémentine en a été un bel exemple mais ... elle a mis plusieurs mois à atteindre la lune.
En effet, mes propos semblent faire peu de cas des lois de la physique, pour mieux saisir ma question, voici mon idée de départ. Si je possède une échelle de 400 Km de long, et que je la fixe a 90 degré par rapport au sol, soit droit en plein ciel. Il serait alors possible que je quitte la gravité terestre en grimpant sur l'échelle a vitesse d'une tortue.
La force gravitationnel diminue en fonction de l'altitude, alors nous somme obligé d'avoir des moteurs très puissant pour s'oulevé les quelque tonnes de la charge utile des premier mêtres du sol. Je comprend maintenant que pour quitté la terre des moteurs de faible poussé suffise a la tâche une fois en orbite, mais seraient incapable d'arraché la fusée du pas de tir.
Pour quitté la terre a faible vitesse, il faudrait une technologie différente des moteurs actuel a projection de matières, une technologie que nous ne possédons pas encore.
La force gravitationnel diminue en fonction de l'altitude, alors nous somme obligé d'avoir des moteurs très puissant pour s'oulevé les quelque tonnes de la charge utile des premier mêtres du sol. Je comprend maintenant que pour quitté la terre des moteurs de faible poussé suffise a la tâche une fois en orbite, mais seraient incapable d'arraché la fusée du pas de tir.
Pour quitté la terre a faible vitesse, il faudrait une technologie différente des moteurs actuel a projection de matières, une technologie que nous ne possédons pas encore.
Alpha- Messages : 729
Inscrit le : 05/01/2006
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Intéressant topic. Finalement, la question posée est "peut-on imaginer de quitter la Terre sans atteindre cette sacro-sainte vitesse de libération" ?
La réponse est "théoriquement oui". En fait, la vitesse de libération correspond à un cas bien particulier: l'injection sur une trajectoire de libération, c'est-à-dire une trajectoire telle que l'engin continue à s'éloigner de la Terre indéfiniement, une fois qu'il n'est plus soumis qu'à la seule gravité (donc "gratuitement" par rapport à la propulsion).
En pratique, c'est la seule stratégie faisable actuellement, mais, effectivement, rien n'empêche d'imaginer d'autres solutions (en tant qu'"expériences de pensée"): si on considère uniquement l'objectif de gain en altitude , il suffit de soumettre l'engin à une force (moteur fusée ou ... réaction des barreaux de l'échelle !) qui fournit une accélération légèrement supérieure et de sens opposé à l'accéleration de gravité.
Peu importe la vitesse: elle peut rester quasi-nulle.
Là où ça coince avec la propulsion fusée, c'est que, même si l'objectif n'est pas de s'injecter sur une trajectoire de libération, on a quand même intéret à atteindre rapidement une grande vitesse et une grande altitude, car sinon, les moteurs vont devoir lutter pendant longtemps contre une gravité forte, c'est-à-dire fonctionner sur une longue durée avec un haut niveau de poussée. Un beau challenge pour le XXIe siècle ...
:)
La réponse est "théoriquement oui". En fait, la vitesse de libération correspond à un cas bien particulier: l'injection sur une trajectoire de libération, c'est-à-dire une trajectoire telle que l'engin continue à s'éloigner de la Terre indéfiniement, une fois qu'il n'est plus soumis qu'à la seule gravité (donc "gratuitement" par rapport à la propulsion).
En pratique, c'est la seule stratégie faisable actuellement, mais, effectivement, rien n'empêche d'imaginer d'autres solutions (en tant qu'"expériences de pensée"): si on considère uniquement l'objectif de gain en altitude , il suffit de soumettre l'engin à une force (moteur fusée ou ... réaction des barreaux de l'échelle !) qui fournit une accélération légèrement supérieure et de sens opposé à l'accéleration de gravité.
Peu importe la vitesse: elle peut rester quasi-nulle.
Là où ça coince avec la propulsion fusée, c'est que, même si l'objectif n'est pas de s'injecter sur une trajectoire de libération, on a quand même intéret à atteindre rapidement une grande vitesse et une grande altitude, car sinon, les moteurs vont devoir lutter pendant longtemps contre une gravité forte, c'est-à-dire fonctionner sur une longue durée avec un haut niveau de poussée. Un beau challenge pour le XXIe siècle ...
:)
CosmoS- Messages : 1076
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Localisation : 31
Se mettre en orbite ou sur orbite veut dire avoir à une altitude donnée une vitesse telle que l'attraction de la terre équilibre notre vitesse pour ne "jamais" retomber au sol. Si il n'y avait pas d'atmosphère sur terre on pourrait comme autour de la lune "orbiter" à quelques km d'altitude.
Si tu montes ton echelle de 400 km de long dans ton exemple, quand tu arriveras au bout si tu te lache tu retombera sur terre, car ta vitesse ne sera pas assez élevé pour "tourner" autour de la terre et compenser la gravité. Cette vitesse est la première vitesse cosmique qui dépend de la taille de l'astre et de l'altitude. Elle est de 7,8 km-s pour une altitude de 200 km autour de la terre. Elle dimunue ensuite avec l'altitude.
Dans l'exemple de l'échelle tu pourrais grimper à 36 000 km par exemple et te lancer sur orbite avec une vitesse de 3 km-s environ. Normalement tu devrais tourner en géosynchrone. Si en plus tu es sur l'équateur tu sera geostationaire.
Le problème est de monter sur ton échelle jusqu'à ces 36000 km.
Si tu montes ton echelle de 400 km de long dans ton exemple, quand tu arriveras au bout si tu te lache tu retombera sur terre, car ta vitesse ne sera pas assez élevé pour "tourner" autour de la terre et compenser la gravité. Cette vitesse est la première vitesse cosmique qui dépend de la taille de l'astre et de l'altitude. Elle est de 7,8 km-s pour une altitude de 200 km autour de la terre. Elle dimunue ensuite avec l'altitude.
Dans l'exemple de l'échelle tu pourrais grimper à 36 000 km par exemple et te lancer sur orbite avec une vitesse de 3 km-s environ. Normalement tu devrais tourner en géosynchrone. Si en plus tu es sur l'équateur tu sera geostationaire.
Le problème est de monter sur ton échelle jusqu'à ces 36000 km.
capcom- Invité
capcom a écrit:
Le problème est de monter sur ton échelle jusqu'à ces 36000 km.
Encore faut-il reussir à concevoir la dite-échelle...on en reient un peu au problème de l'ascenseur spatial en fait...
BDL-DAO- Messages : 373
Inscrit le : 12/11/2005
Age : 37
Localisation : Les pieds sur Terre, la tête dans l'Espace...
Tout sur l'ascenseur orbital :
http://www.spaceelevator.com/
http://www.spaceelevator.com/directory/
Et ne pas oublier le merveilleux roman de Clarke : "Les fontaines du Paradis"
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Et ne pas oublier le merveilleux roman de Clarke : "Les fontaines du Paradis"
lambda0- Messages : 4879
Inscrit le : 22/09/2005
Age : 57
Localisation : Nord, France
J'exhume un débat assez ancien initié par ALPHA en janvier dernier car il me parait intéressant pour retraiter des vitesses de satellisation ou de libération au voisinage d'un astre.
Ce qui est fondamental de retenir c'est que ces notions ne s'appliquent qu'à des objets non propulsés , sans aucun aérofreinage et soumis uniquement à la gravitation...ce qui au niveau du sol terrestre est une pure fiction!
Mais vers 400 à 500 km d'altitude, là où "navigue"...ou plutôt chute l'ISS en évitant en permanence le sol grâce à sa vitesse horizontale suffisante et aussi parceque la Terre est ronde(heureusement qu'elle n'est pas plate,sinon :affraid: ...)alors cette fiction de vitesse de satellisation devient presque une réalité...pas tout à fait toutefois puisqu'il faut bien la rebooster! A cette altitude où le champs de gravitation terrestre est encore presque celui du sol (à 400km on est presque encore au raz des pâquerettes...à ne pas dire pour les futurs touristes ! ) il faut environ 8 km/s pour "essayer" de passer derrière ce satané :evil: horizon qu'on ne rattrape jamais!
Bien, mais plus on prend de la hauteur, plus la gravitation diminue et plus on a du temps pour éviter ce sacré horizon :king: ...alors plus besoin d'aller aussi vite pour se satelliser.
Mais si on préfère la Libération !
Là encore ce concept se rapproche de la réalité que lorsqu'on quitte l'atmosphère dense ...donc à plus de 100 km d'altitude!
Vers 200km,il faudra une vitesse initiale d'environ 11 km/s pour se libérer de la Terre ( mais pas du Soleil ).Pourquoi "initiale"...car parceque au fur et à mesure que l'on s'éloigne l'objet lancé ralenti...mais de moins en moins car l'intensité de la gravitation diminue et il y aura toujours un peu de vitesse...ouf!
Mais sinon rien empèche en théorie de faire fi de ces vitesses de satellisation ou de libération tant qu'i y a un système de propulsion...mais avec les fusées qui sont des goinfres...çà ne durera pas longtemps!
Et puis dans ce cas la dépense énergétique pour le même résultat sera toujours plus grande.
Giwa
Ce qui est fondamental de retenir c'est que ces notions ne s'appliquent qu'à des objets non propulsés , sans aucun aérofreinage et soumis uniquement à la gravitation...ce qui au niveau du sol terrestre est une pure fiction!
Mais vers 400 à 500 km d'altitude, là où "navigue"...ou plutôt chute l'ISS en évitant en permanence le sol grâce à sa vitesse horizontale suffisante et aussi parceque la Terre est ronde(heureusement qu'elle n'est pas plate,sinon :affraid: ...)alors cette fiction de vitesse de satellisation devient presque une réalité...pas tout à fait toutefois puisqu'il faut bien la rebooster! A cette altitude où le champs de gravitation terrestre est encore presque celui du sol (à 400km on est presque encore au raz des pâquerettes...à ne pas dire pour les futurs touristes ! ) il faut environ 8 km/s pour "essayer" de passer derrière ce satané :evil: horizon qu'on ne rattrape jamais!
Bien, mais plus on prend de la hauteur, plus la gravitation diminue et plus on a du temps pour éviter ce sacré horizon :king: ...alors plus besoin d'aller aussi vite pour se satelliser.
Mais si on préfère la Libération !
Là encore ce concept se rapproche de la réalité que lorsqu'on quitte l'atmosphère dense ...donc à plus de 100 km d'altitude!
Vers 200km,il faudra une vitesse initiale d'environ 11 km/s pour se libérer de la Terre ( mais pas du Soleil ).Pourquoi "initiale"...car parceque au fur et à mesure que l'on s'éloigne l'objet lancé ralenti...mais de moins en moins car l'intensité de la gravitation diminue et il y aura toujours un peu de vitesse...ouf!
Mais sinon rien empèche en théorie de faire fi de ces vitesses de satellisation ou de libération tant qu'i y a un système de propulsion...mais avec les fusées qui sont des goinfres...çà ne durera pas longtemps!
Et puis dans ce cas la dépense énergétique pour le même résultat sera toujours plus grande.
Giwa
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