NORAD mise à jour

Nous avons vu partir de Baïkonour le vaisseau Soyouz TMA-13M le 28 mai ; puis accalmie sur les pas de tir. 
Hier reprise d'activité avec le lancement du satellite de navigation GLONASS M depuis Plesetsk, soit 19 jours 
après, et bien NORAD en a profité pour faire une mise à jour de son catalogue et on est passé d'une 
immatriculation de 39775 pour Soyouz TMA-13M à 40001 pour Glonass M ce qui fait que nous avons identifié 
et répertorié 226 nouveaux objets dont la plus part sont des débris anciens.

En tous cas nous voilà dans les 40000 objets envoyés dans l'espace (proche ou lointain) depuis 1957.


Comme il n'y a au final que peu de sondes héliocentriques sur les 40000 satellites/débris, on ne peut pas dire 
que la Terre se soit beaucoup allégée pendant ce temps !  

Et tu le vois pour quand ce chiffre commencer à décroître ?

40.000 objets (détectés) en orbite terrestre, si on ramène ça à la surface terrestre pour simplifier ça donne un objet pour 12750km², soit 112x112km. On est donc bien loin de la saturation. imaginez que ces objets soient des voitures lancé à pleine vitesse, quelle probabilité aurait elle d'en percuter une autre ? quasi nul dirait on ...

Maintenant si on place cela dans le volume autour de la Terre entre 100km et 40.000km, je n'ose imaginer le volume pour un seul objet. Je ne suis plus assez bon en math pour calculer ça mais ça doit donner un gros volume.
J'en arrive à me demander comment 2 objet peuvent arrivers à se percuter, la probabilité doit etre vraiment très très faible.

Il faut également rappeler que ces numéros peuvent aussi designer des objets retombés sur Terre.
Combien encore en orbite sur ces 40000 ?

La question avait déjà té posée dans le temps passé Griffon, et la réponse avait été trouvée. Je pense peut-être à un dixième encore en orbite, mais je n'ai plus la réponse sous la main.
Rappelons qu'une grande partie de ces objets sont des débris dont certains sont petits et en orbite basse. Leur durée de vie est limité à qqs mois ou tout au plus à qqs années.
Par contre les satellites en état de marche ou en épave sur orbite géostationnaire nous survivrons encore très longtemps.