DECLIC à bord ISS
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Bon ben voilà, on a démarré DECLIC aujourd'hui, sans doute la dernière expérience CNES de cette ampleur en microgravité... Enfin, on verra bien.
Pour ceux qui veulent en savoir un peu plus :
Le film de DECLIC
Pour ceux qui veulent en savoir un peu plus :
Le film de DECLIC
georges5- Messages : 149
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Très ludique ! Jolie expérience
Invité- Invité
georges5 a écrit:Bon ben voilà, on a démarré DECLIC aujourd'hui, sans doute la dernière expérience CNES de cette ampleur en microgravité... Enfin, on verra bien.
Pour ceux qui veulent en savoir un peu plus :
Le film de DECLIC
Bravo !!
Et si on trouvait des PIs français à l'appel à idées de l'ESA, ça serait pas la dernière quand même ?
Voilà le genre d'expérience qui ont vraiment leur place à bord de la SSI - et écologique !
Giwa- Donateur
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Giwa a écrit:Voilà le genre d'expérience qui ont vraiment leur place à bord de la SSI - et écologique !
Parfaitement ! Des SOLUTIONS et non des observations. Avec le HTI sur Declic, l'agriculture propre sur MELISSA...etc et bien d'autres activités de l'ISS (c.f. Mission OasIS de F. De Winne), les vols habités offrent des solutions aux problèmes d'aujourd'hui et parfois à ceux de demain (plus de 40 ans que l'on utilise sur les vols spatiaux des piles à combustibles à H², 100% propre sans émission de CO² et l'automobile ne commence que maintenant à s'y intéresser...tout en ayant pas exclus les piles au Méthanol qui émettent du CO² mais qui font les bonnes affaires des betteraviers/sucriers) et non un simple constat des dégâts (comme si pour réduire les morts sur les routes, il suffisait de poser des radars mais sans jamais verbaliser... au bout d'un moment, la supercherie doit cesser). Pourtant, les gazogènes des années 40 étaient bien plus dangereux et plus répandus. Attend-on qu'un conflit majeur au Moyen-Orient (qu'on peut fort bien d'un côté essayer d'éviter) nous coupe de tout approvisionnement en hydrocarbures pour être contraints à des solutions de guerre improvisées à la va-vite ? La "Guerre" contre le réchauffement climatique est déjà commencée quant à elle et le traitement des déchets en est un volet important car on ne pourra indéfiniment les exporter dans le tiers monde comme font certains pays Européens.
Kostya a écrit:plus de 40 ans que l'on utilise sur les vols spatiaux des piles à combustibles à H², 100% propre sans émission de CO² et l'automobile ne commence que maintenant à s'y intéresser...tout en ayant pas exclus les piles au Méthanol qui émettent du CO² mais qui font les bonnes affaires des betteraviers/sucriers
Désolé, Kostya, mais la fabrication d'hydrogène est fortement émettrice de CO2, soit directement par craquage d'hydrocarbure, soit indirectement pas électrolyse de l'eau, donc par la fabrication de l'électricité nécessaire (plus de 60% de l'électricité est faite à partir de combustibles fossiles - pétrole, gaz ou charbon et ce pourcentage augmente)
Origine de la production dans le monde en 2004
* Charbon : 39%
* Gaz naturel : 20%
* Énergie hydraulique : 16%
* Énergie nucléaire : 16%
* Pétrole : 7%
* Énergies renouvelables hors hydraulique : 2%
http://fr.wikipedia.org/wiki/Production_d%27%C3%A9lectricit%C3%A9
Cordialement
Lunarjojo- Donateur
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C'est vrai qu'actuellement la plus grande partie du dihydrogène produit ne l'est pas de manière écologique; mais ce n'est pas une fatalité! Il y a des possibilités de thermolyse catalytique à très haute température comme celle que l'on produit au foyer des fours solaires ou des photolyses artificielles - sans parler de détourner la photolyse naturelle pour sa production - qui devraient pouvoir aboutir si on y mettait les moyens. Mais bon on se contente de décorer le paysage d'éoliennes pour faire écolo. Attention, je ne critique pas en soi l'existence de ces éoliennes : c'est mieux que rien - mais à elles seules -elles ne pourront satisfaire la demande énergétique - même avec des économies d'énergie, drastiques. il y a encore bien d'autres possibilités : hydroliennes, ETM (énergie thermique des mers) etc.Lunarjojo a écrit:Kostya a écrit:plus de 40 ans que l'on utilise sur les vols spatiaux des piles à combustibles à H², 100% propre sans émission de CO² et l'automobile ne commence que maintenant à s'y intéresser...tout en ayant pas exclus les piles au Méthanol qui émettent du CO² mais qui font les bonnes affaires des betteraviers/sucriers
Désolé, Kostya, mais la fabrication d'hydrogène est fortement émettrice de CO2, soit directement par craquage d'hydrocarbure, soit indirectement pas électrolyse de l'eau, donc par la fabrication de l'électricité nécessaire (plus de 60% de l'électricité est faite à partir de combustibles fossiles - pétrole, gaz ou charbon et ce pourcentage augmente)
Origine de la production dans le monde en 2004
* Charbon : 39%
* Gaz naturel : 20%
* Énergie hydraulique : 16%
* Énergie nucléaire : 16%
* Pétrole : 7%
* Énergies renouvelables hors hydraulique : 2%
http://fr.wikipedia.org/wiki/Production_d%27%C3%A9lectricit%C3%A9
Cordialement
Giwa- Donateur
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Giwa a écrit:...
C'est vrai qu'actuellement la plus grande partie du dihydrogène produit ne l'est pas de manière écologique; mais ce n'est pas une fatalité! Il y a des possibilités de thermolyse catalytique à très haute température comme celle que l'on produit au foyer des fours solaires ou des photolyses artificielles - sans parler de détourner la photolyse naturelle pour sa production - qui devraient pouvoir aboutir si on y mettait les moyens.
C'est d'autant plus dommage que l'hydrogène est l'élément le plus répandu dans l'univers et qu'il n'y a guère que sur Terre qu'il faut faire un gros effort pour le produire. C'est vrai que Lunarjojo a raison de considérer le bilan global en matière d'énergie. C'est d'ailleurs ce qui rend les bio-carburants aussi peu intéressants. Par contre, DECLIC conserve tout son intérêt car la technique est déjà très largement utilisé pour extraire proprement la caféine.
[Mode HS]Giwa a écrit:
Mais bon on se contente de décorer le paysage d'éoliennes pour faire
écolo. Attention, je ne critique pas en soi l'existence de ces
éoliennes : c'est mieux que rien - mais à elles seules -elles ne
pourront satisfaire la demande énergétique - même avec des économies
d'énergie, drastiques. il y a encore bien d'autres possibilités :
hydroliennes, ETM (énergie thermique des mers) etc.
Je n'ai plus en tête les chiffres annoncés concernant le nombre de tranches de centrale nucléaire que ferait économiser un parc d'éoliennes en ligne avec les objectifs qu'on s'est fixé mais quoiqu'il en soit, ça ne plait pas du tout à Areva qui fait jouer toutes ses relations en ce moment (y compris d'anciens présidents) pour tirer à boulées rouges sur l'éolien. Ce qui est clair, c'est que l'éolien nécessite un parce de substitution (que fait-on quand il n'y pas de vent ?) et que Danemark comme en Allemagne, ce sont de vieilles centrales à charbon très polluantes qui rendent le bilan carbone de l'éolien peu flatteur. En France, on ne peut pas se servir du nucléaire comme "substitution au pied levé" à cause d'un temps de réaction beaucoup trop long. [/HS]
Voilà le genre d'expérience qui ont vraiment leur place à bord de la SSI - et écologique !
Hum hum, çà se discute justement pour DECLIC : çà pourrait très bien être fait sur un vaisseau non habité...
georges5- Messages : 149
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georges5 a écrit:
Hum hum, çà se discute justement pour DECLIC : çà pourrait très bien être fait sur un vaisseau non habité...
C'est entièrement robotisé ? J'admets que la présence de l'homme doit peut-être introduire des perturbations supplémentaires mais si la durée est inférieure au mois, on peut difficilement envisagé de l'installer sur des plates-formes non habitées style EURECA, non ? Faut-il ressortir le MTFF de la poussière pour assurer un meilleur succès de ce type d'expérience ?
Ce n'est pas entièrement robotisé mais entièrement piloté depuis le sol....
Quand je disais dernière expérience de cette ampleur Kostya, je parlais d'expériences développées et opérées par le CNES. Celles que le CADMOS opère pour l'ESA sont des expériences développées par l'ESA...
Quand je disais dernière expérience de cette ampleur Kostya, je parlais d'expériences développées et opérées par le CNES. Celles que le CADMOS opère pour l'ESA sont des expériences développées par l'ESA...
georges5- Messages : 149
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Ok. Je pensais robotisé au sens large effectivement, la télémanipulation permet aussi de s'affranchir de l'opérateur.georges5 a écrit:Ce n'est pas entièrement robotisé mais entièrement piloté depuis le sol....
Compris. Je n'ai pas de moyen de comparer cette "ampleur" avec celle encore à venir de PHARAO qui, la nouvelle date peut-être un peu, devait ne voler qu'en 2013.georges5 a écrit:
Quand je disais dernière expérience de cette ampleur Kostya, je parlais d'expériences développées et opérées par le CNES. Celles que le CADMOS opère pour l'ESA sont des expériences développées par l'ESA...
Les montages à l'avenir ressembleront peut-être plus à PHARAO qu'à DECLIC si tu vois où je veux en venir. Cela ne ferme pas la porte aux P/Ls développées sous maitrise d'ouvrage du CNES dès lors qu'il s'agira de retour français (if any ?) de l'ESA.
Pas beaucoup... une éolienne se comporte bon grès mal grès comme un générateur fournissant une puissance moyenne de l'ordre de 25 à 35 % de sa puissance nominale durant l'année (25 % sur Terre, 35 % en offshore). Le potentiel théorique est de "20 GW terrestres pour une production de 50 TWh par an, et 40 GW offshore pour une production de 150 TWh par an, soit un potentiel éolien théoriquement exploitable de 200 TWh par an. S’il était disponible en 2040, il représenterait alors 31 % de la consommation française prévisible d’électricité." (Wikipedia)Kostya a écrit:
[Mode HS]
Je n'ai plus en tête les chiffres annoncés concernant le nombre de tranches de centrale nucléaire que ferait économiser un parc d'éoliennes en ligne avec les objectifs qu'on s'est fixé mais quoiqu'il en soit, ça ne plait pas du tout à Areva qui fait jouer toutes ses relations en ce moment (y compris d'anciens présidents) pour tirer à boulées rouges sur l'éolien. Ce qui est clair, c'est que l'éolien nécessite un parce de substitution (que fait-on quand il n'y pas de vent ?) et que Danemark comme en Allemagne, ce sont de vieilles centrales à charbon très polluantes qui rendent le bilan carbone de l'éolien peu flatteur. En France, on ne peut pas se servir du nucléaire comme "substitution au pied levé" à cause d'un temps de réaction beaucoup trop long. [/HS]
Malheureusement le réseau électrique devient instable à partir de 15 % d'éolien pour cause de variabilité des vents (la grande panne électrique de 2006 dans l'est de la France a été considérablement amplifié parce que le réseau allemand comporte trop d'éoliennes...). Enfin ces valeurs sont théoriques, installer 8000 éoliennes offshore couterait la peau des fesses, et en installer en plus 8000 sur Terre ne sera pas sans soulever des protestations des riverains... Il est raisonnable de penser qu'à l'horizon 2040 les éoliennes ne satisferont que 10 % de la demande en France, compte tenu de l'augmentation de la demande, des impacts paysagers de leur implantation, et de leur baisse de rendement hors des zones les plus ventées. Ça nous fait l'équivalent de cinq tranches nucléaires à 1600 MW (EPR)... Le stockage ne règle pas grand chose par ailleurs, les sites de turbinage sont déjà utilisés par l'électronuclaire, et ne sont pas si nombreux que ça, quand au stockage sur place (batteries - très couteux, ou air comprimé, rendement médiocre) diminueraient la puissance totale du parc installé... C'est une marotte idéologique à la mode qui couvre l'enrichissement à court terme du green business sur le dos des contribuables.
_________________
Les fous ouvrent les voies qu'empruntent ensuite les sages. (Carlo Dossi)
Henri a écrit:... C'est une marotte idéologique à la mode qui couvre l'enrichissement à court terme du green business sur le dos des contribuables.
Le green business est un réel relais de croissance y compris en provenance des recherches ISS. Même si l'exemple de l'éolienne est effectivement mal choisi car chacun commence à en voir les limites, il existe bien d'autres technologies "green" qui n'auraient pas pour but que d'enrichir le business (y'a pas beaucoup de "clients privés" pour des expériences sur l'ISS car le ROI est beaucoup trop long à leur goût) et appauvrir les contribuables (mécanisme d'ailleurs très spécifique à la France car le Green Business en UK par exemple n'est pas soutenu par le contribuable et crée néanmoins des emplois dans des zones sinistrées par les années Thatcher) mais aussi d'apporter de vraies solutions au problème qui commence enfin à préoccuper notre classe politique après avoir été entrevu il y a déjà longtemps par quelques visionnaires comme JY Cousteau ou PE Victor.
Par contre, ce qui fait le plus peur au lobby soutenant le nucléaire en France, c'est qu'il puisse exister des moyens de production individualisés durables qui permettrait y compris aux industriels de s'affranchir du réseau des producteurs (je pense notamment aux centrales au Thallium qui tiennent déjà sur un semi-remorque pour des puissances honorables mais qui ont encore des inconvénients rédhibitoires puisqu'elles produisent du Plutonium qu'en France, seule la filière militaire a le droit de manipuler). Ces moyens, le spatial et l'aéronautique se doivent de les développer pour leur propre besoin (les avions du 21ème siècle seront de plus en plus électrique) car leurs missions ne leur permet pas de rester connectés au réseau EDF et ça, c'est loin d'être de l'enrichissement à court terme: c'est la survie à long terme de certains moyens de transport qui est en jeu.
D'après "ISS On-Orbit Status 03/31/10"
Traduction automatique:
Dans le laboratoire Kibo JAXA, Timothy a travaillé sur la charge utile DECLIC,en supprimant le RHDD (Disque dur amovible) et HTI (High Temperature Insert) à partir du casier expérience (débranchant le tuyau d'eau pour éviter le débordement).
Traduction automatique:
Dans le laboratoire Kibo JAXA, Timothy a travaillé sur la charge utile DECLIC,en supprimant le RHDD (Disque dur amovible) et HTI (High Temperature Insert) à partir du casier expérience (débranchant le tuyau d'eau pour éviter le débordement).
Fan de Ducrocq- Messages : 3282
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tatiana13 a écrit:tiens un déclic :scratch: : petite piqure de rappel, a-t-on des nouvelles de Déclic
Faites un mp à son papa i.e. georges5. il est intervenu il y a deux mois sur ce fil: http://www.forum-conquete-spatiale.fr/iss-f30/la-science-a-bord-de-l-iss-p186208.htm
D'après ISS On-Orbit Status 04/03/10
extrait en traduction automatique :
DECLIC (Dispositif pour l'étude des liquides critiques et de cristallisation, le CNES / NASA): "Les objectifs de la séquence en cours sur les insérer HTI ont été atteints. Premièrement, nous avons testé avec succès une procédure de contournement afin de minimiser le gradient thermique à l'intérieur de la cellule de l'échantillon. Puis, nous avons effectué des mesures de test qui nous a permis de trouver la température critique de l'eau pour la première fois dans des conditions de microgravité.
extrait en traduction automatique :
DECLIC (Dispositif pour l'étude des liquides critiques et de cristallisation, le CNES / NASA): "Les objectifs de la séquence en cours sur les insérer HTI ont été atteints. Premièrement, nous avons testé avec succès une procédure de contournement afin de minimiser le gradient thermique à l'intérieur de la cellule de l'échantillon. Puis, nous avons effectué des mesures de test qui nous a permis de trouver la température critique de l'eau pour la première fois dans des conditions de microgravité.
Fan de Ducrocq- Messages : 3282
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Localisation : Lorient - Morbihan - Bretagne - France - Europe
http://www.cnes.fr/web/CNES-fr/8447-gp-declic-l-experience-francaise-de-l-iss-livre-ses-secrets.php
Installé à bord de la Station Spatiale Internationale en septembre 2009, l'instrument DECLIC développé par le CNES vient de livrer ses 1ers résultats. Grâce à lui, les scientifiques ont pu repérer à quelle température l'eau se transforme en eau supercritique.
373,995°C. C’est au dessus de cette température que l’eau sous pression (1) se transforme en eau supercritique, autrement dit devient liquide et gazeuse à la fois.
Installé à bord de la Station Spatiale Internationale en septembre 2009, l'instrument DECLIC développé par le CNES vient de livrer ses 1ers résultats. Grâce à lui, les scientifiques ont pu repérer à quelle température l'eau se transforme en eau supercritique.
373,995°C. C’est au dessus de cette température que l’eau sous pression (1) se transforme en eau supercritique, autrement dit devient liquide et gazeuse à la fois.
Doc- Messages : 1591
Inscrit le : 14/03/2010
Age : 38
Localisation : Basse-normandie
En podcast audio, retour sur les premiers résultats de DECLIC (j'arrive pas à mettre le lecteur donc je m'est le lien :oops: )
http://podcasts-cnes.fr/
http://podcasts-cnes.fr/
Doc- Messages : 1591
Inscrit le : 14/03/2010
Age : 38
Localisation : Basse-normandie
http://www.cnes.fr/web/CNES-fr/8872-gp-declic-un-an-en-orbite.php
Voilà un an que le mini-laboratoire développé par le CNES est installé à bord de la station spatiale internationale. Un an que les scientifiques réalisent leurs expériences à distance, depuis la Terre, et observent la matière sous un nouveau jour.
« Le laboratoire DECLIC, qui se trouve dans l’espace depuis 1 an, fonctionne parfaitement, affirme Bernard Zappoli, Responsable du programme de sciences de la matière au CNES. L’équipe du CADMOS de Toulouse a même réussi à corriger certaines anomalies depuis le sol, ce qui était un véritable challenge technique ! »
Car si DECLIC se trouve à 400 km au dessus de nos têtes, dans la station spatiale internationale, les expériences sont pilotées en direct depuis Toulouse.
A quoi s’intéressent les scientifiques ? Aux transformations de la matière et notamment aux fluides « supercritiques », des milieux à la fois liquides et gazeux.
Le 3e module ALI (Alice Like Insert) – consacré au phénomène d’ébullition au voisinage de la T°C critique – sera mis en route en mars 2011.
Et il ne sera sans doute pas le dernier, comme le souligne avec satisfaction Bernard Zappoli, puisque « la NASA, intéressée par DECLIC, envisage de développer un nouvel insert ! »
Doc- Messages : 1591
Inscrit le : 14/03/2010
Age : 38
Localisation : Basse-normandie
Coucou ;o)
Quelques news de DECLIC
Quelques news de DECLIC
georges5- Messages : 149
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Age : 60 Localisation : toulouse
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