[Information] Laboratoire TG-1
Page 1 sur 2
Page 1 sur 2 • 1, 2
Il n'y a que des fils liés aux missions de lancement en lien avec TG-1, j'ouvre donc un fil dédié au laboratoire lui-même, comme pour le fil de TG-2.
2 documents R&D publiés en Avril 2014 sur TG-1, intéressants -
==================================================
https://drive.google.com/file/d/0ByixzEARq7_PUk13am5VX3kwOTQ/edit?usp=sharing
==================================================
https://drive.google.com/file/d/0ByixzEARq7_PeTRtamxzbjk0X3c/edit?usp=sharing
==================================================
Henri K.
2 documents R&D publiés en Avril 2014 sur TG-1, intéressants -
==================================================
https://drive.google.com/file/d/0ByixzEARq7_PUk13am5VX3kwOTQ/edit?usp=sharing
==================================================
https://drive.google.com/file/d/0ByixzEARq7_PeTRtamxzbjk0X3c/edit?usp=sharing
==================================================
Henri K.
En regardant le graphe que nous montre Elixir sur la route altitude/temps de TiangOng 1 cela me rappelle que
je suis certainement le premier auteur à avoir diffusé ce type de représentation graphique à la fin des années
80. Par un hasard incroyable, et non par malice, j'avais persuadé deux opérateurs de l'Orbital Information Group
(OIG) de la NASA Greenbelt Maryland de m'ajouter à la liste des destinataires français des paramètres TLE (Two
Line Elements) via le réseau Telex (110 bits secondes) qui reliait la France à la NASA sur ce sujet. A ma grande
surprise à cette époque il n'y avait que quatre destinataires initiaux : CEL (Centre d'Essai des Landes), CNES
(Toulouse), Bretigny (CEV), et moi et non pas le CNRS ! Bien sûr mes correspondants américains (Smith et Baker)
ne m'avaient validé que pour les Saliout/Mir/Soyouz/STS. Comme j'avais ouvert une base d'information accessible
sous l'agent FTP anonymous (CNRS-LMA), ces informations circulaient donc dans le domaine public en France
pour le moins.
Pour suivre visuellement et radio électriquement Saliout-7 puis Mir j'avais besoin d'un outil de calcul numérique
d'éphémérides, et à cette époque je n'aurais pas su l'écrire, et les logiciels pour ce besoin n'existaient que dans
les laboratoires d'astronomie ou d'astrophysique et probablement chez les militaires. Je l'ai vérifié par la suite
au près du CEDOCAR, le centre de documentation des Armées dans les années 90.
Un collègue chercheur du CNRS avec qui je travaillais professionnellement mais avec qui aussi je participais au
fameux réseau d'observateurs européens de "Barr de Pontieu", une des antennes de Ted Molczan l'encore actuel
grand gourou qui sait qui est qui et où dans notre ciel orbital, m'avait écri ce logiciel d'orbitographie en Fortran IV
à partir d'une lecture de la thèse de Ted S.Kelso, le papa du CELESTRACK.
Cette information des passages de Saliout-7 et Mir par la suite je la diffusais sur les réseaux radio amateurs de
l'époque ce qui permettait à certains de contacter les cosmonautes de Mir avec succès et régularité. Il m'est
arrivé parfois de la diffuser par radio en code télégraphique Morse, c'est vous dire l'acharnement que j'avais...
Un jour ce collègue de travail mais aussi d'observations des objets satellitaires, Joël Piraux de son nom m'avait
conseillé plutôt que de manipuler les masses de données ASCII sur MIR et consorts, d'en faire un graphe. Bonne
idée, j'étais passé à l'acte et j'avais diffusé à la fin des années 80 mes premières représentations que vous voyez
maintenant. Un article paru aux USA sur le Journal de l'AMSAT expliquait comment cela se lisait et à ma grande
surprise cette représentation est devenu coutumière et vous la retrouvez encore de nos jours comme celle que nous
diffuse Elixir.
Pas d'illusion, si je suis sans doute un dès tout premiers amateurs à avoir mis en scène graphique la routes des
satellites manœuvrant et peut-être même le premier à avoir eu le moyen de la diffuser sur l'Internet naissant,
d'autres ont très bien pu se le réinventer depuis dans leur coin car ce n'est pas si original que ça.
Je vous parle d'une affaire qui remonte à presque 30 ans maintenant.
je suis certainement le premier auteur à avoir diffusé ce type de représentation graphique à la fin des années
80. Par un hasard incroyable, et non par malice, j'avais persuadé deux opérateurs de l'Orbital Information Group
(OIG) de la NASA Greenbelt Maryland de m'ajouter à la liste des destinataires français des paramètres TLE (Two
Line Elements) via le réseau Telex (110 bits secondes) qui reliait la France à la NASA sur ce sujet. A ma grande
surprise à cette époque il n'y avait que quatre destinataires initiaux : CEL (Centre d'Essai des Landes), CNES
(Toulouse), Bretigny (CEV), et moi et non pas le CNRS ! Bien sûr mes correspondants américains (Smith et Baker)
ne m'avaient validé que pour les Saliout/Mir/Soyouz/STS. Comme j'avais ouvert une base d'information accessible
sous l'agent FTP anonymous (CNRS-LMA), ces informations circulaient donc dans le domaine public en France
pour le moins.
Pour suivre visuellement et radio électriquement Saliout-7 puis Mir j'avais besoin d'un outil de calcul numérique
d'éphémérides, et à cette époque je n'aurais pas su l'écrire, et les logiciels pour ce besoin n'existaient que dans
les laboratoires d'astronomie ou d'astrophysique et probablement chez les militaires. Je l'ai vérifié par la suite
au près du CEDOCAR, le centre de documentation des Armées dans les années 90.
Un collègue chercheur du CNRS avec qui je travaillais professionnellement mais avec qui aussi je participais au
fameux réseau d'observateurs européens de "Barr de Pontieu", une des antennes de Ted Molczan l'encore actuel
grand gourou qui sait qui est qui et où dans notre ciel orbital, m'avait écri ce logiciel d'orbitographie en Fortran IV
à partir d'une lecture de la thèse de Ted S.Kelso, le papa du CELESTRACK.
Cette information des passages de Saliout-7 et Mir par la suite je la diffusais sur les réseaux radio amateurs de
l'époque ce qui permettait à certains de contacter les cosmonautes de Mir avec succès et régularité. Il m'est
arrivé parfois de la diffuser par radio en code télégraphique Morse, c'est vous dire l'acharnement que j'avais...
Un jour ce collègue de travail mais aussi d'observations des objets satellitaires, Joël Piraux de son nom m'avait
conseillé plutôt que de manipuler les masses de données ASCII sur MIR et consorts, d'en faire un graphe. Bonne
idée, j'étais passé à l'acte et j'avais diffusé à la fin des années 80 mes premières représentations que vous voyez
maintenant. Un article paru aux USA sur le Journal de l'AMSAT expliquait comment cela se lisait et à ma grande
surprise cette représentation est devenu coutumière et vous la retrouvez encore de nos jours comme celle que nous
diffuse Elixir.
Pas d'illusion, si je suis sans doute un dès tout premiers amateurs à avoir mis en scène graphique la routes des
satellites manœuvrant et peut-être même le premier à avoir eu le moyen de la diffuser sur l'Internet naissant,
d'autres ont très bien pu se le réinventer depuis dans leur coin car ce n'est pas si original que ça.
Je vous parle d'une affaire qui remonte à presque 30 ans maintenant.
Magnifique, tout simplement. Des histoires comme je les aime :)
Tezio- Messages : 1981
Inscrit le : 16/02/2006
Age : 70
Localisation : Toulouse
Dans 2 jours ça va faire 3 ans que le premier laboratoire spatial chinois TG-1 est en orbite, les principaux médias chinois ont publiés des longs articles sur lui.
Lancé au 29 Septembre 2011, le laboratoire a fait plus de 10 000 tours autour de la Terre et ont récolté d'importes données spatiales et terrestres. Avec une durée de vie théorique de 2 ans, TG-1 est en excellent état pour continuer son long voyage. D'après certains calculs non officiels, seul moins de 40% de son carburant a été consommé.
Le centre de contrôle spatial de Pékin, BACC, surveille de manière journalière la santé opérationnelle du laboratoire, plus de 7000 paramètres sont monitorés et gérés automatiquement par le système de diagnostique automatique, qui permet de piloter de manière autonome plus de 200 modes de défaillance.
Le laboratoire TG-1, et le 2ème laboratoire spatial TG-2 qui sera lancé en 2015, ont permis à la Chine d'acquérir les expériences nécessaire pour la conception de sa future station spatiale.
http://news.xinhuanet.com/mil/2014-09/26/c_127038824.htm
http://scitech.people.com.cn/n/2014/0926/c1007-25744507.html
http://scitech.people.com.cn/n/2014/0926/c1007-25744551.html
http://gb.cri.cn/42071/2014/09/26/7551s4708578.htm
http://news.xinhuanet.com/mil/2014-09/26/c_127039384_2.htm
Dans l'une des salles de contrôle de BACC, où TG-1 est surveillé. On peut par exemple voir dans l'écran que l'un des satellites de relais de données chinois TL-1-03 participe aux transmissions des données télémétriques.
Henri K.
Lancé au 29 Septembre 2011, le laboratoire a fait plus de 10 000 tours autour de la Terre et ont récolté d'importes données spatiales et terrestres. Avec une durée de vie théorique de 2 ans, TG-1 est en excellent état pour continuer son long voyage. D'après certains calculs non officiels, seul moins de 40% de son carburant a été consommé.
Le centre de contrôle spatial de Pékin, BACC, surveille de manière journalière la santé opérationnelle du laboratoire, plus de 7000 paramètres sont monitorés et gérés automatiquement par le système de diagnostique automatique, qui permet de piloter de manière autonome plus de 200 modes de défaillance.
Le laboratoire TG-1, et le 2ème laboratoire spatial TG-2 qui sera lancé en 2015, ont permis à la Chine d'acquérir les expériences nécessaire pour la conception de sa future station spatiale.
http://news.xinhuanet.com/mil/2014-09/26/c_127038824.htm
http://scitech.people.com.cn/n/2014/0926/c1007-25744507.html
http://scitech.people.com.cn/n/2014/0926/c1007-25744551.html
http://gb.cri.cn/42071/2014/09/26/7551s4708578.htm
http://news.xinhuanet.com/mil/2014-09/26/c_127039384_2.htm
Dans l'une des salles de contrôle de BACC, où TG-1 est surveillé. On peut par exemple voir dans l'écran que l'un des satellites de relais de données chinois TL-1-03 participe aux transmissions des données télémétriques.
- Spoiler:
- Spoiler:
- Spoiler:
Henri K.
D'après les données de l'USSTRATCOM, le laboratoire TG-1 a effectué 2 manoeuvres orbitales le 25 et le 26 Novembre, l'orbite a été rehaussée à 369 x 392 km, environ 21,3m/s de deltaV ont été consommés.
Jusqu'à présent, un total de 202m/s de deltaV ont été consommés, soit 47% du carburant emporté.
Henri K.
Jusqu'à présent, un total de 202m/s de deltaV ont été consommés, soit 47% du carburant emporté.
Henri K.
Après 4 ans en orbite, le laboratoire spatial chinois TG-1 a mené un diagnostic complet à bord le 29 Septembre 2015. Les résultants montrent que tous les paramètres sont nominaux, l'engin est autorisé à prolonger ses missions.
Depuis sa mise en orbite le 29 Septembre 2011, le laboratoire TG-1 s'est amarré avec 3 vaisseaux dont 2 habités. Il volera très probablement aux côtés du 2ème laboratoire spatial TG-2 qui sera lancé en 2016.
http://www.cast.cn/CastCn/Show.asp?ArticleID=49247
Henri K.
Depuis sa mise en orbite le 29 Septembre 2011, le laboratoire TG-1 s'est amarré avec 3 vaisseaux dont 2 habités. Il volera très probablement aux côtés du 2ème laboratoire spatial TG-2 qui sera lancé en 2016.
http://www.cast.cn/CastCn/Show.asp?ArticleID=49247
Henri K.
Elixir a écrit:Après 4 ans en orbite, le laboratoire spatial chinois TG-1 a mené un diagnostic complet à bord le 29 Septembre 2015. Les résultants montrent que tous les paramètres sont nominaux, l'engin est autorisé à prolonger ses missions.
Depuis sa mise en orbite le 29 Septembre 2011, le laboratoire TG-1 s'est amarré avec 3 vaisseaux dont 2 habités. Il volera très probablement aux côtés du 2ème laboratoire spatial TG-2 qui sera lancé en 2016.
http://www.cast.cn/CastCn/Show.asp?ArticleID=49247
Henri K.
Peut-on imaginer un transfert de Shenzhou d'un Tiangong à l'autre, comme l'avaient fait Kizim et Soloviev avec Soyouz T-15 en 1986 en passant de Mir à Saliout-7, avant de revenir sur Mir ?
David L.- Modérateur
- Messages : 34773
Inscrit le : 16/08/2009
Age : 51
Localisation : Troisième planète
Peut-être que la "différence d'age" de ces deux "bidons" ne permet pas d'envisager une union durable ?
Notamment des spécifications techniques qui auraient pu évoluer d'un engin à l'autre, peuvent rendre une telle opération peu souhaitable ?
On verra bien si les chinois publient un planning prévisionnel de ce qu'ils veulent faire de TG1 ???
Notamment des spécifications techniques qui auraient pu évoluer d'un engin à l'autre, peuvent rendre une telle opération peu souhaitable ?
On verra bien si les chinois publient un planning prévisionnel de ce qu'ils veulent faire de TG1 ???
montmein69- Donateur
- Messages : 20962
Inscrit le : 01/10/2005
Age : 73
Localisation : région lyonnaise
Elixir a écrit:wakka a écrit:Et pourquoi pas réunir les 2 ?
De mémoire c'est un système d'amarrage "passif" qui est installé sur les 2 laboratoires, c'est comme si tu veux brancher 2 prises électriques "femelles" ensemble.
Henri K.
Ah oui, effectivement... :scratch:
_________________
Blog sur le suivi du développement d'Orion
David L. a écrit:
Peut-on imaginer un transfert de Shenzhou d'un Tiangong à l'autre, comme l'avaient fait Kizim et Soloviev avec Soyouz T-15 en 1986 en passant de Mir à Saliout-7, avant de revenir sur Mir ?
Je n'ai pas bien compris la question... :suspect:
Henri K.
Elixir a écrit:David L. a écrit:
Peut-on imaginer un transfert de Shenzhou d'un Tiangong à l'autre, comme l'avaient fait Kizim et Soloviev avec Soyouz T-15 en 1986 en passant de Mir à Saliout-7, avant de revenir sur Mir ?
Je n'ai pas bien compris la question... :suspect:
Henri K.
Soyouz T-15 avait été lancé le 13 février 1986 vers Mir, rejoint le 15 février. Le 5 mai, Kizim et Soloviev avaient quitté Mir pour rejoindre le 6 mai Saliout-7/Cosmos-1686. Puis du 25 au 26 juin ils faisaient le transfert inverse, ramenant des équipements et enfin le 16 juillet, ils rentraient sur Terre.
C'est à ce jour la seule mission spatiale à avoir visité deux stations. Est-ce que ce genre de transfert entre deux stations, donc entre les deux Tiangong, est évoqué, envisagé, pour une prochaine mission Shenzhou ?
Quand tu écris "Il volera très probablement aux côtés du 2ème laboratoire spatial TG-2 qui sera lancé en 2016", je déduis qu'ils seront co-orbitants, comme l'étaient Mir et Saliout-7.
David L.- Modérateur
- Messages : 34773
Inscrit le : 16/08/2009
Age : 51
Localisation : Troisième planète
David L. a écrit:
Soyouz T-15 avait été lancé le 13 février 1986 vers Mir, rejoint le 15 février. Le 5 mai, Kizim et Soloviev avaient quitté Mir pour rejoindre le 6 mai Saliout-7/Cosmos-1686. Puis du 25 au 26 juin ils faisaient le transfert inverse, ramenant des équipements et enfin le 16 juillet, ils rentraient sur Terre.
C'est à ce jour la seule mission spatiale à avoir visité deux stations. Est-ce que ce genre de transfert entre deux stations, donc entre les deux Tiangong, est évoqué, envisagé, pour une prochaine mission Shenzhou ?
Quand tu écris "Il volera très probablement aux côtés du 2ème laboratoire spatial TG-2 qui sera lancé en 2016", je déduis qu'ils seront co-orbitants, comme l'étaient Mir et Saliout-7.
Les 2 laboratoires co-orbiteront comme tu dis, mais aucun détail n'est communiqué à ce jour sur leur utilisations.
Henri K.
Il s'est passé quelques choses à bord de TG-1, la Chine vient d'annoncer la fin de missions TG-1 (officiellement ils disent "其功能于近日失效", qui veut dire "perte de fonctions récemment"), le transfert des données est arrêté, et l'engin va être désorbité progressivement.
http://www.cmse.gov.cn/news/show.php?itemid=5275
Rappelons nous qu'en Septembre 2015 le diagnostic à bord du laboratoire montre que tout est normal, et qu'en fin 2015 il était encore question de vol ensemble de TG-1 avec TG-2... Et qu'il y a encore pas mal de propergols à bord.
D'après vous, si l'engin peut encore maintenir son orbite, mais les Chinois sont obligés de l'abandonner, à quoi c'est dû ?
Henri K.
http://www.cmse.gov.cn/news/show.php?itemid=5275
Rappelons nous qu'en Septembre 2015 le diagnostic à bord du laboratoire montre que tout est normal, et qu'en fin 2015 il était encore question de vol ensemble de TG-1 avec TG-2... Et qu'il y a encore pas mal de propergols à bord.
D'après vous, si l'engin peut encore maintenir son orbite, mais les Chinois sont obligés de l'abandonner, à quoi c'est dû ?
Henri K.
Dernière édition par Elixir le Lun 21 Mar 2016 - 14:29, édité 1 fois
nikolai39 a écrit:C'est étrange, parce que s'ils envisagent de le "désorbiter progressivement", cela signifie qu'ils n'ont pas (complètement) perdu le contrôle...
Peut-être parlent-ils de désorbitation progressive pour dire freinage atmosphérique non compensé...
David L.- Modérateur
- Messages : 34773
Inscrit le : 16/08/2009
Age : 51
Localisation : Troisième planète
Il pourrait ne plus être contrôlable avec encore du pétrole dans ses réservoirs, et rejoindre doucement la fin de sa route spatiale par freinage balistique naturel.
Pour la Russie METEOR M1, pour l'Amérique DMSP-19, pour la Russie Ressource P 3, il y a du dégât en orbite en ce moment. Peut-être le soleil se fâche !
Pour la Russie METEOR M1, pour l'Amérique DMSP-19, pour la Russie Ressource P 3, il y a du dégât en orbite en ce moment. Peut-être le soleil se fâche !
Astro-notes a écrit:Pour la Russie METEOR M1, pour l'Amérique DMSP-19, pour la Russie Ressource P 3, il y a du dégât en orbite en ce moment. Peut-être le soleil se fâche !
Dans le fil sur le "Suivi des défaillances de satellites en orbite", nikolai39 nous a informé que le sat est sauvé !
_________________
Blog sur le suivi du développement d'Orion
Oui, Wakka j'ai lu Niko, mais peut-être pourra-t-il être utilisable comme ça (en l'état), il n'en reste pas moins vrai que si j'ai bien lu il a connu une défaillance majeure. Un panneau solaire pas totalement déployé et peut-être un capteur pour participer à son attitude, occulté, ce n'est pas anecdotique.
TG 1 a été lancé en septembre 2011.
L'espace n'est pas un environnement de tout repos.
Même s'il reste des ergols dans les réservoirs qui pouvaient laisser envisager une mission plus longue, des tas de défaillances peuvent se produire, soit par "usure naturelle" d'équipements qui viennent "à lacher' , soit par effets extérieurs (rayon cosmique dégradant des équipements électroniques, impact de micro-météorite ou de débris spatial etc ...)
Bref s'ils ont décidé de désorbiter, (et ils doivent avoir à coeur, pour leur renommée internationale que la rentrée soit contrôlée et que des débris ne tombent pas n'importe où), c'est tout simplement une fin de mission qui aura été menée à bien jusqu'au bout.
L'espace n'est pas un environnement de tout repos.
Même s'il reste des ergols dans les réservoirs qui pouvaient laisser envisager une mission plus longue, des tas de défaillances peuvent se produire, soit par "usure naturelle" d'équipements qui viennent "à lacher' , soit par effets extérieurs (rayon cosmique dégradant des équipements électroniques, impact de micro-météorite ou de débris spatial etc ...)
Bref s'ils ont décidé de désorbiter, (et ils doivent avoir à coeur, pour leur renommée internationale que la rentrée soit contrôlée et que des débris ne tombent pas n'importe où), c'est tout simplement une fin de mission qui aura été menée à bien jusqu'au bout.
montmein69- Donateur
- Messages : 20962
Inscrit le : 01/10/2005
Age : 73
Localisation : région lyonnaise
Peut-on aussi envisager des raisons économiques pour la déorbitation? Vu le ralentissement économique en Chine peut être n'ont-ils pas la possibilité de supporté deux laboratoires en parallèle?
Vous en pensez quoi?
Vous en pensez quoi?
Outan- Messages : 1244
Inscrit le : 30/08/2007
Age : 41
Localisation : Allemagne
Page 1 sur 2 • 1, 2
Sujets similaires
» [Information] Laboratoire TG-2
» [Chine] Futur vol chinois : Shenzhou 8/9/10, Tiangong 1 (2011 ?)
» Le T-shirt du laboratoire hydrodynamique
» Découvrez le laboratoire européen Columbus
» Effet Lense-Thirring gravitomagnétique en laboratoire
» [Chine] Futur vol chinois : Shenzhou 8/9/10, Tiangong 1 (2011 ?)
» Le T-shirt du laboratoire hydrodynamique
» Découvrez le laboratoire européen Columbus
» Effet Lense-Thirring gravitomagnétique en laboratoire
Page 1 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum