La moitié des cubesats fonctionne !
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La moitié des cubesats placés en orbite, soit directement par un vecteur Terre Orbite, soit indirectement depuis un satellite mère comme bien entendu l'ISS ne fonctionnent pas une fois lâchés seuls en orbite !
Le constat est affligeant, même s'il est un peu contesté, il reste tout de même assez alarmant.
Attention l'AMSAT décline l'unique paternité de tous les cubesats, elle ne fait souvent qu'une bonne manière aux universités et écoles en leur fournissant des fréquences radio avec comme gain à son profit de récupérer ce qui reste d'utilisable pour elle en fin de service de ces satellites.
Le constat à cet URL :
http://www.arrl.org/news/view/stmsat-1-youngsters-told-only-half-of-the-cubesats-deployed-into-space-work
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Puis tout en ayant une petite pensée pour David L qui tient ou essaie de tenir à jour les prévisions de lancements, voici la liste des cubesats placés en orbite ces dernières années ; c'est pas triste.
https://sites.google.com/a/slu.edu/swartwout/home/cubesat-database
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Liste allégée des satellites et sondes envoyés dans l'espace depuis 1957
http://astro-notes.org/list_sat.htm
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Liste plus copieuse de Jonathan Mc.Dowell (JSR)
http://planet4589.org/jcm/jmcdowell.html
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Enfin la "bible" la liste totale celle que tient le NORAD/ONU avec son département Sat track à cet URL :
https://www.space-track.org/auth/login
Le constat est affligeant, même s'il est un peu contesté, il reste tout de même assez alarmant.
Attention l'AMSAT décline l'unique paternité de tous les cubesats, elle ne fait souvent qu'une bonne manière aux universités et écoles en leur fournissant des fréquences radio avec comme gain à son profit de récupérer ce qui reste d'utilisable pour elle en fin de service de ces satellites.
Le constat à cet URL :
http://www.arrl.org/news/view/stmsat-1-youngsters-told-only-half-of-the-cubesats-deployed-into-space-work
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Puis tout en ayant une petite pensée pour David L qui tient ou essaie de tenir à jour les prévisions de lancements, voici la liste des cubesats placés en orbite ces dernières années ; c'est pas triste.
https://sites.google.com/a/slu.edu/swartwout/home/cubesat-database
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Liste allégée des satellites et sondes envoyés dans l'espace depuis 1957
http://astro-notes.org/list_sat.htm
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Liste plus copieuse de Jonathan Mc.Dowell (JSR)
http://planet4589.org/jcm/jmcdowell.html
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Enfin la "bible" la liste totale celle que tient le NORAD/ONU avec son département Sat track à cet URL :
https://www.space-track.org/auth/login
J'ai souvent lu que le contact n'avait pu être établi avec tel ou tel satellite après son lancement ou son éjection, mais je n'imaginais pas un tel taux d'échec...
Certes la miniaturisation permet de faire des satellites plus petits en conservant les performances, mais on ne peut pas tout faire avec des petites tailles, des petits budgets, des étudiants, voire des lycéens...
Certes la miniaturisation permet de faire des satellites plus petits en conservant les performances, mais on ne peut pas tout faire avec des petites tailles, des petits budgets, des étudiants, voire des lycéens...
David L.- Modérateur
- Messages : 34773
Inscrit le : 16/08/2009
Age : 51
Localisation : Troisième planète
Oui, comme toi David L j'ai été surpris par cette estimation, 50%, cela fait beaucoup de déception je suppose. D'autre part aussi comme toi, si je ne conteste pas la facilité que nous offre les kits électronique programmable comme "Arduino" et autres, plus qqs lignes de code avec ces processeurs, cela ne fait pas un satellite. Il y manque du durcissement, des tests mécaniques et thermiques, voire un peu d'irradiation artificielle (si possible) ou pour le moins de chocs électromagnétiques, ce serait déjà mieux. Bien sûr il y aurait la phase préparatoire qui passerait par un test sous ballon stratosphérique, c'est pas si nul que ça, mais tout cela complique le travail d'une équipe de jeunes étudiants qui n'a sur son temps de cursus scolaire pas le temps de mener de bout en bout un projet de ce genre.
J'ai toujours eu du mal à saisir la motivation pour des jeunes à participer à une réalisation satellitaire en disant : pour ce groupe cette année vous ne travaillerez que sur la réalisation électrique, mécanique, capteur, puis ce sera une autre équipe l'année prochaine qui bossera sur les tests sol et pourquoi pas sous ballon stratosphérique, et enfin une autre équipe qui l'année suivante s'occupera du lancement du satellite et de la collecte des données (radio électrique). Enfin, pour conclure un dernier groupe qui devra traiter l'information et rédiger une conclusion scientifique ou technologique à cette affaire. LABORIEUX...
J'ai toujours eu du mal à saisir la motivation pour des jeunes à participer à une réalisation satellitaire en disant : pour ce groupe cette année vous ne travaillerez que sur la réalisation électrique, mécanique, capteur, puis ce sera une autre équipe l'année prochaine qui bossera sur les tests sol et pourquoi pas sous ballon stratosphérique, et enfin une autre équipe qui l'année suivante s'occupera du lancement du satellite et de la collecte des données (radio électrique). Enfin, pour conclure un dernier groupe qui devra traiter l'information et rédiger une conclusion scientifique ou technologique à cette affaire. LABORIEUX...
Ca tombe bien puisque la moitié des expériences en orbite de l'ISS foire également plus ou moins. La différence, c'est essentiellement le retour d'expérience.Astro-notes a écrit:La moitié des cubesats placés en orbite, soit directement par un vecteur Terre Orbite, soit indirectement depuis un satellite mère comme bien entendu l'ISS ne fonctionnent pas une fois lâchés seuls en orbite !
...
Quand une expérience ne fonctionne pas comme prévu, c'est déjà une information en soi et ça permet de progresser pour l'expérience suivante soit mieux conçue. Et c'est le cas: les scientifiques à qui on donne une deuxième chance de faire voler une expérience après un échec ont un taux de réussite bien meilleur la seconde fois. Tu dis "Laborieux" Astro-Notes mais le progrès est une marche laborieuse vers le succès: combien d'échecs ont pavé le chemin des grands succès spatiaux que nous connaissons aujourd'hui (e.g. Ariane) ?
Pour les Cubesats, je ne suis pas sûr que les budgets permettent de réaliser de tels diagnostics et d'analyser les raisons de ces échecs (absence de validation du logiciel, défaut de tests, d'assemblage...etc). Y'aurait-il des courbes montrant si le taux d'échecs est resté constant ou si on s'est amélioré ces dernières années?
En effet, rien ne servirait de doubler les budgets alloués aux Cubesats si le taux d'échecs restait le même. Pour le moment, on peut simplement dire qu'on en a pour son argent: on appelle ça les satellites Kleenex dans le métier => pas chers mais jetables.
Il faut quand même voir qu'en fait ce ne sont "que" près de 25% qui réellement ne fonctionnent pas (suivant l’infographie de ce site que tu cite:https://sites.google.com/a/slu.edu/swartwout/home/cubesat-database). Avec 14,8% de DOA ("mort à l'arriver") et 8% d'arrêt de fonctionnement prématuré. Pour les 50%, il faut prendre en compte ceux dont le statut est inconnu (4,6%) et surtout les 20% d'échecs au lancement qui ne sont pas imputables aux Cubesats eux-mêmes. Néanmoins, 25% c'est quand même un taux important qu'il serait bon d'améliorer car sinon on est en train de remplir l'espace avec des objets qui ne servent à rien...
Atlantis- Messages : 1052
Inscrit le : 30/12/2008
Age : 55
Localisation : Ourém-Portugal
Oui, c'est paru dans l'un des rapports d'étape de l'ISS mais ça n'est pas toujours imputable aux scientifiques eux-mêmes. Parfois, le protocole est mal décrit et les conditions de l'expérimentation en orbite empêche de mener l'expérience à son terme. Il y a aussi des erreurs des opérateurs (et oui, malgré l'entrainement intensif et leur très haut niveau de formation) que n'arrivent pas à rattraper les centres leur apportant depuis le sol un support. Le plus fort taux d'échec se trouvant sans conteste dans les expériences censées se dérouler toute seules une fois lancées par les opérateurs et cherchant à s'appuyer parfois sur tels ou tels automatismes des racks les supportant. L'inverse rend plus optimisme: certaines expériences ont pu être rattrapées grâce à l'intervention sur place des opérateurs se trouvent à proximité.Space Opera a écrit:C'est aussi le ratio que j'avais entendu pour les expériences dans les racks.
Mais, encore une fois, quand on parle d'échec d'une expérience, il ne s'agit pas toujours d'un échec du point de vue scientifique car l'absence du résultat attendu est bien souvent en soi une information très intéressante à exploiter. Toutefois, pour les publications scientifiques, qui sont le moteur de la recherche en micro-gravité comme dans d'autres domaines, publier sur un échec n'est pas réellement entré dans les mœurs. Au mieux, on risque de se voir refuser la publication par le comité de lecture et au pire, si c'est finalement publié, on peut ternir sa réputation auprès de ses confrères et des ministères qui financent les scientifiques acceptant de proposer ces expériences.
Par conséquent, sans être vraiment secret, ce fait reste quand même globalement mal connu et se terre aux fins fonds des rapports internes à la NASA et à l'ESA.
Par contre, je n'ai pas la moindre idée si ce taux d'échecs est supérieur en orbite à celui des expériences et tentatives d'expérience menées ici bas par exemple au LHC ou dans ce type d'installation. Je suppose quand même qu'il faut répéter parfois à plusieurs reprises certaines expériences pour finir par obtenir un résultat instructif (positif ou négatif). Le problème pour les expériences en orbite, c'est qu'il faut hélas attendre son tour (compte-tenu de la faible capacité d'upload comparée aux besoins en la matière) avant de pouvoir refaire une expérience.
Intéressant ce point de vu sur les échecs que l'on peut relever dans les expériences dans la recherche scientifique, et les publications que l'on peut lire ou pas. Kostya tu effleures là un vaste sujet dans lequel l'ISS n'échappe pas, mas si le LHC est un exemple par la taille de l'instrument, la fusion thermonucléaire en est un autre aussi où l'on piétine depuis 50 ans est plus au seuil de la fusion en continu. Mais comme tu sembles le dire c'est une fatalité, on est habitué à des échecs secs ou mitigés, cela marche comme ça. Quant à l'altération de la réputation d'une équipe de recherche suite soit à un échec de manipulation, soit à une publication démentie, c'est un risque certain, ce monde n'est pas plus tendre que la "finance", il y a besoin de fond pour financer les équipes, soutenir les thésards, assurer l'équipement et son entretien, ce n'est pas facile. 50% de bons résultats (positifs, négatifs) sur l'ISS c'est peut-être déjà pas si mal ?
Oui, je suppose puisque cela fait partie de l'obligation (en démocratie ;) ) des agences de rendre compte de l'utilisation des deniers publics. Si je me souviens bien le dernier date de 2012 et avait été repris partiellement (seulement les expériences financées par les budgets US) dans ce que la NASA appelle son "decadal survey" livré tous les 10 ans aux commissions du Congrés en charge du suivi des activités spatiales (sous-comité sénatorial pour l'Espace, l'Aéronautique et les sciences associées présidé actuellement par Ted Cruz et sous-comité de la chambre des représentatnts en charge de l'Espace présidé actuellement par Brian Babin mais à l'époque du rapport, c'était Steven Palazzo). Si je ne me trompe pas, le prochain devrait donc sortir en 2022 et on saura alors si des mesures ont pu être prises pour améliorer le taux de réussite des expériences.nikolai39 a écrit:Kostya a écrit:Oui, c'est paru dans l'un des rapports d'étape de l'ISS
Il est public ce rapport ?
Comme le fait remarquer Astro-Notes qui connaît probablement mieux que moi la recherche ici bas, le constat n'a rien d'alarmant pour l'ISS mais cela en fait une installation de recherche comme les autres (ni pire, ni meilleure mais simplement moins flexible quand on sait la quantité de paperasse qu'il faut produire pour avoir le droit de mener une expérience sur l'ISS).
Au demeurant, il n'y a rien de pire que de publier rapidement des résultats encourageants pour marquer l'antériorité (point là aussi très important en recherche scientifique) pour finalement se voir contrer quelques mois ou années plus tard par une contre-expérience démontrant l'inverse en démontant les protocoles antérieurs. C'est à ce genre de "guerre" que se livre les équipes entre elles même si beaucoup savent quand même travailler de concert (surtout sous l'égide des organismes transnationaux type OMS, GIEC...etc), il y a toujours une petite "fierté" soit à être le premier sur tel ou tel découverte, soit à pourvoir démentir celles faites par une autre équipe avec laquelle on a pas collaboré.
C'est ni pire, ni meilleur que d'autres labos de cette taille. A la SNCF, on ne parle pas des trains qui arrivent à l'heure et dans la recherche, on ne parle que des trains qui arrivent à l'heure. C'est une question de culture car l'amélioration constante fait déjà partie de la culture scientifique.Astro-notes a écrit:Intéressant ce point de vu sur les échecs que l'on peut relever dans les expériences dans la recherche scientifique, et les publications que l'on peut lire ou pas. Kostya tu effleures là un vaste sujet dans lequel l'ISS n'échappe pas, mas si le LHC est un exemple par la taille de l'instrument, la fusion thermonucléaire en est un autre aussi où l'on piétine depuis 50 ans est plus au seuil de la fusion en continu. Mais comme tu sembles le dire c'est une fatalité, on est habitué à des échecs secs ou mitigés, cela marche comme ça. Quant à l'altération de la réputation d'une équipe de recherche suite soit à un échec de manipulation, soit à une publication démentie, c'est un risque certain, ce monde n'est pas plus tendre que la "finance", il y a besoin de fond pour financer les équipes, soutenir les thésards, assurer l'équipement et son entretien, ce n'est pas facile. 50% de bons résultats (positifs, négatifs) sur l'ISS c'est peut-être déjà pas si mal ?
autre détail qui change pas mal .
sur terre si l’expérience ne donne presque rien on peut entent cela :
< faut regarder ça de plus près>>
dans l'ISS
cela semble plutôt a cela
<< [président du comité de sélection] votre expérience raté nous a fait perdre 50 millions $ et vous voudriez expédier un autre équipement a cause d'une fluctuation bizarre ?????? :lolnasa: >>
<< .........>>
sur terre si l’expérience ne donne presque rien on peut entent cela :
<
dans l'ISS
cela semble plutôt a cela
<< [président du comité de sélection] votre expérience raté nous a fait perdre 50 millions $ et vous voudriez expédier un autre équipement a cause d'une fluctuation bizarre ?????? :lolnasa: >>
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peronik- Messages : 640
Inscrit le : 01/04/2008
Age : 53
Localisation : region parisienne
En plus, on est même pas sûr qu'en y mettant 100 millions au lieu des 50, l'expérience aurait mieux réussi car on défriche... Par contre, ce qui est certain, c'est qu'en cas d'échec, on se fait engueuler deux fois plus et bannir deux fois plus longtemps si ça a coûté le double. :pale:peronik a écrit:...
<< [président du comité de sélection] votre expérience raté nous a fait perdre 50 millions $ et vous voudriez expédier un autre équipement a cause d'une fluctuation bizarre ?????? :lolnasa: >>
<< .........>>
L'argent ne résout pas tout mais finance et science ne font pas bon ménage: tant qu'on continuera à croire dans certains milieux qu'on peut changer les lois de la physique ou de la biologie (même la loi de Moore qui en a fait rêver plus d'un commence à entrevoir ses limites) soit en mettant la pression sur les humains ou en lâchant plus de financements (l'éternel jeu de la carotte et du bâton), on est pas prêt de progresser dans une meilleure compréhension mutuelle.
22 % des cubesats n'ont jamais pu être contactés après leur lancement.
https://twitter.com/jeff_foust/status/1025804542930309122
https://twitter.com/jeff_foust/status/1025804542930309122
David L.- Modérateur
- Messages : 34773
Inscrit le : 16/08/2009
Age : 51
Localisation : Troisième planète
Ah quand même ; 78% des cubesat fonctionnent, et au total la moitié remplissent leur contrat. On est encore un peu dans l'amateurisme, mais cela change en ce moment, les techniques s'affinent, l'électronique devient plus robuste, et de nouveaux acteurs industriels se présentent en plus des universitaires. Entre Micro, Nano, Pico sat et leur nouvelles fusées associées, il se passe quelque chose en astronautique...
Bonjour,
J'ai lu, dans un précédent message, que "l'on piétine" à propos de ITER (International Thermonuclear Experimental Reactor).
Aussi, j'ouvre, avec votre permission s'il vous plaît, une petite parenthèse :
Il est inexact de dire que les physiciens piétinent.
Tous leurs efforts consistent à trouver de quoi respecter les "conditions de Lawson" : Densité, température et durée de confinement du plasma. La théorie de la magnétohydrodynamique est bien connue et le problème est strictement d'ordre technologique.
ITER ne sera pas une centrale à fusion, c'est seulement un outil qui nous dira si la réaction de fusion deutérium-tritium est possible industriellement.
Ainsi que son nom l'indique, c'est uniquement un montage expérimental.
On sait très bien que ce sera une longue recherche mais on ne constate aucun piétinement.
Fin de la parenthèse.
Cordialement.
J'ai lu, dans un précédent message, que "l'on piétine" à propos de ITER (International Thermonuclear Experimental Reactor).
Aussi, j'ouvre, avec votre permission s'il vous plaît, une petite parenthèse :
Il est inexact de dire que les physiciens piétinent.
Tous leurs efforts consistent à trouver de quoi respecter les "conditions de Lawson" : Densité, température et durée de confinement du plasma. La théorie de la magnétohydrodynamique est bien connue et le problème est strictement d'ordre technologique.
ITER ne sera pas une centrale à fusion, c'est seulement un outil qui nous dira si la réaction de fusion deutérium-tritium est possible industriellement.
Ainsi que son nom l'indique, c'est uniquement un montage expérimental.
On sait très bien que ce sera une longue recherche mais on ne constate aucun piétinement.
Fin de la parenthèse.
Cordialement.
Invité- Invité
[mod]Je me demande s'il ne serait pas judicieux de déplacer cette intervention d'aldebaran sur ITER dans le sujet idoine :
http://www.forum-conquete-spatiale.fr/t17288-iter-ou-en-es-tu-iter
Mais c'est déjà un peu un nécro-sujet, le dernier post date de novembre 2015... :scratch:[/mod]
http://www.forum-conquete-spatiale.fr/t17288-iter-ou-en-es-tu-iter
Mais c'est déjà un peu un nécro-sujet, le dernier post date de novembre 2015... :scratch:[/mod]
_________________
Les fous ouvrent les voies qu'empruntent ensuite les sages. (Carlo Dossi)
katalpa a écrit:Ce qui peut devenir inquiétant, c'est la pollution que ça engendre, une simple bille de 1 centimètre peut détruire un satellite dans l'espace.
Vue l'orbite très basse de ces smallsat, ils ne tarderont pas à descendre se consumer dans l'atmosphère.
Low Earth Orbit and Low Cost Satellite... :iout:Mustard a écrit:katalpa a écrit:Ce qui peut devenir inquiétant, c'est la pollution que ça engendre, une simple bille de 1 centimètre peut détruire un satellite dans l'espace.
Vue l'orbite très basse de ces smallsat, ils ne tarderont pas à descendre se consumer dans l'atmosphère.
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Les fous ouvrent les voies qu'empruntent ensuite les sages. (Carlo Dossi)
Et bien moi je trouve que la moitié, c'est plutôt pas mal !
Quand on sait de quels moyens disposent les équipe de développement, ça pourrait être pire.
Cela dit, j'aimerais vraiment avoir le détail de la répartition des échecs et la définition adoptée pour dire qu'un satellite fonctionne ?
Quand on sait de quels moyens disposent les équipe de développement, ça pourrait être pire.
Cela dit, j'aimerais vraiment avoir le détail de la répartition des échecs et la définition adoptée pour dire qu'un satellite fonctionne ?
Dernière édition par GNU Hope le Lun 6 Aoû 2018 - 11:07, édité 1 fois
GNU Hope- Messages : 603
Inscrit le : 25/07/2016
Age : 58
Localisation : Jargeau Loiret
@GNU Hope, pour ma part c'est simple : s'il est publié au NORAD (Space Track) ou département ONU qui va bien, c'est qu'il a fait au moins un tour de Terre. Si j'ai sa fréquence radio et que j'ai entendu son signal avec effet Doppler, c'est qu'il travaille. Si le client annonce que ses signaux sont "décodable" et qu'il répond aux ordres, de mon point de vue, c'est un succès.
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