[Rocket Lab] Venus Life Finder - 2025
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Le projet vénusien de Rocket Lab inclut une sonde atmosphérique mais également un passage dans l'atmosphère du satellite principal, basé sur la plate-forme Photon, pour échantillonnage. [mauvaise compréhension du tweet]
https://twitter.com/Peter_J_Beck/status/1305611014340141056
https://twitter.com/Peter_J_Beck/status/1305611014340141056
Dernière édition par David L. le Dim 31 Mar 2024 - 18:34, édité 4 fois
David L.- Modérateur
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On a que ça comme info? parce que flyby sa veux dire survol, pas passage dans l'atmosphere. il y a un message ou il parle de "skimming"?David L. a écrit:Le projet vénusien de Rocket Lab inclut une sonde atmosphérique mais également un passage dans l'atmosphère du satellite principal, basé sur la plate-forme Photon, pour échantillonnage.
https://twitter.com/Peter_J_Beck/status/1305611014340141056
phenix a écrit:On a que ça comme info? parce que flyby sa veux dire survol, pas passage dans l'atmosphere. il y a un message ou il parle de "skimming"?David L. a écrit:Le projet vénusien de Rocket Lab inclut une sonde atmosphérique mais également un passage dans l'atmosphère du satellite principal, basé sur la plate-forme Photon, pour échantillonnage.
https://twitter.com/Peter_J_Beck/status/1305611014340141056
https://twitter.com/Peter_J_Beck/status/1305610387505647616
Dernière édition par David L. le Mar 15 Sep 2020 - 7:02, édité 1 fois
David L.- Modérateur
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Après une relecture plus attentive du tweet auquel Peter Beck répond, je pense qu'il faut comprendre analyse in-situ plutôt que récolte d'échantillons. La sonde atmosphérique fera l'analyse et renverra les données au satellite principal qui survolera la zone. Donc ce qu'ont fait Galileo et Cassini.
David L.- Modérateur
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Peter Beck aimerait faire plusieurs missions vers Vénus
https://twitter.com/Peter_J_Beck/status/1305645857107140608?s=20
Le plan est une sonde balistique. Nous pouvons obtenir un bon temps d'échantillonnage.
https://twitter.com/Peter_J_Beck/status/1305686281712623616?s=20
La sonde serait conique (aérodynamique) avec sphère en titane pressurisée pour instruments.
https://twitter.com/Peter_J_Beck/status/1305826747741401088?s=20
Ce serait peut-être bien de déplacer les messages concernant le projet de sonde vénusienne de Rocket Lab dans un nouveau sujet dans la partie Vénus ?
[mod]Création d'un sujet à part
Wakka[/mod]
https://twitter.com/Peter_J_Beck/status/1305645857107140608?s=20
Le plan est une sonde balistique. Nous pouvons obtenir un bon temps d'échantillonnage.
https://twitter.com/Peter_J_Beck/status/1305686281712623616?s=20
La sonde serait conique (aérodynamique) avec sphère en titane pressurisée pour instruments.
https://twitter.com/Peter_J_Beck/status/1305826747741401088?s=20
Ce serait peut-être bien de déplacer les messages concernant le projet de sonde vénusienne de Rocket Lab dans un nouveau sujet dans la partie Vénus ?
[mod]Création d'un sujet à part
Wakka[/mod]
Fabien0300- Modérateur
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Le 16 août 2022, Rocket Lab avait annoncé l'envoi d'une mission vers Vénus en partenariat avec le MIT:
Les détails de cette mission peuvent être consultés ici:
https://www.mdpi.com/2226-4310/9/8/445/htm
Cette mission aurait du partir en mai dernier, mais aucune nouvelle.
Il semblerait désormais qu'elle soit reportée à janvier 2025:
https://techcrunch.com/2023/06/01/rocket-labs-private-mission-to-venus-slips-to-2025/
[mod]Sujets fusionnés
Wakka[/mod]
Les détails de cette mission peuvent être consultés ici:
https://www.mdpi.com/2226-4310/9/8/445/htm
Cette mission aurait du partir en mai dernier, mais aucune nouvelle.
Il semblerait désormais qu'elle soit reportée à janvier 2025:
https://techcrunch.com/2023/06/01/rocket-labs-private-mission-to-venus-slips-to-2025/
[mod]Sujets fusionnés
Wakka[/mod]
Choros- Messages : 1363
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Localisation : Bourges
La sonde pourrait être lancée dans une fenêtre s'ouvrant le 30 décembre 2024 et se prolongeant en 2025.
https://spacenews.com/rocket-lab-plans-late-2024-launch-of-venus-mission/
https://spacenews.com/rocket-lab-plans-late-2024-launch-of-venus-mission/
David L.- Modérateur
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Documents présentés par Christopher Mandy durant une réunion du VEXAG (Venus Exploration Analysis Group) le 30 octobre 2023 :
David L.- Modérateur
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Localisation : Troisième planète
On a parlé de venus ? Donc me voici.
Merci de c’est info. C’est vrai qu’on entend parler depuis un moment de cette mission qui est toujours annoncé pour la prochaine fenêtre de tire vénusien. J’espéré que cette fois se sera la bonne. Ce sera la première mission lancé vers venus depuis akasuki en 2010 (je ne parle pas des survols vers une autre destination) et la premier mission in-situ depuis les missions vega de la fin des années 80. Elle sera surtout la première mission d’un nouveau genre, celle des sondes d’étude interplanétaire lancée par un micro lanceur. Il y a des sous élément de mission interplanétaire qui ont déjà était plus léger, mais je ne crois pas de mission complète de moins de 100kg au moment du transfert (315kg c’est en prenant les ergols nécessaire a sont injection trans venusien).
Elle fait partie d’une série de mission de plus en plus complexité croissante organisé par le MIT pour étudier l’hypothèse d’une vie dans les nuages (pour l’instant je garde mon avis la dessus).
Sur le plan technique :
LEOPS = low earth orbit ??? ou low earth operation (ce qui veut pas dire grand-chose). En tout, vu que ca dure plusieurs jours, cela veut dire que la sonde est large en orbite basse puis s’injectera en trans venusien toute seul (on voie aussi que la masse initial de la sonde est proche des limite de l’electron pour l’orbite basse). Vu que ça prend une semaine et pas des mois, le rapport poussé/poids du vaisseau doit être assez élevé (j’essayerais d’affiné les calculs) et l’injection se fera en seulement quelque poussé voit qu’une seul. C’est pour assurer le pilotage dans cette période critique qu’il y a une antenne GPS (inutile sur venus).
Ensuite la croisière dure 5 mois, donc on est sur un transfert de hohmann classique, ce que confirme la vitesse d’entré dans l’atmosphère (11km/s). On a aussi une indication de l’angle d’entré de -10° ce qui est classique sans être particulièrement précis. Avec c’est deux donnée, on sait déjà que la sonde vas subir 73g dans sa rentre atmosphérique balistique et un flux thermique (là j’ai plus d’approximation) de 1442kW/m² soit une température du corps noir de 2000°C. C’est plutôt faible pour une sonde interplanétaire.
Le temps de chute de 65km à 45km d’altitude en 5min est assez cohérant d’une chute sans parachute, comme montré sur le schéma.
Sur le plan scientifique :
Bon c’est service minimum, mais on ne peut pas en demandé beaucoup plus a une sonde de 17kg. Elle vas caractériser les nuages alors qu’elle traverse la couche de nuage (65 à 50km) et la couche des brume (50 a 45km). Cette dernier est assez méconnu car masqué par les nuages au-dessus. C’est dommage d’avoir juste un néphélométrie car a 45km d’altitude, ils sont sous les brumes et pourrais faire des images du sol. Mais une caméra serais surement trop lourd et surtout nécessiterais top de temps de transmission. Pour finir elle est design pour tenir jusqu’à 22km d’altitude, soit 17bars et 280°C.
Merci de c’est info. C’est vrai qu’on entend parler depuis un moment de cette mission qui est toujours annoncé pour la prochaine fenêtre de tire vénusien. J’espéré que cette fois se sera la bonne. Ce sera la première mission lancé vers venus depuis akasuki en 2010 (je ne parle pas des survols vers une autre destination) et la premier mission in-situ depuis les missions vega de la fin des années 80. Elle sera surtout la première mission d’un nouveau genre, celle des sondes d’étude interplanétaire lancée par un micro lanceur. Il y a des sous élément de mission interplanétaire qui ont déjà était plus léger, mais je ne crois pas de mission complète de moins de 100kg au moment du transfert (315kg c’est en prenant les ergols nécessaire a sont injection trans venusien).
Elle fait partie d’une série de mission de plus en plus complexité croissante organisé par le MIT pour étudier l’hypothèse d’une vie dans les nuages (pour l’instant je garde mon avis la dessus).
Sur le plan technique :
LEOPS = low earth orbit ??? ou low earth operation (ce qui veut pas dire grand-chose). En tout, vu que ca dure plusieurs jours, cela veut dire que la sonde est large en orbite basse puis s’injectera en trans venusien toute seul (on voie aussi que la masse initial de la sonde est proche des limite de l’electron pour l’orbite basse). Vu que ça prend une semaine et pas des mois, le rapport poussé/poids du vaisseau doit être assez élevé (j’essayerais d’affiné les calculs) et l’injection se fera en seulement quelque poussé voit qu’une seul. C’est pour assurer le pilotage dans cette période critique qu’il y a une antenne GPS (inutile sur venus).
Ensuite la croisière dure 5 mois, donc on est sur un transfert de hohmann classique, ce que confirme la vitesse d’entré dans l’atmosphère (11km/s). On a aussi une indication de l’angle d’entré de -10° ce qui est classique sans être particulièrement précis. Avec c’est deux donnée, on sait déjà que la sonde vas subir 73g dans sa rentre atmosphérique balistique et un flux thermique (là j’ai plus d’approximation) de 1442kW/m² soit une température du corps noir de 2000°C. C’est plutôt faible pour une sonde interplanétaire.
Le temps de chute de 65km à 45km d’altitude en 5min est assez cohérant d’une chute sans parachute, comme montré sur le schéma.
Sur le plan scientifique :
Bon c’est service minimum, mais on ne peut pas en demandé beaucoup plus a une sonde de 17kg. Elle vas caractériser les nuages alors qu’elle traverse la couche de nuage (65 à 50km) et la couche des brume (50 a 45km). Cette dernier est assez méconnu car masqué par les nuages au-dessus. C’est dommage d’avoir juste un néphélométrie car a 45km d’altitude, ils sont sous les brumes et pourrais faire des images du sol. Mais une caméra serais surement trop lourd et surtout nécessiterais top de temps de transmission. Pour finir elle est design pour tenir jusqu’à 22km d’altitude, soit 17bars et 280°C.
Peut-on donner quelques infos "pour les nuls" sur l'instrument qui sera utilisé pour collecter des données par analyse des "gouttes" dans les nuages [ to detect the presence of organic compounds in droplets in the planet’s clouds] , le "autofluorescence nephelometer" ?
J'ai trouvé ceci .... mais mes neurones se sont rapidement mis en "pause"
https://www.researchgate.net/publication/363303808_Deducing_the_Composition_of_Venus_Cloud_Particles_with_the_Autofluorescence_Nephelometer_AFN
J'ai trouvé ceci .... mais mes neurones se sont rapidement mis en "pause"
https://www.researchgate.net/publication/363303808_Deducing_the_Composition_of_Venus_Cloud_Particles_with_the_Autofluorescence_Nephelometer_AFN
montmein69- Donateur
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Localisation : région lyonnaise
Honnêtement, je ne suis pas spécialiste des instruments, mais en gros, un néphélomètre, est un instrument optique d’échantillons eclairé. On a une source de lumière (ici un laser) qui éclaire un volume d’etude (ici un flux d’air le long de la parois du vaisseau) et un capteur situer a 90° de l’axe lumiere - echantillon. Ainsi, on capte la lumière du laser réfléchis par les particules en suspension. Cela permet (par ces principes optique que je ne maitrise pas complètement) de connaitre le diamètre des particules, le nombre de particule dans le volume, si elles sont liquides ou cristallines et d’avoir des indices sur leur composition (par l’indice de réfraction et aussi la fluorescence).montmein69 a écrit:Peut-on donner quelques infos "pour les nuls" sur l'instrument qui sera utilisé pour collecter des données par analyse des "gouttes" dans les nuages [ to detect the presence of organic compounds in droplets in the planet’s clouds] , le "autofluorescence nephelometer" ?
J'ai trouvé ceci .... mais mes neurones se sont rapidement mis en "pause"
https://www.researchgate.net/publication/363303808_Deducing_the_Composition_of_Venus_Cloud_Particles_with_the_Autofluorescence_Nephelometer_AFN
Publication présentant cette mission plus en détails :
Rocket Lab Mission to Venus
https://arxiv.org/abs/2208.07724
Rocket Lab Mission to Venus
https://arxiv.org/abs/2208.07724
David L.- Modérateur
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Age : 51
Localisation : Troisième planète
Cette mission m'intrigue. Est-elle est conçue et financée par RocketLab ? (dans ce cas, quelle est la réalité économique pour l'entreprise ? Est-ce une perte sèche ?)
MIT finance t-elle la mission, ou l'Etat américain ?
MIT finance t-elle la mission, ou l'Etat américain ?
Fabien- Messages : 6866
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Localisation : Paris (75)
Je verrai cela plus comme un investissement r et d et publicitaire!
Outan- Messages : 1244
Inscrit le : 30/08/2007
Age : 41
Localisation : Allemagne
Lancement reporté à 2025, Rocket Lab donnant la priorité aux missions commandées par les clients.
https://www.space.com/rocket-lab-private-venus-mission-delayed-2025
https://www.space.com/rocket-lab-private-venus-mission-delayed-2025
David L.- Modérateur
- Messages : 34773
Inscrit le : 15/08/2009
Age : 51
Localisation : Troisième planète
On reparle d'éventuelles biosignatures des nuages :
[url defaultattr=][/url]https://trustmyscience.com/indices-suggerent-presence-vie-atmosphere-venus/
ammoniac en plus de la phosphine
[url defaultattr=][/url]https://trustmyscience.com/indices-suggerent-presence-vie-atmosphere-venus/
ammoniac en plus de la phosphine
Bip- Messages : 249
Inscrit le : 18/01/2007
Age : 72 Localisation : Paris
Je n’ai pas eu le temps de rebondir là-dessus avant mais ça parle de Venus, donc je me dois de passer une tête.Bip a écrit:On reparle d'éventuelles biosignatures des nuages :
https://trustmyscience.com/indices-suggerent-presence-vie-atmosphere-venus/
ammoniac en plus de la phosphine
Se qu’il faut bien comprendre c’est que dans se débat sur Vénus ce qui est important n’est pas Vénus.
Bon je n’ai pas trouvé la publication dont parle l’article donc je me base uniquement sur se dernier. Mais en gros, l’ammoniac et la phosphine sont des éléments assez instables qui n’aurais pas pu rester sur une planète de la taille de la terre ou Vénus depuis les origines (si encore il y en avait à l’origine). Donc si on en trouve, c’est qu’il a était produit récemment. Or, aujourd’hui, on ne connaît aucun processus non biologique pour en crée sur une planète de la taille de la Terre ou Vénus. Donc, selon l’état de nos connaissance actuel, la présence d’ammoniac et de phosphine sombre indiqué qu’il y a un processus biologique, d’où le nom de « biosignature ».
Cette volonté de définir des biosignatures a pris un coup d’accélérateur depuis la découverte et l’étude d’exoplanète car on sait pertinemment qu’ont pourra pas y envoyer des sondes pour savoir s’il y a de la vie ou non. Or C’est un rêve de l’humanité de trouvé une planète similaire à la nôtre abritant la vie (une exo terre comme on nous en rabat les oreilles à chaque fois qu’on trouve une exoplanète un peu ressemblent a la terre). Donc on ne pourra le déterminer qu’il d’y a de la vie qu’à partir d’image (très peu détailler) des télescopes et (surtout) la spectrométrie de l’atmosphère issue de ces images.
C’est pour ça qu’il y a quelque année le MIT a voulu teste des méthodes de détection de la phosphine qui (lorsqu’ on auras des instruments assez puissance) serais utilisé sur les exoplanètes. Donc ils avaient prévu d’étudier les géantes gazeuses sur lesquelles on sait qu’il y a de la phosphine du a des procèdes non biologique impossible sur les planètes plus petites. Ils devaient aussi étudier Vénus, planète ressemblante a la terre en therme de taille (donc ressemblante aux exoterres qu’on veut étudier) mais sans vie, donc forcément sans phosphine. Or, pas de bol, des les premiers mesure on y a trouvé de la phosphine.
Il y a eu de gros débat sur d’éventuelle erreur de mesure ou au moins sur la concentration détectée. Aujourd’hui c’est (semble-t-il) une autre équipe qui détecte de la phosphine et de l’ammoniac. Donc il y a 4 possibilité
Erreur de mesure : il n’y a pas de phosphine sur Vénus et il y a eu un problème dans la procédure (informatique, interférence, problème matériel) qui a donné un faux positif. Pour le détecté, il faudrait que d’autre équipe effectuer les mêmes mesures avec du matériel diffèrent, voir s’ils ont les mêmes résultats. C’est important car si c’est un bug informatique ou une interférence, il faut l’éliminer avant d’analysé les exoplanètes au risque d’avoir des faux positives de partout (avec les media qui semblerons sur la vie dans l’univers).
Erreur de méthode : il n’y a pas de phosphine sur Vénus, l’observation a bien était mené, mais c’est la méthode d’analyse qui ne vas pas et qui a donnée un faux positif. Il faudrait testé d’autre méthode pour confirmé qu’il n’y a pas de phosphine (j’ai envie de vous dire que le plus simple est d’envoyer une sonde sur place, mais c’est presque mon boulot donc je suis pas neutre =D) afin de corrigé la méthode. C’est important, car si on utilise une méthode erroné pour les exoplanètes, on vas avoir des faux positif partout(avec les media qui semblerons sur la vie dans l’univers).
Procedes non biologique : il y a de la phosphine sur Vénus, mais sa viens pas de la vie. Il faudrait testé d’autre methode pour confirmé qu’il y a de le phosphine (toujours chaud pour envoyer une sonde) et surtout comprende comment elle est apparu sans vie, chose qui nous parais impossible aujourd hui. C’est important car sa permetrais de retiré la phosphine de la liste des biosignature et donc si on en trouve sur des exoplanetes on sera que c’est pas forcement par se qu’il y a vie (et evité l’embalement médiatique)
Procédé biologique : il y a de la phosphine sur Vénus et ça vien de la vie. Il faudrait confirmé par d’autre méthode (la vraiment je vois pas comment on peut faire sans sonde) et on se prendra l’emballement médiatique en plein gueule (fin de notre unicité, reevaluation de l’equation de drake, debat sur la penspermis……) et se sera justifier.
Anovel et Choros aiment ce message
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