Horloges atomiques
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Invité- Invité
...Ici on parle de l'importance de la syncronisation entre differents satellites et notament du bouquet Glonasse qui sera faite grace aux horloges atomiques qui fonctionnent avec de l'hydrogene du cesium et rubidium(?)...Pas si hors sujet que ca...
REDGUARD- Messages : 587
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pour completer le sujet, un petit reportage passé au JT de TF1
http://videos.tf1.fr/jt-we/la-mesure-du-temps-de-plus-en-plus-precise-5045943.html
;)
http://videos.tf1.fr/jt-we/la-mesure-du-temps-de-plus-en-plus-precise-5045943.html
;)
Dernière édition par yoann le Dim 25 Oct 2009 - 19:22, édité 1 fois
yoann- Messages : 5781
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yoann a écrit:pour completer le sujet, un petit reportage passer au JT de TF1
http://videos.tf1.fr/jt-we/la-mesure-du-temps-de-plus-en-plus-precise-5045943.html
;)
Je voulais en parlé de ce petit reportage vue hier sur TF1 film lors de la présentation de la ville d'Annecy
Ça pourrait trouver sa place dans la rubrique : Technique/AutresREDGUARD a écrit:...Ici on parle de l'importance de la synchronisation entre différents satellites et notamment du bouquet Glosnass qui sera faite grâce aux horloges atomiques qui fonctionnent avec de l'hydrogène, du césium et rubidium(?)...Pas si hors sujet que ca...
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Les fous ouvrent les voies qu'empruntent ensuite les sages. (Carlo Dossi)
Si l’Observatoire de Paris se positionne aujourd’hui sur tous les créneaux de l’astrophysique, depuis la planétologie jusqu’à la cosmologie, il occupe une position de pointe dans le domaine de la métrologie de l’espace et du temps. On peut citer notamment la conception et le développement d’horloges atomiques (dont l’horloge PHARAO qui doit être embarquée à bord la Station Spatiale Internationale), et de capteurs inertiels (gravimètres, gyromètres et accéléromètres). Il joue un rôle clé dans la définition des systèmes de référence, et fournit en permanence le temps légal en France. C’est au total une quinzaine de projets instrumentaux qui sont menés par le SYRTE, dans le domaine des mesures de très haute précision avec des atomes froids : horloges atomiques, capteurs inertiels (gyromètre, accéléromètre, gravimètre). Les applications de ces projets (à finalité « sol » ou « spatial ») sont très variées : métrologie fondamentale, tests des lois de la physique fondamentale, systèmes de positionnement par satellites (Galileo), échelles de temps atomique, géophysique, navigation inertielle…
ausi pour aller plus loin, pour ceux que ce domaine interesse, il y a le 19 novembre 2009 à compter de 14h00 au palais de la découverte à Paris, une conférence :
Felix PEROSANZ, ingénieur au CNES, membre du Groupe de recherches en géodésie spatiale (GRGS)
Le programme Galileo de navigation par satellites est en cours de développement par l'Europe. C'est la solution ultime à un problème auquel l'homme est confronté depuis les origines de la civilisation : connaître précisément sa position dans l'espace et dans le temps. Ceci nécessite, au-delà de la construction de la constellation et des installations sol, de mettre en place un repère spatio-temporel où les précisions doivent atteindre la nanoseconde comme le mètre. Il faut donc faire appel au développement d'horloges atomiques, régler des questions liées à la position de la Terre par rapport à un système inertiel, tenir compte de la propagation des signaux de navigation dans l'ionosphère et la troposphère, prendre en compte la relativité générale et restreinte. A l'inverse, à côté des applications pour la société civile et la défense il est possible d'utiliser les signaux de navigation pour des applications scientifiques.
Cette conférence fera le point sur le système Galileo en abordant les aspects fondamentaux de la navigation par satellites, ses applications scientifiques (en météorologie, géophysique, physique spatiale, océanographie, observation de la Terre… ), l'état de l'art en physique et les systèmes futurs.
ausi pour aller plus loin, pour ceux que ce domaine interesse, il y a le 19 novembre 2009 à compter de 14h00 au palais de la découverte à Paris, une conférence :
Felix PEROSANZ, ingénieur au CNES, membre du Groupe de recherches en géodésie spatiale (GRGS)
Le programme Galileo de navigation par satellites est en cours de développement par l'Europe. C'est la solution ultime à un problème auquel l'homme est confronté depuis les origines de la civilisation : connaître précisément sa position dans l'espace et dans le temps. Ceci nécessite, au-delà de la construction de la constellation et des installations sol, de mettre en place un repère spatio-temporel où les précisions doivent atteindre la nanoseconde comme le mètre. Il faut donc faire appel au développement d'horloges atomiques, régler des questions liées à la position de la Terre par rapport à un système inertiel, tenir compte de la propagation des signaux de navigation dans l'ionosphère et la troposphère, prendre en compte la relativité générale et restreinte. A l'inverse, à côté des applications pour la société civile et la défense il est possible d'utiliser les signaux de navigation pour des applications scientifiques.
Cette conférence fera le point sur le système Galileo en abordant les aspects fondamentaux de la navigation par satellites, ses applications scientifiques (en météorologie, géophysique, physique spatiale, océanographie, observation de la Terre… ), l'état de l'art en physique et les systèmes futurs.
tatiana13- Messages : 6102
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