Gravité artificielle grâce à la force centrifuge

Le problème est simple. Quel est le rapport de prix entre une étude de la physiologie ou plutôt de la pathophysiologie de l’être humain en microgravité ou celle sur la gravité artificielle. Concernant la première, le cobaye est le cosmonaute, astronaute, spationaute, taikonaute et autres tout là haut-aunautes ( comment s’appelleron le indiens?) et c’est gratuit ! Pour l’autre étude il faut débourser un peu plus. Voilà tout est dit !

https://fr.wikipedia.org/wiki/Astronaute#Vyomanaute

Vyomanaute
Astronaute indien travaillant pour un programme spatial indien, du sanskrit vyoma (« ciel »).
Au même titre que le terme « taïkonaute », l'usage de ce néologisme est critiqué par certains linguistes, qui font valoir « l'absurdité de prétendre imposer à la langue française la surcharge inouïe de désigner une même activité professionnelle par un nom différent selon la nationalité de qui exerce la profession ou pratique l'activité »

C'est de la même veine que les "amarsissages" de tous poils...

Pourquoi pas les nommer tout simplement pilotes et passagers car le terme pompeux d’astronaute etc. est d’après moi une définition politico-médiatique... j’arrête ici car ça sort du sujet !

vp a écrit:
Je n'ai toujours pas compris pourquoi nous n'avons toujours pas essayer de faire une centrifugeuse en orbite.

On a essayé sur Gemini XI !

De manière intuitive, il y a deux phénomènes à étudier qui pourraient perturber les individus dans un dispositif en rotation :
1/ La différence de gravité (gradient) entre la tête et les pieds d'un individu. Plus le rayon du dispositif est grand, moins elle doit être décelable. La circulationi sanguine doit être perturbée.
2/ La force de coriolis qui doit faire pencher un individu entrain de marcher sur une paroi intérieure d'une station type 2001 Odyssée de l'Espace.

Après, il y aurait des dispositifs, pour recréer une pesanteur par période, comme celui testé par Jamy. 
Le problème c'est que l'on ne peut rien faire pendant qu'on tourne...et on rencontre le cas 1/.

Bon, quand ils doivent faire des exercices plusieurs heures par jour, ils ne peuvent pas travailler non plus. Tête bien coincée, ils pourraient regarder un film ou écouter de la musique... plus sympa que de transpirer à grosses gouttes.

Une vidéo intéressante sur l’état physique d’un astronaute après 6 mois passés en microgravité 
https://twitter.com/Astro_Feustel/status/1075889929119547393

Pas de doute il faudra avoir résolu ce problème pour Mars après les six ou neuf mois de voyage, même si les astronautes pourront garder les yeux grands ouverts.