Projet de drone dans l'atmosphère de Vénus (NASA)
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Il y a quelques semaines, la NASA a passé un contrat avec Black Swift Technologie pour construire un drone capable de survivre dans l'atmosphère de Vénus pour voir si de la vie organique y existe. Pour rappel, une hypothèse était sortie en avril :
http://www.lefigaro.fr/sciences/2018/04/09/01008-20180409ARTFIG00105-et-s-il-y-avait-de-la-vie-dans-les-nuages-de-venus.phpLes récentes missions spatiales qui ont survolé, même brièvement, la deuxième planète la plus proche du Soleil (en particulier la sonde japonaise Akatsuki en orbite depuis 2015) ont remarqué que les épais nuages de Vénus absorbaient préférentiellement certaines couleurs (le bleu-violet et le proche UV, ce qui donne à Vénus sa teinte légèrement jaunâtre). «Les auteurs imaginent que ce sont des organismes qui absorberaient ces couleurs et s'en serviraient comme source d'énergie, un peu comme les plantes utilisent la chlorophylle»
https://sciencepost.fr/2018/07/bientot-un-drone-au-dessus-des-nuages-de-venus/Jusqu’à présent, la NASA a attribué un contrat initial de six mois à l’entreprise pour concevoir un drone d’essai. [...] À la fin de la période de six mois, Black Swift présentera son concept à la NASA pour approbation. “S’ils aiment ce que nous avons imaginé, ils vont financer un autre projet de deux ans pour construire des prototypes“.
Fabien0300- Modérateur
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Bonjour
Etant légèrement intéressé par l’exploration de Vénus je ne pouvais que choisir se sujet pour mon retour a la civilisation après une retraite estival.
Première chose, ce n’est que les préparatifs du début du commencement de l’étude de l’hypothèse d’une éventuelle mission mais, ça prouve que la NASA rappel que Vénus existe (enfin pour les assistances gravitationnelles ils sont comptés qu’elle soit la).
Sur le pourquoi : « recherche la vie » fait un peu racoleur (pour un article internet, on peut dire putaclic). Même si la découverte de la vie serait un bouleversement dans l’histoire de la science (le débat n’est pas sur cette possibilité, il y a un sujet pour cela) j’espère que se n’est pas le vrai objectif de la mission. En effet, aujourd’hui on en sait en réalité très peu sur Vénus, la circulation horizontale de la zone des nuages a était étudier par venus express avec un incertitude assez importante. Pour la circulation verticale c’est encore pire, on a que les dizaines d’heures d’enregistrement des ballons Vega juste autour de l’équateur. Donc il est étrange de consacrer une mission entière à la recherche d’un élément aussi hypothétique sachant qu’on ne sais même pas si l’environnement si prêt vraiment (et je ne veux même pas rentrer le débat sur « sais on vraiment à quoi peu ressemble la vie »). Bref ça revient à se baladé dans un pays choisi au hasard a la cherché d’un ours blanc.
Sur le comment : les images ci-joint semble indiqué qu’on s’achemine vers un moto-planeur. Je trouve ce choix étrange car :
-Particulièrement difficile à déployé, encore plus que l’aile volante gonflable de Lockheed.
-Nécessite une propulsion régulière pour ne pas descendre dans la zone de brume inferieur qui serait fatal aux équipements.
-Il serait illusoire d’espère dépassé les 360km/h qui permettrait de rester statique (es donc resté dans le jour) il faudrait donc passer des dizaines d’heure (au moins une trentaine si on fleurette avec les courant torique situer autour des vortex polaire) sur la face obscure, il faudra donc d’important (et donc lourd) système de stockage d’énergie pour pouvoir continuer a propulsé de nuit.
-je ne sais pas si vous avait traversé un essaim de moustique avec une voiture a 50km/h, j’ai essayé et aucun n’a touché mon parebrise, simplement parce que la masse d’air réagie atour de la voiture. Donc essayer de capter des bactéries avec un moto-planeur, c’est possible mais compliqué.
- comme dit on connait très mal la circulation (notamment vertical) de l’atmosphère de Vénus, or un planeur est assez sensible aux rafales verticales qui pourrait casser les ailes.
Personnellement (mais c’est eu qui on le budget donc c’est eux qui on raison) je suis plus pour un ballon. En plus, le plan neutre de la cellule de Hadley se situe en plein milieu de la zone de nuage. Autrement dit on peut choisir la zone d’étude, pour aller vers l’équateur il faut descendre sous ce plan et pour se décaler vers les pôles il faut passer au-dessus. Bon, je développerais bientôt le concept, mais je n’ai pas encore réussi à dimensionner le système de communication.
Bon comme je l’ai dit c’est qu’un point de vue personnel. Vu le nombre de spécialiste qui se penche dessus, Je suis sûr que le projet sera très bien mené et très intéressant a suivre.
Etant légèrement intéressé par l’exploration de Vénus je ne pouvais que choisir se sujet pour mon retour a la civilisation après une retraite estival.
Première chose, ce n’est que les préparatifs du début du commencement de l’étude de l’hypothèse d’une éventuelle mission mais, ça prouve que la NASA rappel que Vénus existe (enfin pour les assistances gravitationnelles ils sont comptés qu’elle soit la).
Sur le pourquoi : « recherche la vie » fait un peu racoleur (pour un article internet, on peut dire putaclic). Même si la découverte de la vie serait un bouleversement dans l’histoire de la science (le débat n’est pas sur cette possibilité, il y a un sujet pour cela) j’espère que se n’est pas le vrai objectif de la mission. En effet, aujourd’hui on en sait en réalité très peu sur Vénus, la circulation horizontale de la zone des nuages a était étudier par venus express avec un incertitude assez importante. Pour la circulation verticale c’est encore pire, on a que les dizaines d’heures d’enregistrement des ballons Vega juste autour de l’équateur. Donc il est étrange de consacrer une mission entière à la recherche d’un élément aussi hypothétique sachant qu’on ne sais même pas si l’environnement si prêt vraiment (et je ne veux même pas rentrer le débat sur « sais on vraiment à quoi peu ressemble la vie »). Bref ça revient à se baladé dans un pays choisi au hasard a la cherché d’un ours blanc.
Sur le comment : les images ci-joint semble indiqué qu’on s’achemine vers un moto-planeur. Je trouve ce choix étrange car :
-Particulièrement difficile à déployé, encore plus que l’aile volante gonflable de Lockheed.
-Nécessite une propulsion régulière pour ne pas descendre dans la zone de brume inferieur qui serait fatal aux équipements.
-Il serait illusoire d’espère dépassé les 360km/h qui permettrait de rester statique (es donc resté dans le jour) il faudrait donc passer des dizaines d’heure (au moins une trentaine si on fleurette avec les courant torique situer autour des vortex polaire) sur la face obscure, il faudra donc d’important (et donc lourd) système de stockage d’énergie pour pouvoir continuer a propulsé de nuit.
-je ne sais pas si vous avait traversé un essaim de moustique avec une voiture a 50km/h, j’ai essayé et aucun n’a touché mon parebrise, simplement parce que la masse d’air réagie atour de la voiture. Donc essayer de capter des bactéries avec un moto-planeur, c’est possible mais compliqué.
- comme dit on connait très mal la circulation (notamment vertical) de l’atmosphère de Vénus, or un planeur est assez sensible aux rafales verticales qui pourrait casser les ailes.
Personnellement (mais c’est eu qui on le budget donc c’est eux qui on raison) je suis plus pour un ballon. En plus, le plan neutre de la cellule de Hadley se situe en plein milieu de la zone de nuage. Autrement dit on peut choisir la zone d’étude, pour aller vers l’équateur il faut descendre sous ce plan et pour se décaler vers les pôles il faut passer au-dessus. Bon, je développerais bientôt le concept, mais je n’ai pas encore réussi à dimensionner le système de communication.
Bon comme je l’ai dit c’est qu’un point de vue personnel. Vu le nombre de spécialiste qui se penche dessus, Je suis sûr que le projet sera très bien mené et très intéressant a suivre.
Le Lunar and Planetary Institute vient de mettre en ligne un rapport du VEXAG :
https://www.lpi.usra.edu/vexag/reports/Venus_Aerial_Platforms-Final_Report_Summary_Report_10_25_2018.pdf
Le Vexag va se réunir bientôt :
https://www.lpi.usra.edu/vexag/meetings/vexag-16/
https://www.lpi.usra.edu/vexag/reports/Venus_Aerial_Platforms-Final_Report_Summary_Report_10_25_2018.pdf
Le Vexag va se réunir bientôt :
https://www.lpi.usra.edu/vexag/meetings/vexag-16/
Ripley- Messages : 1998
Inscrit le : 07/09/2006
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Localisation : Paris
Lien rectifié :
https://www.lpi.usra.edu/vexag/reports/Venus_Aerial_Platforms_Final_Report_Summary_Report_10_25_2018.pdf ;)
https://www.lpi.usra.edu/vexag/reports/Venus_Aerial_Platforms_Final_Report_Summary_Report_10_25_2018.pdf ;)
Ripley- Messages : 1998
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Localisation : Paris
Merci pour se lien très instructif (et surtout sa ma permit de connaitre le vexag et ça risque de me coute beaucoup de temps)
L’objectif est de déterminer le type de technologie a utilisé pour effectuer une exploration atmosphérique. Il est déterminé qu’il faudrait environ 30kg de charge utile scientifique dans la zone habitable (50 à 60km) extensible si possible a 50 à 40 km pendant 30jours. Pour type technologie, 5 modelés son comparé
Le ballon pressurisé : le plus mature (Vega + expérience terrestre), le plus léger, mais d’un intérêt scientifique limité car il ne peut pas change d’altitude, il est donc coincé dans une masse d’air.
Les ballons à altitude contrôlent en zone normale (50 a 60km) : 4 technologies sont à l’étude est donne des résultats proches, c’est un peu plus compliqué que le ballon pressurisé et un peu plus lourd, mais sa permet de changer d’altitude donc étudier est environnement diffèrent, surtout qu’avec le plan neutre de la cellule de Hadley situer en plein dans notre zone d’intérêt, il est possible de changer de latitude.
Les ballons à altitude contrôlé en zone étendue (60 à 40km) : en descendant aussi bas on peut étudier la « zone des brumes », une région particulièrement mystérieuse qui donne naissance au nuage mais qui est cache par c’est dernier. De plus cela permettrait peut-être d’avoir une vue dégagée de la surface (chose infaisable depuis l’espace et trop restreinte (en temps et en dimension) par un atterrisseur). Cela implique une complexité plus grande que pour les zone normale (on quitte les condition standard similaire au condition terrestre et donc familier aux équipements électroniques).
Le drones solaire (similaire à celui présenté dans les messages précédant) : il est littéralement descendu en flamme, il ne sert à rien. En gros il est plus lourd, aussi complexe qu’un ballon en zone étendu, cependant sur le plan scientifique il se limite uniquement à la couche supérieure des nuages plutôt bien étudier par venus express et uniquement dans la partie jours.
Le drone hybride de lockheed : en gros c’est un gros ballon en forme d’ailes volante gonfle à l’hélium dans l’espace et qui vais une rentré toute voile dans parachute ni bouclier rigide. Grace a son control 3D de la trajectoire il fait un peu mieux que les ballons en zone étendu, mais il est beaucoup plus lourd et absolument pas mature.
Je trouve ça dommage qu’il n’est pas ajouté le concept de « cerf-volant ». En gros on lâche 2 cerfs-volants relier par un câble (de plusieurs km). Un se stabilise dans le bas de la zone des nuages l’autre dans la zone des brumes. C’est entre ces deux zones qu’il y a le plus de gardian de vitesse (la portion de la courbe quasiment horizontale sur le schéma si dessous) donc l’ensemble se calera à une vitesse moyenne situer entre les vitesses de vante lever en haut et ralentie en bas. Ainsi le cerf-volant d’en haut ira moins vite que la basse d’air (en gros le vent soufflera dessus) alors que celui en bas ira plus vite se qui permet au deux de génère la portance qui maintiendra l’ensemble. La force de trainé des deux cerfs-volants passera par un câble de plusieurs km (il faut au moins 5km de différence vertical) surement en fibre de verre (solide et résistante a l’acide) qui d’un diamètre très faible ferait que quelque kg. En plus on est situé à cheval sur deux zones scientifiquement très intéressantes, il serait possible de mettre les panneaux solaires et de transmission sur le cerf-volant du haut, les instruments d’étude de la surface sur celui du bas, il ne manque plus qu’une navette glissant sur le câble comprenant tous les instrument environnementaux pour pouvoir étudier a la fois la zone habitable et la zone des brumes.
L’objectif est de déterminer le type de technologie a utilisé pour effectuer une exploration atmosphérique. Il est déterminé qu’il faudrait environ 30kg de charge utile scientifique dans la zone habitable (50 à 60km) extensible si possible a 50 à 40 km pendant 30jours. Pour type technologie, 5 modelés son comparé
Le ballon pressurisé : le plus mature (Vega + expérience terrestre), le plus léger, mais d’un intérêt scientifique limité car il ne peut pas change d’altitude, il est donc coincé dans une masse d’air.
Les ballons à altitude contrôlent en zone normale (50 a 60km) : 4 technologies sont à l’étude est donne des résultats proches, c’est un peu plus compliqué que le ballon pressurisé et un peu plus lourd, mais sa permet de changer d’altitude donc étudier est environnement diffèrent, surtout qu’avec le plan neutre de la cellule de Hadley situer en plein dans notre zone d’intérêt, il est possible de changer de latitude.
Les ballons à altitude contrôlé en zone étendue (60 à 40km) : en descendant aussi bas on peut étudier la « zone des brumes », une région particulièrement mystérieuse qui donne naissance au nuage mais qui est cache par c’est dernier. De plus cela permettrait peut-être d’avoir une vue dégagée de la surface (chose infaisable depuis l’espace et trop restreinte (en temps et en dimension) par un atterrisseur). Cela implique une complexité plus grande que pour les zone normale (on quitte les condition standard similaire au condition terrestre et donc familier aux équipements électroniques).
Le drones solaire (similaire à celui présenté dans les messages précédant) : il est littéralement descendu en flamme, il ne sert à rien. En gros il est plus lourd, aussi complexe qu’un ballon en zone étendu, cependant sur le plan scientifique il se limite uniquement à la couche supérieure des nuages plutôt bien étudier par venus express et uniquement dans la partie jours.
Le drone hybride de lockheed : en gros c’est un gros ballon en forme d’ailes volante gonfle à l’hélium dans l’espace et qui vais une rentré toute voile dans parachute ni bouclier rigide. Grace a son control 3D de la trajectoire il fait un peu mieux que les ballons en zone étendu, mais il est beaucoup plus lourd et absolument pas mature.
Je trouve ça dommage qu’il n’est pas ajouté le concept de « cerf-volant ». En gros on lâche 2 cerfs-volants relier par un câble (de plusieurs km). Un se stabilise dans le bas de la zone des nuages l’autre dans la zone des brumes. C’est entre ces deux zones qu’il y a le plus de gardian de vitesse (la portion de la courbe quasiment horizontale sur le schéma si dessous) donc l’ensemble se calera à une vitesse moyenne situer entre les vitesses de vante lever en haut et ralentie en bas. Ainsi le cerf-volant d’en haut ira moins vite que la basse d’air (en gros le vent soufflera dessus) alors que celui en bas ira plus vite se qui permet au deux de génère la portance qui maintiendra l’ensemble. La force de trainé des deux cerfs-volants passera par un câble de plusieurs km (il faut au moins 5km de différence vertical) surement en fibre de verre (solide et résistante a l’acide) qui d’un diamètre très faible ferait que quelque kg. En plus on est situé à cheval sur deux zones scientifiquement très intéressantes, il serait possible de mettre les panneaux solaires et de transmission sur le cerf-volant du haut, les instruments d’étude de la surface sur celui du bas, il ne manque plus qu’une navette glissant sur le câble comprenant tous les instrument environnementaux pour pouvoir étudier a la fois la zone habitable et la zone des brumes.
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