[Livre] Voler en apesanteur par Frank Lehot

"Voler" ne me parait pas être le terme le plus judicieux et approprié, je dirais plutôt "flotter" en apesanteur.

Personnellement entre voler à la vitesse de la lumière ou être en apesanteur, je préfere voler à la vitesse de la lumière

Comme ils volent en Airbus Zero g pour experimenter l'apesanteur, le titre me paraît pas mal

Techniquement, l'avion est en permanence en vol, mais au moment où ses occupants se mettent à flotter, c'est qu'il est sur une trajectoire orbitale.
Au bout d'un vingtaine de secondes, l'avion doit redresser, sinon il rentrerait en colision avec la surface de la Terre.

Sur ce schéma, la taille de la Terre a été fortement réduite, tout en gardant la même masse.  L'Airbus, avec sa vitesse et sa trajectoire dans la partie bleue est sur une orbite elliptique, dont la terre occupe un des foyers.

Hayabusa2015 a écrit:Comme ils volent en Airbus Zero g pour experimenter l'apesanteur, le titre me paraît pas mal

L'avion vole, puisqu'il utilise l'air pour y parvenir, l'air supporte l'avion par le biais des ailes et de la vitesse ... mais à l'intérieur les personnes ne volent pas grace à l'air, ils flottent dans l'air. Ce qui est techniquement bien différent.
De la même manière une montgolfière flotte dans l'air mais ne vole pas.

Mustard a écrit:

Hayabusa2015 a écrit:Comme ils volent en Airbus Zero g pour experimenter l'apesanteur, le titre me paraît pas mal

L'avion vole, puisqu'il utilise l'air pour y parvenir, l'air supporte l'avion par le biais des ailes et de la vitesse ... mais à l'intérieur les personnes ne volent pas grace à l'air, ils flottent dans l'air. Ce qui est techniquement bien différent.
De la même manière une montgolfière flotte dans l'air mais ne vole pas.

A l'intérieur de l'Airbus Zéro g, pendant les phases d'apesanteur les personnes ne flottent pas dans l'air. Elles tombent à la même vitesse que l'avion.

La montgolfière flotte dans l'air quand sa masse volumique est égale à celle de l'air. Ce n'est pas le cas pour les personnes, loin de là.

D’où le proverbe futur : Être en apesanteur n’est pas flotter ! 


Question : y-a-t-il eu un astronaute qui a expérimenté des palmes pour nager dans la station spatiale sans flotter ?  

AMHA il doit être possible de nager sans flotter !  

La masse volumique de l'air étant presque mille fois plus petite que celle de l'eau , on déplacera  une masse très faible d'air en la brassant et l'accélération obtenue sera aussi très faible, et donc la mise en mouvement très peu perceptible.
 Toutefois avec des palmes souples de très grand format, la masse d'air projetée vers l'arrière permettrait une accélération plus grande.
sera 
Mais on n'envoie pas des spationautes professionnels dans la station spatiale pour ce genre d'amusement.
 Quoique de temps en temps il est bon de se détendre un peu, surtout si le séjour dure six mois ! Et puis cela peut être considéré comme une activité physique nécessaire pour la santé !  Et puis il y aura les touristes spatiaux ! 

David L. a écrit:

Mustard a écrit:

Hayabusa2015 a écrit:Comme ils volent en Airbus Zero g pour experimenter l'apesanteur, le titre me paraît pas mal

L'avion vole, puisqu'il utilise l'air pour y parvenir, l'air supporte l'avion par le biais des ailes et de la vitesse ... mais à l'intérieur les personnes ne volent pas grace à l'air, ils flottent dans l'air. Ce qui est techniquement bien différent.
De la même manière une montgolfière flotte dans l'air mais ne vole pas.

A l'intérieur de l'Airbus Zéro g, pendant les phases d'apesanteur les personnes ne flottent pas dans l'air. Elles tombent à la même vitesse que l'avion.

La montgolfière flotte dans l'air quand sa masse volumique est égale à celle de l'air. Ce n'est pas le cas pour les personnes, loin de là.

Tout est une question de référentiel, les occupants flottent parmi l'air ambiant. C'est poru cela qu eje dis qu'ils flottent dans l'avion, en prenan tl'avion ocmme référentiel.
Et si on veut etre poitilleux selon ton raisonnement alors en orbite aussi on tombe en meme temps que le vaisseau. L'orbite c'est quoi ? un vaisseau qui tombe mais dont la courbure de chute équivaut à la courbure de l'astre.

Giwa a écrit:Mais on n'envoie pas des spationautes professionnels dans la station spatiale pour ce genre d'amusement. FB_clinoeil
Quoique de temps en temps il est bon de se détendre un peu, surtout si le séjour dure six mois !

On a vu pire, on a vu un astronaute en uniforme de superman, on a vu aussi un ballon de football et j'en passe. Et puis toute sorte d'expérience amusante, bien sûr pris généralement sur le temps de repos, ça fait parti des moments de détente nécessaire à un bon équilibre mental

@Mustard , @David L.
 Et si vous aviez raison tous les deux car le verbe «  flotter  » a deux sens :
1- Être porté par un fluide , donc par la poussée d’Archimède  : dans ce cas on ne flotte pas en apesanteur puisque cette poussée d’Achimède est nulle. 
Dans ce cas , c’est David L. qui a raison 
 
2- Être en suspension dans un fluide ( qui n’est possible dans l’air terrestre que pour des poussières par les chocs browniens et la viscosité de l’air qui rend la vitesse limite de chute négligeable, mais qui s’applique à toute taille en apesanteur puisque la vitesse limite de chute dans le référentiel du vaisseau spatial est alors nulle )
Dans ce cas , c’est Mustard qui raison 

Si on mettait un chat dans la station spatiale, nous aurions un chat à la fois flottant et non flottant ! Ces états superposés de ce chat sont tout de même moins stressants que ceux du chat de Schrödinger ! 

Mustard a écrit:un astronaute en uniforme de superman,

... Et BATMAN ! Et Captain America ! Haha, je n'avais encore jamais vu ça, merci pour la tranche de rire, mon cher Mustard !

Dans ce cas , on peut permettre ce type d’expérience de physique amusante et même clownesque avec en plus des palmes aux pieds, des éventails dans chaque main pour les manœuvres ! 

ShiftRegister a écrit:

Mustard a écrit:un astronaute en uniforme de superman,

... Et BATMAN ! Et Captain America ! Haha, je n'avais encore jamais vu ça, merci pour la tranche de rire, mon cher Mustard !

Luca Parmitano :