Améliorer la précision d'atterrissage des capsules habités.

nikolai39 a écrit:
Et bien il aurait dû écrire : "Pour te représenter l'atterrissage, imagine-toi en voiture : tu es arrêté au feu et un type arrive derrière toi à 21,6 km/h"

Bref, on est d'accord.
Le retour n'est pas agréable.
Il y a des choses à faire.

vp a écrit:Bref, on est d'accord.

50 ou 21 km/h, ce n'est pas anodin ! L'énergie cinétique évolue avec le carré de la vitesse !

vp a écrit:

nikolai39 a écrit:

Près de 3 tonnes pour un Soyouz, il faut un bon avion et de bons pilotes !

Pas d'avion, mais un eVTOL.
Pas de pilote, en automatique.

Et les 3 tonnes sont supportées par les parachutes.

En fait un parachute classique est un système très peu manœuvrable contrairement à une voile en forme d'aile. Alors un système de plusieurs parachutes de grande taille l'est encore plus.
Un eVTOL qui le contraindrait à changer de direction risquerait de créer un emmêlement des suspentes et de mettre les parachutes en torche.
De plus il faudrait tenir compte en permanence des conditions aérologiques d'un volume de petite taille ce qui rendrait l'exercice encore plus périlleux.

nikolai39 a écrit:Sur Soyouz, l'atterrissage se fait à 6,5 m/s, soit 21,6 km/h.

Ok, mais je lis sur l'excellent site Kosmonavtika que ce n’est plus que 2 m/s grâce aux 4 ou 6 moteurs DMP selon le parachute en fonction et qu'il y a aussi les amortisseurs des Couchette Kazbek-U qui sont armés pour l'atterrissage !
Donc 2 m/s, la position couchée et l’amortisseur de la couchette, ce doit être sec c'est sûr, mais bon jugé largement acceptable je suppose !

Montgomery a écrit:

nikolai39 a écrit:Sur Soyouz, l'atterrissage se fait à 6,5 m/s, soit 21,6 km/h.

Ok, mais je lis sur l'excellent site Kosmonavtika que ce n’est plus que 2 m/s grâce aux 4 ou 6 moteurs DMP selon le parachute en fonction et qu'il y a aussi les amortisseurs des Couchette Kazbek-U qui sont armés pour l'atterrissage !
Donc 2 m/s, la position couchée et l’amortisseur de la couchette, ce doit être sec c'est sûr, mais bon jugé largement acceptable je suppose !

Dans la biographie de Thomas Pesquet, il parle de 8 m/s.

De toute façon même 20 km/h, c'est loin d'être un atterrissage confortable.

vp a écrit:Dans la biographie de Thomas Pesquet, il parle de 8 m/s.
De toute façon même 20 km/h, c'est loin d'être un atterrissage confortable.

Sauf erreur, 8 mètres par seconde ça fait 28 km/h, mais ça c’est lors du segment finale de descente pas juste avant l’impact.
Juste avant le contact du sol, ce n’est plus que 2 mètres par seconde donc 7 km/h, bien entendu selon la température extérieure et l’altitude du site d’atterrissage.
Il ne faut pas non plus exagérer, ce ne sont pas des Papy à bord, ils sont physiquement très au point et parfaitement entrainés, je suppose qu'une séance de centrifugeuse à côté c'est bien plus pénible.
Bref, y-a-t-il nécessairement besoins de diminuer encore l'impact de l'atterrissage de la capsule sous parachutes au prix de complications et de masse supplémentaire ?
Franchement je me pose la question à moins que l'on prévoit d'envoyer des équipages du troisième âge dans l'espace sinon je ne vois pas bien ?