Tintin dans Thespacereview
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les autres objets pour les "tintinophiles"
extrait site CNES: Depuis son engagement dans les activités spatiales au début des années 1960, la France n’a jamais entrepris de mission lunaire, largement au-dessus de ses moyens techniques et financiers. Néanmoins, institutions et laboratoires français ont su s’associer à différentes missions soviétiques, américaines ou européennes pour s’en approcher de multiples façons. C’est ainsi que dès 1964, la NASA, souhaitant disposer de cartes détaillées de la Lune pour sélectionner les régions d’alunissage des missions Apollo, a retenu le site du pic du Midi dans les Pyrénées pour la qualité de son environnement atmosphérique. En conséquence, la NASA financera le miroir du télescope à partir duquel plus de 60 000 photos de la Lune seront réalisées, contribuant sans conteste à la réussite de cette délicate partie de la mission.
Après le succès des différentes expéditions lunaires américaine et soviétique, les scientifiques français souhaitaient pouvoir avoir accès aux échantillons lunaires qui avaient été ramenés sur Terre. En Union soviétique, 3 missions (Luna) avaient ramené au total 330 g de « pierres de lune ». 3 laboratoires français, capables de réaliser des analyses géochimiques sur ces échantillons, ont ainsi pu bénéficier d’une partie de ces échantillons.
3 propositions françaises d’analyse d’échantillons lunaires rapportés par la mission Apollo 12 en novembre 1969 ont également été sélectionnées.
Début des années 1970, des réflecteurs lasers français ont été débarqués sur la Lune en 1970 et 1973, afin d’effectuer des mesures de distance Terre-Lune, qui se poursuivent encore quotidiennement aujourd’hui.
Plus tard, en 1994, quand les États-Unis lancent le projet Clementine-1, qui allait observer durant 71 jours la Lune, le système de compression d’images fourni par le CNES a grandement contribué à l’obtention de la première cartographie digitale de l’ensemble de la surface de la Lune.
Enfin, la première mission européenne Smart-1 à destination de la Lune lancée en 2003, s’est achevée en 2006 avec son impact contrôlé sur la Lune accroissant la connaissance de notre satellite naturel.
Avec discrétion, les Français ont ainsi toujours flirté avec la Lune. C’est ce que le CNES vous propose de découvrir grâce aux bonus audio sélectionnés pour enrichir les « aventures lunaires » de Tintin.
http://www.cnes.fr/web/CNES-fr/7795-tintin-aventures-lunaires.php
http://www.forum-conquete-spatiale.fr/films-series-videos-et-images-f23/dvd-tintin-et-la-lune-t8227.htm?highlight=tintin
extrait site CNES: Depuis son engagement dans les activités spatiales au début des années 1960, la France n’a jamais entrepris de mission lunaire, largement au-dessus de ses moyens techniques et financiers. Néanmoins, institutions et laboratoires français ont su s’associer à différentes missions soviétiques, américaines ou européennes pour s’en approcher de multiples façons. C’est ainsi que dès 1964, la NASA, souhaitant disposer de cartes détaillées de la Lune pour sélectionner les régions d’alunissage des missions Apollo, a retenu le site du pic du Midi dans les Pyrénées pour la qualité de son environnement atmosphérique. En conséquence, la NASA financera le miroir du télescope à partir duquel plus de 60 000 photos de la Lune seront réalisées, contribuant sans conteste à la réussite de cette délicate partie de la mission.
Après le succès des différentes expéditions lunaires américaine et soviétique, les scientifiques français souhaitaient pouvoir avoir accès aux échantillons lunaires qui avaient été ramenés sur Terre. En Union soviétique, 3 missions (Luna) avaient ramené au total 330 g de « pierres de lune ». 3 laboratoires français, capables de réaliser des analyses géochimiques sur ces échantillons, ont ainsi pu bénéficier d’une partie de ces échantillons.
3 propositions françaises d’analyse d’échantillons lunaires rapportés par la mission Apollo 12 en novembre 1969 ont également été sélectionnées.
Début des années 1970, des réflecteurs lasers français ont été débarqués sur la Lune en 1970 et 1973, afin d’effectuer des mesures de distance Terre-Lune, qui se poursuivent encore quotidiennement aujourd’hui.
Plus tard, en 1994, quand les États-Unis lancent le projet Clementine-1, qui allait observer durant 71 jours la Lune, le système de compression d’images fourni par le CNES a grandement contribué à l’obtention de la première cartographie digitale de l’ensemble de la surface de la Lune.
Enfin, la première mission européenne Smart-1 à destination de la Lune lancée en 2003, s’est achevée en 2006 avec son impact contrôlé sur la Lune accroissant la connaissance de notre satellite naturel.
Avec discrétion, les Français ont ainsi toujours flirté avec la Lune. C’est ce que le CNES vous propose de découvrir grâce aux bonus audio sélectionnés pour enrichir les « aventures lunaires » de Tintin.
http://www.cnes.fr/web/CNES-fr/7795-tintin-aventures-lunaires.php
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