[Discovery - OV-103]: Destination Smithsonian (17/19 Avril 2012).
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Du nouveau, du concret....le mois prochain!
Au cours du mois prochain, soit à la date historique du 12 avril, nous pourront avancer dans ces ultimes préparatifs, de par l'annonce qui sera faite par Charles Bolden. Vous allez me dire, il en sera quoi de plus après… Et bien cette annonce validera clairement la voie à foultitude de décisions, sommes toutes prise de façons définitives pour l'équipe de Stilson. Évidement dans le but de continuer sur ce qu’ils nommeront alors, la troisième phase de la préparation de Discovery en « post-flight ». En d'autres termes, ce sera à ce moment précis que cette équipe décidera de la configuration définitive du véhicule. Stilson, à déclarée, durant une interview, que la dite livraison de Discovery serait envisagée pour l'année prochaine. «Nous avons développés un programme qui indique que nous devrions être prêts pour transporter Discovery probablement pour Janvier de l'année prochaine. "
Prenez tout de même garde à ces effets d’annonces, puisque cette estimation est basée selon un agenda rendu public actuellement, sans très franchement, grandes garanties de succès en ce qui concerne sa régularité ainsi que son bien-fondé. Selon Mike moises, pour ce genre de préparatifs, il n'y a pas de contrainte de durée. En sommes, la plus importante contrainte serait celles visant à élaborer de façons communes, un calendrier unique basé sur les différentes taches de travail qui devront êtres accomplies. Mike Moïses aurait même déclaré (au sujet de la durée potentielle de ce plan de travail commun), que cela pourrait durer bien plus longtemps, car les travaux devraient être plus réfléchis en ce qui concerne la transformation de discovery.
Il va même très loin en ce qui relève de durée "Nous allons insister comme pour le cas d’une mission, pour être en mesure d'avoir encore un budget pour les cinq ou six ans a venir de sorte à pouvoir aller au plus profond de Discovery et des autres, avec un peigne fin dans le but d'ouvrir tous leurs systèmes et de les comparer pour en apprendre plus et pour être en mesure d’en tirer toutes les leçons possibles. Idem, en ce qui concerne le matériel que nous visons a préserver. " Mikes Moïses est ambitieux, car en ce qui concerne les systèmes de propulsion par exemple, plutôt que de simplement les supprimer de toute leur tuyauterie actuellement contaminée par du carburant toxique, il vise à tous les décontaminer un par un. Selon lui ce type de travail ne relève pas d’un travail bon marché. Clairement il met le paquet en ce qui concerne "la récup'" mais aussi et surtout sur "l'analyse."
"Les principaux éléments du système de propulsion sont maintenant des objets que nous voulons préserver, étant donné que nous allons concevoir un système potentiellement identique pour la prochaine génération de propulsion qui devrait être assez proche de notre matériel-patrimoine, prochainement en stock." Un autre système est à l'étude cependant pour également une possible réutilisation. Il s’agit des unités auxiliaires de puissance (APU) de l’orbiteur, qui fournissent la pression hydraulique pour le déplacement des moteurs de la navette et des surfaces de commande de vol. Selon Moïses, les groupes auxiliaires de puissance, pourraient être intéressant et pourrait jouer un rôle important dans ce que pourrait être le prochain véhicule. Attention cependant, aucunes décision finale n'a pas été prise a ce sujet pour l’instant. Selon MM, il y’a encore débats concernant l’utilité ou l’inutilité de ce que ces pièces pourraient apporter sur le prochain véhicule.
sidjayAu cours du mois prochain, soit à la date historique du 12 avril, nous pourront avancer dans ces ultimes préparatifs, de par l'annonce qui sera faite par Charles Bolden. Vous allez me dire, il en sera quoi de plus après… Et bien cette annonce validera clairement la voie à foultitude de décisions, sommes toutes prise de façons définitives pour l'équipe de Stilson. Évidement dans le but de continuer sur ce qu’ils nommeront alors, la troisième phase de la préparation de Discovery en « post-flight ». En d'autres termes, ce sera à ce moment précis que cette équipe décidera de la configuration définitive du véhicule. Stilson, à déclarée, durant une interview, que la dite livraison de Discovery serait envisagée pour l'année prochaine. «Nous avons développés un programme qui indique que nous devrions être prêts pour transporter Discovery probablement pour Janvier de l'année prochaine. "
Prenez tout de même garde à ces effets d’annonces, puisque cette estimation est basée selon un agenda rendu public actuellement, sans très franchement, grandes garanties de succès en ce qui concerne sa régularité ainsi que son bien-fondé. Selon Mike moises, pour ce genre de préparatifs, il n'y a pas de contrainte de durée. En sommes, la plus importante contrainte serait celles visant à élaborer de façons communes, un calendrier unique basé sur les différentes taches de travail qui devront êtres accomplies. Mike Moïses aurait même déclaré (au sujet de la durée potentielle de ce plan de travail commun), que cela pourrait durer bien plus longtemps, car les travaux devraient être plus réfléchis en ce qui concerne la transformation de discovery.
Il va même très loin en ce qui relève de durée "Nous allons insister comme pour le cas d’une mission, pour être en mesure d'avoir encore un budget pour les cinq ou six ans a venir de sorte à pouvoir aller au plus profond de Discovery et des autres, avec un peigne fin dans le but d'ouvrir tous leurs systèmes et de les comparer pour en apprendre plus et pour être en mesure d’en tirer toutes les leçons possibles. Idem, en ce qui concerne le matériel que nous visons a préserver. " Mikes Moïses est ambitieux, car en ce qui concerne les systèmes de propulsion par exemple, plutôt que de simplement les supprimer de toute leur tuyauterie actuellement contaminée par du carburant toxique, il vise à tous les décontaminer un par un. Selon lui ce type de travail ne relève pas d’un travail bon marché. Clairement il met le paquet en ce qui concerne "la récup'" mais aussi et surtout sur "l'analyse."
"Les principaux éléments du système de propulsion sont maintenant des objets que nous voulons préserver, étant donné que nous allons concevoir un système potentiellement identique pour la prochaine génération de propulsion qui devrait être assez proche de notre matériel-patrimoine, prochainement en stock." Un autre système est à l'étude cependant pour également une possible réutilisation. Il s’agit des unités auxiliaires de puissance (APU) de l’orbiteur, qui fournissent la pression hydraulique pour le déplacement des moteurs de la navette et des surfaces de commande de vol. Selon Moïses, les groupes auxiliaires de puissance, pourraient être intéressant et pourrait jouer un rôle important dans ce que pourrait être le prochain véhicule. Attention cependant, aucunes décision finale n'a pas été prise a ce sujet pour l’instant. Selon MM, il y’a encore débats concernant l’utilité ou l’inutilité de ce que ces pièces pourraient apporter sur le prochain véhicule.
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Et Entreprise dans tout ça...ça s’accommode doucement au déménagement.
Enterprise, unique prototype de navette spatiale, qui en 1985 a été offert à la « Smithsonian Institution » en tant que pièce de musée, après avoir prouvé qu’un vaisseau spatial ailé pouvait atterrir en toute sécurité comme un planeur, est train d'être parachevé par l'agence spatiale en vue d’un dernier vol.
De convoyage final évidement… Simplement et solidement arrimée au sommet d'un avion de ligne de type Boeing 747 modifié, conçu pour le transport de navettes spatiales. Le prochain vol de la navette Enterprise surviendra à la suite du plan que la NASA vient d’entreprendre, visant à mettre à la retraite les trois navettes spatiales restantes de sa flotte au cours de cette année. Toutes trois devraient être mises à la disposition du public. Discovery (OV-103) ont le sait sera affectée au Smithsonian Center Stephen F. Udvar-Hazy, l'annexe du National Air and Space Muséum de Chantilly, en Virginie, là où entreprise a été exposé depuis 2003. " Effectivement nous acquerrons un orbiteur ayant un riches passé de vols comme prévu, mais nous ne pouvons être trop gourmand ici et deux navette ici même n’est franchement pas réalisable, dans ce cas précis nous aurons besoin de trouver un nouveau domicile pour entreprise», a expliqué Valérie Neal conservateur du musée dans une interview pour collectSPACE. Bien que le Smithsonian et la NASA n'ont pas encore choisi un nouveau musée pour OV-101 (désignation technique de l'agence spatiale pour entreprise) les deux organismes agréés éprouvent à présent la nécessité de faire en sorte qu’entreprise puisse être déplacée en toute sécurité.
«Les personnes qui œuvrent sur la logistique des vols de transfères d’orbiteurs ont décidés qu'il était préférable de posseder bon aperçu général d’entreprise de sorte à valider le fait, qu’elle soit digne de voler en « ferry-flight » après toutes ces années d’immobilités » à déclaré Neal. "Nous supposons actuellement, à l’issue d’une évaluation rapide à appuyé que oui, elle serait intacte." Présentement cette hypothèse devient vraiment beaucoup plus rationnel quant à la possibilité d'un vol de convoyage, d’ailleurs une équipe de onze personnes de chez United Space Alliance (USA) a été envoyées au Smithsonian Udvar-Hazy Center auprès d’entreprise dans le but de s’assurer qu’elle soit bien prête au vol.
Aussi invraisemblables que cela puisse paraitre entreprise pourrait se révéler être source de soucis supplémentaire pour ces techniciens. Ces soucis seraient axés au sujet de ses tuiles situées à l'extérieur. En effet, ces dernières sont suffisamment différentes de celles des orbiteurs actuels pour fournir un sujet de préoccupation pour ce vol. «Nous avons été quelque peu préoccupés par l'adhérence de la mousse de ces dernières», a expliqué un chargé de communication (combs) travaillant auprès de Neal, se référant aux blocs de mousse en polyuréthane utilisés pour reproduire l'apparence visuelle des tuiles thermiques du bouclier des orbiteurs réel. Il poursuit par « Nous avons réalisé un tas d’essais afin de vérifier le pouvoir d'adhérence que possèdent ces tuiles en mousse avec la surface en aluminium du véhicule. Nous avons été particulièrement interpelés à l'arrière de l’orbiteur, où les installations hydrauliques ont fui au cours des décennies. La mousse là-bas est saturée de liquide. "
Note importante : Contrairement aux navettes spatiales-pilotées, qui vivent la plupart du temps sous abris, entre autre, pour minimiser les dommages causés par l'exposition aux éléments climatiques…Entreprise elle, a passé une grande partie de ses 30 ans à l'air libre, avec parfois des évènements se dévoilant a termes assez fatigant pour la mécanique et pour certains matériaux. Elle eut été transportée à l'étranger pour le Salon du Bourget en 1983 et avait par la suite effectuée une tournée internationale par exemple. Elle fut également abritée dans des hangars incontrôlés lors de ces différentes escales…. Bien que le Smithsonian eut travaillé dur pour remettre en état entreprise, la NASA aurait demandée à regarder de plus près tout les systèmes et les structures critiques en vue de son éventuelle retour en vol, y compris et surtout toutes les jointures servant à hisser entreprise à la grue. Combs (l’associé de Neal) estime que lui et son équipe ont passés déjà près de 1.000 heures de travaux d'inspection sur entreprise, qui comme prévu devrait être prête pour quitter le sol.
L’éventuel départ de la navette Enterprise sera un moment poignant pour toute l’équipe de Neal, qui a grandi en admiration et en « amour » pour ce prototype de navette. Neal explique qu’elle s'attend à être contrebalancée par l'excitation de recevoir un orbiter « réel » et le départ d’une pièce qu’elle a admirée durant toutes ces année passées au NASM. Pour Neal et son équipe, ce sera jusqu'au bout un honneur de soutenir Enterprise pour l’emmener vers dernière demeure. Selon Neal Enterprise fait partie de l'histoire du programme des vols spatial des navettes et fait partie intégrante du programme de la navette.
Webcam braquées sur Enterprise: http://www.nasm.si.edu/interact/webcams/
Enterprise, unique prototype de navette spatiale, qui en 1985 a été offert à la « Smithsonian Institution » en tant que pièce de musée, après avoir prouvé qu’un vaisseau spatial ailé pouvait atterrir en toute sécurité comme un planeur, est train d'être parachevé par l'agence spatiale en vue d’un dernier vol.
De convoyage final évidement… Simplement et solidement arrimée au sommet d'un avion de ligne de type Boeing 747 modifié, conçu pour le transport de navettes spatiales. Le prochain vol de la navette Enterprise surviendra à la suite du plan que la NASA vient d’entreprendre, visant à mettre à la retraite les trois navettes spatiales restantes de sa flotte au cours de cette année. Toutes trois devraient être mises à la disposition du public. Discovery (OV-103) ont le sait sera affectée au Smithsonian Center Stephen F. Udvar-Hazy, l'annexe du National Air and Space Muséum de Chantilly, en Virginie, là où entreprise a été exposé depuis 2003. " Effectivement nous acquerrons un orbiteur ayant un riches passé de vols comme prévu, mais nous ne pouvons être trop gourmand ici et deux navette ici même n’est franchement pas réalisable, dans ce cas précis nous aurons besoin de trouver un nouveau domicile pour entreprise», a expliqué Valérie Neal conservateur du musée dans une interview pour collectSPACE. Bien que le Smithsonian et la NASA n'ont pas encore choisi un nouveau musée pour OV-101 (désignation technique de l'agence spatiale pour entreprise) les deux organismes agréés éprouvent à présent la nécessité de faire en sorte qu’entreprise puisse être déplacée en toute sécurité.
«Les personnes qui œuvrent sur la logistique des vols de transfères d’orbiteurs ont décidés qu'il était préférable de posseder bon aperçu général d’entreprise de sorte à valider le fait, qu’elle soit digne de voler en « ferry-flight » après toutes ces années d’immobilités » à déclaré Neal. "Nous supposons actuellement, à l’issue d’une évaluation rapide à appuyé que oui, elle serait intacte." Présentement cette hypothèse devient vraiment beaucoup plus rationnel quant à la possibilité d'un vol de convoyage, d’ailleurs une équipe de onze personnes de chez United Space Alliance (USA) a été envoyées au Smithsonian Udvar-Hazy Center auprès d’entreprise dans le but de s’assurer qu’elle soit bien prête au vol.
Aussi invraisemblables que cela puisse paraitre entreprise pourrait se révéler être source de soucis supplémentaire pour ces techniciens. Ces soucis seraient axés au sujet de ses tuiles situées à l'extérieur. En effet, ces dernières sont suffisamment différentes de celles des orbiteurs actuels pour fournir un sujet de préoccupation pour ce vol. «Nous avons été quelque peu préoccupés par l'adhérence de la mousse de ces dernières», a expliqué un chargé de communication (combs) travaillant auprès de Neal, se référant aux blocs de mousse en polyuréthane utilisés pour reproduire l'apparence visuelle des tuiles thermiques du bouclier des orbiteurs réel. Il poursuit par « Nous avons réalisé un tas d’essais afin de vérifier le pouvoir d'adhérence que possèdent ces tuiles en mousse avec la surface en aluminium du véhicule. Nous avons été particulièrement interpelés à l'arrière de l’orbiteur, où les installations hydrauliques ont fui au cours des décennies. La mousse là-bas est saturée de liquide. "
Note importante : Contrairement aux navettes spatiales-pilotées, qui vivent la plupart du temps sous abris, entre autre, pour minimiser les dommages causés par l'exposition aux éléments climatiques…Entreprise elle, a passé une grande partie de ses 30 ans à l'air libre, avec parfois des évènements se dévoilant a termes assez fatigant pour la mécanique et pour certains matériaux. Elle eut été transportée à l'étranger pour le Salon du Bourget en 1983 et avait par la suite effectuée une tournée internationale par exemple. Elle fut également abritée dans des hangars incontrôlés lors de ces différentes escales…. Bien que le Smithsonian eut travaillé dur pour remettre en état entreprise, la NASA aurait demandée à regarder de plus près tout les systèmes et les structures critiques en vue de son éventuelle retour en vol, y compris et surtout toutes les jointures servant à hisser entreprise à la grue. Combs (l’associé de Neal) estime que lui et son équipe ont passés déjà près de 1.000 heures de travaux d'inspection sur entreprise, qui comme prévu devrait être prête pour quitter le sol.
L’éventuel départ de la navette Enterprise sera un moment poignant pour toute l’équipe de Neal, qui a grandi en admiration et en « amour » pour ce prototype de navette. Neal explique qu’elle s'attend à être contrebalancée par l'excitation de recevoir un orbiter « réel » et le départ d’une pièce qu’elle a admirée durant toutes ces année passées au NASM. Pour Neal et son équipe, ce sera jusqu'au bout un honneur de soutenir Enterprise pour l’emmener vers dernière demeure. Selon Neal Enterprise fait partie de l'histoire du programme des vols spatial des navettes et fait partie intégrante du programme de la navette.
Webcam braquées sur Enterprise: http://www.nasm.si.edu/interact/webcams/
Sidjay- Messages : 17121
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A l'intérieur du hangar conçu à l’origine pour la préparation à une mission d’un Orbiter, la semaine dernière, le nez de la navette contenant les propulseurs de contrôle utilisés pour manœuvrer l'engin en orbite à été déposé et emmené au centre d'entretien hypergoliques pour son déclassement. (Voir photos ci-dessus). C'est pour ainsi dire, le premier signe visible du travail entrepris dans ce que les gestionnaires du programme appellent « la désactivation de Discovery ».
L'Administrateur de la NASA Charles Bolden annoncera le 12 avril, lors de l’une des commémorations consacrées au 30e anniversaire du lancement de la première navette, quels seront les différents musées attribués pour Discovery, Endeavour et Atlantis, sans oublier Entreprise, le prototype à qui j’ai consacré un très long article, ci dessus. A cette heure ci, plus de doutes pour OV-103. Il est dores et déjà assuré que la destination finale de Discovery sera le Smithsonian, (Attention il s’agit de son annexe, là où Entreprise est actuellement mais maintenant de façon temporaire, exposée au public).
La prérogative de sauvegarde, corrélée sur certains matériels de ces trois vielles dames est un autre aspect, bien qu’aussi essentiel soit il, de ce que représente le gros/lourd travail de mise en retraite d'une navette… Ce travail de stockage consiste à protéger, décontaminer, réviser et enfin stocker du matériel essentiel pour une potentielle future réutilisation. Quand à cela, les gestionnaires du programmes sont assez optimistes quand à l'avenir, un peu moins incertain a present en ce qui concerne, l'avenir proche de leur pièces issues/récupérées des navettes, surtout après l’annonce faite le 25 mars par par Charles Bolden, ( j’ai retranscrit cela, sur le fil dédié au « futur programme américain »), ainsi le matériel sera en quelque sorte déjà sur place, ce qui permettra de pouvoir renforcer la confiance générale des intéressés quand à la conception des prochains véhicules de nouvelle génération, (notamment concernant les coût de conception) qui visiblement se voudront êtres « évolutifs » selon Bolden. Le démontage des trois moteurs principaux ainsi que du système de manœuvres orbitales (OMS-RCS) disposé de chaque côté de la dérive, aura lieu dans les semaines à venir. Une chose est maintenant certaine, les deux ensembles moteurs seront conservés par la NASA et n’irons pas avec la navette vers le musée.
L'Administrateur de la NASA Charles Bolden annoncera le 12 avril, lors de l’une des commémorations consacrées au 30e anniversaire du lancement de la première navette, quels seront les différents musées attribués pour Discovery, Endeavour et Atlantis, sans oublier Entreprise, le prototype à qui j’ai consacré un très long article, ci dessus. A cette heure ci, plus de doutes pour OV-103. Il est dores et déjà assuré que la destination finale de Discovery sera le Smithsonian, (Attention il s’agit de son annexe, là où Entreprise est actuellement mais maintenant de façon temporaire, exposée au public).
La prérogative de sauvegarde, corrélée sur certains matériels de ces trois vielles dames est un autre aspect, bien qu’aussi essentiel soit il, de ce que représente le gros/lourd travail de mise en retraite d'une navette… Ce travail de stockage consiste à protéger, décontaminer, réviser et enfin stocker du matériel essentiel pour une potentielle future réutilisation. Quand à cela, les gestionnaires du programmes sont assez optimistes quand à l'avenir, un peu moins incertain a present en ce qui concerne, l'avenir proche de leur pièces issues/récupérées des navettes, surtout après l’annonce faite le 25 mars par par Charles Bolden, ( j’ai retranscrit cela, sur le fil dédié au « futur programme américain »), ainsi le matériel sera en quelque sorte déjà sur place, ce qui permettra de pouvoir renforcer la confiance générale des intéressés quand à la conception des prochains véhicules de nouvelle génération, (notamment concernant les coût de conception) qui visiblement se voudront êtres « évolutifs » selon Bolden. Le démontage des trois moteurs principaux ainsi que du système de manœuvres orbitales (OMS-RCS) disposé de chaque côté de la dérive, aura lieu dans les semaines à venir. Une chose est maintenant certaine, les deux ensembles moteurs seront conservés par la NASA et n’irons pas avec la navette vers le musée.
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Dernière édition par Sidjay le Mar 29 Mar 2011 - 22:29, édité 4 fois
Sidjay- Messages : 17121
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Sidjay a écrit:..ainsi le matériel sera en quelque sorte déjà sur place, ce qui permettra de pouvoir renforcer la confiance générale des intéressés quand à la conception des prochains véhicules de nouvelle génération...
a propos, est ce que l' OTV-2 (X37B) a profité de ce savoir faire, justement ?
_________________
Blog sur le suivi du développement d'Orion
Le sprint final est lancé pour certains musées désireux.
Avec clairement deux semaines restantes avant que la NASA ne fasse l'annonce indiquant où s'envoleront pour la dernière fois ses navettes spatiales, pour une présentation au grand publique en musées, ce sont justement ces derniers qui essaient tant bien que mal de se placer les uns devant les autres tout en spéculant et en argumentant du mieux qu'ils peuvent, dans le but de défendre leurs futurs projets de conception du fameux désiré« emplacements-navette », qu’ils ont d’ailleurs déjà a disposition pour certains... En effet, Discovery possède déjà, sa place au NASM, en virginie près de Whashington dans l’annexe du smithonian. Les Musées de New York et de Chicago ont récemment révélés de nouveaux concepts liés à leurs désir d'expositions, de plus, ils augmentent leur chance de sélection de par leur désir d’acquérir la navette spatiale entreprise, l'unique prototype, qui doit être déplacé du NASM, du fait de l’arrivée prochaine (quoique…) de discovery.
L’Administrateur de la NASA Charles Bolden, dont la responsabilité est de prendre la décision finale, a déclaré au Congrès au début du mois qu'il avait mis en place une équipe chargée d'évaluer le potentiel de chacune des trois navettes actives (Discovery, Atlantis et Endeavour), ainsi que d'Entreprise (le prototype). Le 12 avril, tout sera sur inscrit sur papier, mais les détails spécifiques sur la façon dont l'annonce sera faite ne sont pas encore sur table. En tout, vingt-neuf organisations ont exprimées leur intérêt dans la présentation public d'un orbiteur en réponse au premier appel d’offre fait par l’agence spatiale en guise de propositions en 2008. Depuis lors, huit ont abandonnées, laissant ainsi 21 musées, centres scientifiques et centres d'accueil, en lice pour tenter d’acquérir une navette à la retraite.
Avec clairement deux semaines restantes avant que la NASA ne fasse l'annonce indiquant où s'envoleront pour la dernière fois ses navettes spatiales, pour une présentation au grand publique en musées, ce sont justement ces derniers qui essaient tant bien que mal de se placer les uns devant les autres tout en spéculant et en argumentant du mieux qu'ils peuvent, dans le but de défendre leurs futurs projets de conception du fameux désiré« emplacements-navette », qu’ils ont d’ailleurs déjà a disposition pour certains... En effet, Discovery possède déjà, sa place au NASM, en virginie près de Whashington dans l’annexe du smithonian. Les Musées de New York et de Chicago ont récemment révélés de nouveaux concepts liés à leurs désir d'expositions, de plus, ils augmentent leur chance de sélection de par leur désir d’acquérir la navette spatiale entreprise, l'unique prototype, qui doit être déplacé du NASM, du fait de l’arrivée prochaine (quoique…) de discovery.
L’Administrateur de la NASA Charles Bolden, dont la responsabilité est de prendre la décision finale, a déclaré au Congrès au début du mois qu'il avait mis en place une équipe chargée d'évaluer le potentiel de chacune des trois navettes actives (Discovery, Atlantis et Endeavour), ainsi que d'Entreprise (le prototype). Le 12 avril, tout sera sur inscrit sur papier, mais les détails spécifiques sur la façon dont l'annonce sera faite ne sont pas encore sur table. En tout, vingt-neuf organisations ont exprimées leur intérêt dans la présentation public d'un orbiteur en réponse au premier appel d’offre fait par l’agence spatiale en guise de propositions en 2008. Depuis lors, huit ont abandonnées, laissant ainsi 21 musées, centres scientifiques et centres d'accueil, en lice pour tenter d’acquérir une navette à la retraite.
Disponible en plus grands sur: http://www.collectspace.com/news/news-032911b.html
Sidjay- Messages : 17121
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29.03.2011 : les techniciens affectés aux diverses taches de désactivation/transformation relatives à la retraitée navette discovery – OV-103, depuis son hangar de préparation n°2, ont entrepris les tâches de travail rattachées à la dépose, c'est-à-dire à l’extraction/démontage des moteurs principaux de la navette. Les moteurs principaux de la navette spatiale discovery, comptés au nombre de trois bien évidement, seront tous démontés vendredi. Les taches de travail liées au démontage de ces derniers s’échelonneront entre aujourd’hui et vendredi. Une fois démontés, ces moteurs prendront le chemin de la décontamination, de la révision et de la remise en état de fonctionnement en vue de leur futur stockage.
En outre, les techniciens sont à l’œuvre depuis hier et ce jusqu'à demain, (conformément au taches de travail essentielles et requises par la NASA dans cette transformation), sur la suppression suivi par la réinstallation des fenêtres 3.4 et 5 du poste de pilotage de Discovery.
En outre, les techniciens sont à l’œuvre depuis hier et ce jusqu'à demain, (conformément au taches de travail essentielles et requises par la NASA dans cette transformation), sur la suppression suivi par la réinstallation des fenêtres 3.4 et 5 du poste de pilotage de Discovery.
Dernière édition par Sidjay le Jeu 31 Mar 2011 - 22:45, édité 2 fois
Sidjay- Messages : 17121
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Frandu12 a écrit:sait on si les navettes aurron leur moteur ou pas quand elles partiront dans les différents musée
non, c'est écrit plus haut ;)
les SSME (space shuttle main engine) actuels d’OV103, seront prochainement démontés et remplacés en toute évidence, pour sa mise en exposition au musée de Washington, par des moteurs répliques (des faux en sommes). A priori l’application de ces "faux" SSME en guise de répliques permettrait de libérer « les vrais » de sorte à ce qu’ils puissent subir une « révision » post-mission (comme à l'accoutumée, a chaque fois qu'un orbiteur rentre de mission), mais surtout afin de poursuivre le toujours potentiel développement du SDLV "Shuttle-derived Launch Vehicle" (mieux vaut se prémunir que de subir). L'idéal serait, la constitution d'une sorte de stock de SSME, qui pourraient être utilisés sur le véhicule de prochaine génération. Il est bon pour eux d' en posséder autant que possible sous la main lorsqu’ils commenceront le processus de conception, dans le cas, bien sûre, où le projet puisse voir une bonne fois pour toute le jour. A ce sujet, j'avais lus sur un assez vieil article de NSF, que le démontage des SSME, se ferait depuis l’OPF-2 (Orbiter Processing Facility2). Une fois démontés les moteurs seront expédiés au SSMEPF pour subir les inspections nominales post-vol. Concernant Discovery, je viens d’en parler, ce sont des moteurs baptisés Replica Shuttle Main Engines (RSME) qui seront assemblés à discovery dans l’OPF-2.
Dernière édition par Sidjay le Mer 30 Mar 2011 - 17:32, édité 1 fois
Sidjay- Messages : 17121
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Frandu12 a écrit:ok donc les vu d'artiste son un peut fausse
Absolument pas. D'ailleurs les SSME n'ont aucuns rapports avec ces vues provenant d'artistes. Frandu, les trois moteurs seront remplacés par des RSME (réplica shuttle main engine).
Ces dessins représentent, une idée, un concept de présentation de musée, vu et conçues par de très bons artistes, c'est certain. Il serait plus approprié me semble-t-il de traiter ces dessins comme représentation visuelle d'une vision amplement lobbyiste, concernant surtout les projets de certains (exit celle du Smithionnian, puisque….) …Entre le concept où l’idée émergente issue de la tête d’un artiste et les contraintes de faisabilité, les coûts de reviens, les contrainte de sécurité etc.. il y’a tout de même et heureusement d'ailleurs, une nuance certaine à bien prendre en compte. Il est évident que, (je l’avais écris également plus haut), beaucoup de prétendants vont le 12.04 se faire remercier cordialement par l’équipe conçue par Bolden chargée du dossier. En toute Évidence, on ne va pas découper en petit morceaux, les 4 orbiteurs pour que chacun dans son petit bout de musée soit content…il y’aura 4 places disponibles, 4 places attribuées. A ce jours restent encore en course 21 prétendants. Le 12.04, 4 musées seront nommés.
Ces dessins représentent, une idée, un concept de présentation de musée, vu et conçues par de très bons artistes, c'est certain. Il serait plus approprié me semble-t-il de traiter ces dessins comme représentation visuelle d'une vision amplement lobbyiste, concernant surtout les projets de certains (exit celle du Smithionnian, puisque….) …Entre le concept où l’idée émergente issue de la tête d’un artiste et les contraintes de faisabilité, les coûts de reviens, les contrainte de sécurité etc.. il y’a tout de même et heureusement d'ailleurs, une nuance certaine à bien prendre en compte. Il est évident que, (je l’avais écris également plus haut), beaucoup de prétendants vont le 12.04 se faire remercier cordialement par l’équipe conçue par Bolden chargée du dossier. En toute Évidence, on ne va pas découper en petit morceaux, les 4 orbiteurs pour que chacun dans son petit bout de musée soit content…il y’aura 4 places disponibles, 4 places attribuées. A ce jours restent encore en course 21 prétendants. Le 12.04, 4 musées seront nommés.
Sidjay- Messages : 17121
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Quels sont les musées candidats à l'exposition des autres shuttle ?
Air&Space parlait dans un de ces articles de l'Evergreen Aviation & Space Museum dans l'Oregon ainsi que du National Museum of the USAF dans l'Ohio.
Je continue de penser que ce sont ces lieux qui vont être retenu car ils sont à proximité immédiate d'une piste d'atterrissage pour le 747 !
Air&Space parlait dans un de ces articles de l'Evergreen Aviation & Space Museum dans l'Oregon ainsi que du National Museum of the USAF dans l'Ohio.
Je continue de penser que ce sont ces lieux qui vont être retenu car ils sont à proximité immédiate d'une piste d'atterrissage pour le 747 !
Lolodesbois- Messages : 370
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Lolodesbois a écrit:Quels sont les musées candidats à l'exposition des autres shuttle ?
Quelques prétendants :
-(The Adler Planetarium) à Chicago
-(The Intrepid Sea, Air and Space Museum's) a new-york
-
-(Kennedy Space Center - Visitor Complex) au kennedy space center
-(Space Center ) à Houston,
-(National Museum of the U.S. Air Force) à Dayton
-(U.S. Space & Rocket Center's) à Huntsville
-(The Museum of Flight's) à Seattle
-(Evergreen Aviation & Space Museum) à McMinnville,
-(Tulsa Air and Space Museum) à tulsa
-(March Field Air Museum) aux environs de Los Angeles
Sidjay- Messages : 17121
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31.03.2011: Depuis deux jours maintenant, les techniciens affectés aux taches de travail liées à la transformation de discovery procèdent à l’enlèvement des moteurs principaux de la navette spatiale. Ils extraient les SSME de la partie arrière de discovery à l'aide d'un chariot-installateur spécialement conçu par Hyster. Les travaux se déroulent dans l’Orbiter Processing Facility-2 au Centre spatial Kennedy en Floride. Ce retrait pour les trois SSME de Discovery, fait partie du plan de transition et de transformation, en vue de sa mise à la retraite.
Sidjay- Messages : 17121
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Question : le retrait des moteurs SSME n'était-il pas une opération de routine effectuée à chaque retour de mission de la navette, afin de les envoyer en révision ?
Ce qui sera nouveau c'est leur remplacement par les "factices" (Replica Space Main Engine) pour que cela ait quand même l'air d'une navette complète en exposition.
Ce qui sera nouveau c'est leur remplacement par les "factices" (Replica Space Main Engine) pour que cela ait quand même l'air d'une navette complète en exposition.
montmein69- Donateur
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montmein69 a écrit:Question : le retrait des moteurs SSME n'était-il pas une opération de routine effectuée à chaque retour de mission de la navette, afin de les envoyer en révision ?
Ce qui sera nouveau c'est leur remplacement par les "factices" (Replica Space Main Engine) pour que cela ait quand même l'air d'une navette complète en exposition.
La réponse a ta question est déjà mentionnée plus haut dans ce sujet, montmein. Ce démontage est une opération routinière oui, (discovery n'est sur terre que depuis le 9 mars) mais l'objectif initiale de ce dernier entre bien évidement dans le cadre de sa transformation en vue de sa mise en libre exposition .. d'oú cette phrase que j'avais écrite juste au dessus et qui mentionne, que ce plan de désassemblage faisait parti, quoiqu'il soit, de ce cadre là ou de cette optique là, comme tu veux. ;)
sidjay a écrit:les SSME (space shuttle main engine) actuels d’OV103, seront prochainement démontés et remplacés, en vue de sa mise en exposition au musée de Washington. Ils seront remplacés par des moteurs répliques (des faux en sommes). A priori l’application de ces "faux" SSME en guise de répliques permettrait de libérer « les vrais » de sorte à ce qu’ils puissent subir une « révision » post-mission (comme à l'accoutumée, a chaque fois qu'un orbiteur rentre de mission), mais surtout afin de poursuivre le toujours potentiel développement du SDLV "Shuttle-derived Launch Vehicle" (mieux vaut se prémunir que de subir). L'idéal serait, la constitution d'une sorte de stock de SSME, qui pourraient être utilisés sur le véhicule de prochaine génération. Il est bon pour eux d' en posséder autant que possible sous la main lorsqu’ils commenceront le processus de conception, dans le cas, bien sûre, où le projet puisse voir une bonne fois pour toute le jour. A ce sujet, j'avais lus sur un assez vieil article de NSF, que le démontage des SSME, se ferait depuis l’OPF-2 (Orbiter Processing Facility2). Une fois démontés les moteurs seront expédiés au SSMEPF pour subir les inspections nominales post-vol. Concernant Discovery, je viens d’en parler, ce sont des moteurs baptisés Replica Shuttle Main Engines (RSME) qui seront assemblés à discovery dans l’OPF-2.
Sidjay- Messages : 17121
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Est-ce que les musée pourraient faire visiter l'intérieur de la navette? C'est à dire le cockpit et la zone habitable?
Rémi-astronome- Messages : 639
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La trappe d'accès n'est pas bien grande, et l'intérieur pas très spacieux (même s'il le devient davantage en apesanteur bien sûr). Dans ces conditions, je vois mal comment il serait possible de gérer l'accès du public. A moins de faire passer les gens au compte-goutte, ou d'aménager une sortie de l'autre côté, mais je n'y crois pas trop !Rémi-astronome a écrit:Est-ce que les musée pourraient faire visiter l'intérieur de la navette? C'est à dire le cockpit et la zone habitable?
on peut imaginer un système de visite équivalent à celui de OK-GLI a Speyer au mieux ! Cela permet au moins de voir la soute ainsi que le poste de pilotage par les hublots de soute
Lolodesbois- Messages : 370
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Rémi-astronome a écrit:Est-ce que les musée pourraient faire visiter l'intérieur de la navette? C'est à dire le cockpit et la zone habitable?
pioneer6014 a écrit:La trappe d'accès n'est pas bien grande, et l'intérieur pas très spacieux (même s'il le devient davantage en apesanteur bien sûr). Dans ces conditions, je vois mal comment il serait possible de gérer l'accès du public. A moins de faire passer les gens au compte-goutte, ou d'aménager une sortie de l'autre côté, mais je n'y crois pas trop !Rémi-astronome a écrit:Est-ce que les musée pourraient faire visiter l'intérieur de la navette? C'est à dire le cockpit et la zone habitable?
Lolodesbois a écrit:on peut imaginer un système de visite équivalent à celui de OK-GLI a Speyer au mieux ! Cela permet au moins de voir la soute ainsi que le poste de pilotage par les hublots de soute
En ce qui concerne OV-103 (objet de ce fil), cette notion devrait être purement et simplement écartée, pour la bonne et simple raison que son musée (l’annexe du smithonian) s’apprête a procéder a une logistique d'ores et déjà considérée comme étant assez lourde. Premièrement, en place, siège avec élégance le proto (entreprise) qu’il faudra contrôler, évaluer, « rafistoler » et configurer au vol pour enfin la transférer par 747, ailleurs. Deuxièmement, l’infrastructure du hall d’exposition ne permet pas l’installation d’un tel dispositif. Il faudra se contenter de la voir à 1 mètre de son appareil photo (c’est déjà énorme), dans la même configuration que pour entreprise. Cela dit étant donné que les autres navettes n’ont pas encore été « placées » dans un des 21 autres musées prétendants, il se pourrait que l’un d'eux invente un tel accès visuel, pourquoi pas, réponse le 12.04.
Dernière édition par Sidjay le Sam 2 Avr 2011 - 23:36, édité 3 fois
Sidjay- Messages : 17121
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Je confirme que le Udvar-Hazy Museum ne permet pas l'installation d'une telle structure. Perso, je pense que la NASA sera très regardante sur ses bébés (elle restera la propriétaire des navettes, ce n'est qu'un prêt ); elle ne voudra jamais d'une exposition risquant de dégrader les navettes plus que le temps ne le fera.
Lolodesbois- Messages : 370
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Et à défaut d'autoriser une visite à tout un chacun, ils peuvent envisager des "autorisations de visite" ciblées (gagnant de concours, millionième visiteur etc ....).
Ce serait dommage que la navette reste un objet à regarder de loin sans aucun espoir de pénétrer dans un endroit magique..
Ce serait dommage que la navette reste un objet à regarder de loin sans aucun espoir de pénétrer dans un endroit magique..
montmein69- Donateur
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06.04.2011: Aujourd’hui les techniciens s'occupant de la navette discovery, pour sa transformation depuis le hangar OPF-2, ont procédés a la réinstallation de la fenêtre n°7 du cockpit, suite à sa dépose qui eut lieu au cour de la semaine passée. Les fenêtres d’une navette spatiale sont faites de verre de silicate d'aluminium et de verre de silice fondue. Le silicate d'aluminium est insoluble et utilisé comme agent de réfraction en verrerie. Le phénomène par lequel la lumière change de direction lorsqu'elle passe d'un milieu transparent à un autre, s'appelle la réfraction. N’avez-vous jamais remarqués que lorsque vous trempez un bâtonnet tout droit dans un bassin d’eau claire, ce dernier était comme tordu ou dévié avec un angle, une fois trempé de par sa moitié dans l'eau? C’est ce que l’on appel la réfraction. Le rayon de l’angle ainsi obtenu est égal à 1.56° pour les vitres de la navette. Autrement dit, l’œil humain perçoit un visuel de très grande qualité lorsqu’il regarde à travers, sans aucunes déformations. Imaginez un peu les dégâts qui pourraient résulter, des vitres composées d’un verre de très mauvaise qualité montés sur la navette, lors de docking par exemple ou de transfères, soute/station….
Les vitres d’une navette spatiale se composent également d’une couche, mise sous pression interne d’une épaisseur d'environ 33 mm (soit 3 cm), mais également d’une couche optique pour corriger éventuellement la réfraction de 1.56°, et d’une couche thermique externe. Pour la petite histoire, il parait que les vitres de la navette spatiale américaine sont teintées avec la même encre que celle utilisée pour marquer les billets de banque américains. Le verre de quartz ou verre de silice fondue est un verre obtenu par fusion de quartz ou de sable à très haute teneur en silice, sans addition de fondant. Un fondant est un produit permettant d'abaisser la température de fusion d'un ou plusieurs éléments ou composés chimiques. La présence et la nature d'un fondant à un impact notable sur le produit final obtenu ainsi que sur ses propriétés tant physiques que chimiques.
Afin d'obtenir une grande pureté, il peut également être produit à partir de quartz ou de silice synthétiques, on le qualifie alors de verre de silice (ou encore silice vitreuse). Le verre de quartz est une forme amorphe de la silice, c'est-à-dire que les atomes ne respectent aucun ordre à moyenne et grande distance, ce qui le distingue des composés cristallisés. (dioxyde de silicium, SiO2). Le terme "quartz" est parfois abusivement employé pour désigner un matériau qui est en fait un "verre de quartz", par exemple pour des tubes à quartz pour les lampes, la verrerie scientifique en quartz dont nos vitres de Discovery.
Les verres de quartz et de silice offrent une grande résistance aux hautes températures et aux chocs thermiques, voilà pourquoi ils entrent dans la composition « externe » d’une vitre de navette spatiale. Ces parties sont évidemment en contact avec de très hautes température notamment lors de la ré-entrée du shuttle et subissent de forts choc thermiques lorsque la navette passe d’une phase de nuit (températures négatives) a la phase dites de jours (températures positives). Ils ont une grande homogénéité et permettent une excellente transmission de la lumière visible, mais aussi des rayonnements ultraviolets et infrarouges proches. Ils sont diélectriques, c'est-à-dire qu’il ne contient pas de charges électriques susceptibles de se déplacer de façon macroscopique. Autrement dit, la vitre de la navette de par sa conception, est un isolant électrique.
Les vitres d’une navette sont de ce fait résistantes aux attaques chimiques et aux rayonnements ionisants. La combinaison de ces propriétés rendent les verres de quartz et de silice très utiles dans de nombreux domaines comme (on viens de le voir) l'aérospatiale, l'industrie chimique, la verrerie de laboratoire, la production de lampes halogènes et UV (tubes de quartz), les isolateurs électriques, l'industrie des semi-conducteurs (masques de photolithographie), les systèmes optiques (prismes, miroirs, lentilles, instruments) et les fibres optiques.
Les vitres d’une navette spatiale se composent également d’une couche, mise sous pression interne d’une épaisseur d'environ 33 mm (soit 3 cm), mais également d’une couche optique pour corriger éventuellement la réfraction de 1.56°, et d’une couche thermique externe. Pour la petite histoire, il parait que les vitres de la navette spatiale américaine sont teintées avec la même encre que celle utilisée pour marquer les billets de banque américains. Le verre de quartz ou verre de silice fondue est un verre obtenu par fusion de quartz ou de sable à très haute teneur en silice, sans addition de fondant. Un fondant est un produit permettant d'abaisser la température de fusion d'un ou plusieurs éléments ou composés chimiques. La présence et la nature d'un fondant à un impact notable sur le produit final obtenu ainsi que sur ses propriétés tant physiques que chimiques.
Afin d'obtenir une grande pureté, il peut également être produit à partir de quartz ou de silice synthétiques, on le qualifie alors de verre de silice (ou encore silice vitreuse). Le verre de quartz est une forme amorphe de la silice, c'est-à-dire que les atomes ne respectent aucun ordre à moyenne et grande distance, ce qui le distingue des composés cristallisés. (dioxyde de silicium, SiO2). Le terme "quartz" est parfois abusivement employé pour désigner un matériau qui est en fait un "verre de quartz", par exemple pour des tubes à quartz pour les lampes, la verrerie scientifique en quartz dont nos vitres de Discovery.
Les verres de quartz et de silice offrent une grande résistance aux hautes températures et aux chocs thermiques, voilà pourquoi ils entrent dans la composition « externe » d’une vitre de navette spatiale. Ces parties sont évidemment en contact avec de très hautes température notamment lors de la ré-entrée du shuttle et subissent de forts choc thermiques lorsque la navette passe d’une phase de nuit (températures négatives) a la phase dites de jours (températures positives). Ils ont une grande homogénéité et permettent une excellente transmission de la lumière visible, mais aussi des rayonnements ultraviolets et infrarouges proches. Ils sont diélectriques, c'est-à-dire qu’il ne contient pas de charges électriques susceptibles de se déplacer de façon macroscopique. Autrement dit, la vitre de la navette de par sa conception, est un isolant électrique.
Les vitres d’une navette sont de ce fait résistantes aux attaques chimiques et aux rayonnements ionisants. La combinaison de ces propriétés rendent les verres de quartz et de silice très utiles dans de nombreux domaines comme (on viens de le voir) l'aérospatiale, l'industrie chimique, la verrerie de laboratoire, la production de lampes halogènes et UV (tubes de quartz), les isolateurs électriques, l'industrie des semi-conducteurs (masques de photolithographie), les systèmes optiques (prismes, miroirs, lentilles, instruments) et les fibres optiques.
Dernière édition par Sidjay le Sam 9 Avr 2011 - 21:24, édité 1 fois
Sidjay- Messages : 17121
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08/09/10/04/2011: Les techniciens du Kennedy Space Center sont malgré l’actualité budgétaire gouvernementale actuelle, en train de parachever les taches de travail visant à évacuer les dernière traces de propergol hypergoliques (carburants et comburants) encore situées dans les réservoirs du système de manœuvres orbitales (partie Arrière OMS-RCS) de Discovery.
Pour convenablement interpréter tous lien relatif au potentiel (encore hier soir) « Gouvernment Shutdown » (exposé sur le fil dédié), qui je rappel avait les, moyens de mettre en défaut une bonne partie des activités de travail relatives au site spatial, il faut savoir que dans le cas où une solution n’aurait été convenue, certaines activités auraient été purement et simplement stoppées. Toutefois certaines activités induisant certaines priorités du fait de leur propriété critique ou dangereuse, auraient été préservées et bien-entendus financées, c’est une question de sécurité pour l’homme qui travail pour cette administration (astronautes en orbite, techniciens, administrés, PAO etc..). En conséquences se poursuivront ce week-end, les tâches de travail relatives à la transformation de discovery en vue de sa mise a disposition du publique au musée annexe de Washington, courant 2012.
La vidange complète, entamée vendredi, des réservoirs à propergols hypergoliques alimentant les moteurs des Systèmes de manœuvres orbitales de Discovery ainsi que sur ses groupes auxiliaires de puissance (APU), se poursuivront tout au long du week-end. Ces opérations dangereuses font partie intégrante du travail de dépollution de l’orbiteur. Cela fait mention sur le cahier des charges établi par les gestionnaires des opérations de transformation au préalable, de sorte a pouvoir exposer Discovery au public, certifiant ainsi à ces derniers une pleine sécurité.
Les deux moteurs du système de manœuvre orbitale en anglais Orbital Maneuvring Sytem OMS avaient été utilisés dernièrement par Steve Lindsey et le pilote Eric Boe lors de la mission STS-133, d'une part pour installer leur navette sur l'orbite cible à l'issue de la phase de décollage et d'autre part, pour amorcer le « déorbit-burn » qui est une manœuvre visant à réduire la vitesse de l'orbiteur, afin de provoquer la réentrée. Durant leur séjour dans l'espace, ces systèmes auront permis aux astronautes d'effectuer de petites corrections orbitales.
Chaque moteur est placé dans une partie démontable nommée dans le jargon (POD OMS). Une partie démontable où se logent deux réservoirs contenant les ergols utilisés et deux réservoirs d'hélium, pour permettre la mise sous pression du carburant et du comburant ainsi qu'une partie des moteurs de contrôle d'orientation de l'orbiteur. Les deux « pod oms » sont situées à l'arrière de l'orbiteur de part et d'autre de sa dérive. Chaque moteur-fusée brûle du peroxyde d'azote et du méthylhydrazine ou MMH. Ces ergols liquides présentent l'avantage de pouvoir être stockés facilement aux températures rencontrées une fois dans l’espace et d'être hypergoliques c'est-à-dire de pouvoir s'enflammer spontanément lorsqu'ils sont mis en contact l'un avec l'autre.
Les moteurs de contrôle d'orientation ou d'attitude orbitale, dénommés Reaction Control System RCS, sont eux utilisés pour modifier l'orientation de la navette lorsque l'atmosphère est trop mince pour que les empennages de l'orbiteur puissent être efficaces. Autrement dit, quand la navette ne peut utiliser ses propriétés aéronautiques, indispensables pour un avion. Les astronautes en ont également recours en orbite lorsque la vitesse de l'orbiteur doit être corrigée. Les moteurs sont répartis entre les deux Pod-OMS ainsi qu’a l'avant de l'orbiteur. Tous ces moteurs utilisent les mêmes ergols que les moteurs de manœuvre orbitale mais avec des réservoirs qui leurs sont propres et actuellement vidangés.
Sidjay- Messages : 17121
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Un retour au VAB, début mai pour Discovery.
Nous voilà déjà à un mois de l'achèvement de son ultime mission (STS-133).
Dés lors, Discovery était entrée dans une phase « routinière » de préparatifs depuis le 9 mars. Elle était en « Down mission processing ou DMP » à l'intérieur du hangar OPF-2 au Centre spatial Kennedy. Nous l’avons vus, certaines parties motorisées de l’orbiteur ont étés désassemblées et envoyée en « révision », dans le but d’une potentielle réutilisation futur. Seulement discovery pourrait retourner au VAB début mai, pour quelques « purges », portées sur des pièces définies par le PRCB comme (pièces de rechange).
Aujourd’hui, avec un DMP presque complet, les techniciens vont bientôt entamer les grandes étapes de transition et de transformation, au sens propre du terme.
Ils vont clairement entrer dans le vif du sujet concernant cette mise en retraite. Pour ainsi entrer dans cette phase de travaux, les techniciens suivront désormais une nouvelle version du plan de transformation pour discovery, telle qu'approuvé tout récemment par les gestionnaires du PRCB.
Il y a quelques mois déjà, un examen de fin de préparatifs au lancement pour STS133, avait déclaré apte l’orbiteur Discovery, pour endurer une transition de mise en retraite. Cet examen avait mentionné que le processus de traitement lié débuterait dès qu’OV103 stopperait ces roues après son ultime atterrissage. Le 9 mars 2011, Steve Lindsey avait effectivement prononcé la phrase tragique mais tant évidente « And…for the final time Discovery Wheels stop.. » L’arrêt de roues de Discovery signifiait la fin de la mission, mais surtout, il signifiait également le début de sa nouvelle phase de vie, la transition.
Suite aux directives résultantes de cet examen pré-lancement, une enquête avait été ouverte pour déterminer quels composants, d'OV-103 seraient indispensables quand à une conservation comme « pièces de rechange » destinées à STS-134/Endeavour et à STS-135/Atlantis. Une évaluation avait également estimée nécessaire pour discovery de revenir au VAB, par le biais d’un nouveau déplacement « Roll-over » au cours de la T & R (Phase de transition pour OV-103), permettant ainsi de travailler sur ces dites « futurs pièces de rechanges directes ». Cette enquête a abouti à une liste mentionnant plusieurs éléments matériels sélectionnés et susceptibles d’être récupérés en cas de besoins.
Aujourd’hui, tous les prélèvements de « pièces de rechanges » ont été identifiés et devraient avoir lieu avant que Discovery ne soit transférée au VAB en HB 4 (Vehicle Assembly Building High Bay 4) début mai pour un stockage temporaire. Tous les éléments ou toutes ces pièces non identifiées comme nécessaires resteront installés sur Discovery. En revanceh, dans le cas où leur enlèvement s'avère être nécessaire, un plan a été adopté de sorte à les déposées soit avant le retour au VAB pour stockage, soit après le re-transfert vers OPF-1 qui aura lieu début juin. Ce plan a été approuvé par le PRCB lors d’une réunion le 18 Mars 2011.
Au jour d’aujourd’hui Discovery est toujours sous DMP, et l'équipe de gestion, assez confiante à l’égard de ces préparatifs, à conclu que tous les travaux de transformation pourraient débuter, un peu plus tôt pour OV-103. Procéder ainsi est un moyen de ne pas percevoir une possible convergence avec les préparatifs d’Atlantis et d’Endeavour.
http://www.nasaspaceflight.com/2011/04/nasa-updates-discovery-end-state-requirements/Nous voilà déjà à un mois de l'achèvement de son ultime mission (STS-133).
Dés lors, Discovery était entrée dans une phase « routinière » de préparatifs depuis le 9 mars. Elle était en « Down mission processing ou DMP » à l'intérieur du hangar OPF-2 au Centre spatial Kennedy. Nous l’avons vus, certaines parties motorisées de l’orbiteur ont étés désassemblées et envoyée en « révision », dans le but d’une potentielle réutilisation futur. Seulement discovery pourrait retourner au VAB début mai, pour quelques « purges », portées sur des pièces définies par le PRCB comme (pièces de rechange).
Aujourd’hui, avec un DMP presque complet, les techniciens vont bientôt entamer les grandes étapes de transition et de transformation, au sens propre du terme.
Ils vont clairement entrer dans le vif du sujet concernant cette mise en retraite. Pour ainsi entrer dans cette phase de travaux, les techniciens suivront désormais une nouvelle version du plan de transformation pour discovery, telle qu'approuvé tout récemment par les gestionnaires du PRCB.
Il y a quelques mois déjà, un examen de fin de préparatifs au lancement pour STS133, avait déclaré apte l’orbiteur Discovery, pour endurer une transition de mise en retraite. Cet examen avait mentionné que le processus de traitement lié débuterait dès qu’OV103 stopperait ces roues après son ultime atterrissage. Le 9 mars 2011, Steve Lindsey avait effectivement prononcé la phrase tragique mais tant évidente « And…for the final time Discovery Wheels stop.. » L’arrêt de roues de Discovery signifiait la fin de la mission, mais surtout, il signifiait également le début de sa nouvelle phase de vie, la transition.
Suite aux directives résultantes de cet examen pré-lancement, une enquête avait été ouverte pour déterminer quels composants, d'OV-103 seraient indispensables quand à une conservation comme « pièces de rechange » destinées à STS-134/Endeavour et à STS-135/Atlantis. Une évaluation avait également estimée nécessaire pour discovery de revenir au VAB, par le biais d’un nouveau déplacement « Roll-over » au cours de la T & R (Phase de transition pour OV-103), permettant ainsi de travailler sur ces dites « futurs pièces de rechanges directes ». Cette enquête a abouti à une liste mentionnant plusieurs éléments matériels sélectionnés et susceptibles d’être récupérés en cas de besoins.
Aujourd’hui, tous les prélèvements de « pièces de rechanges » ont été identifiés et devraient avoir lieu avant que Discovery ne soit transférée au VAB en HB 4 (Vehicle Assembly Building High Bay 4) début mai pour un stockage temporaire. Tous les éléments ou toutes ces pièces non identifiées comme nécessaires resteront installés sur Discovery. En revanceh, dans le cas où leur enlèvement s'avère être nécessaire, un plan a été adopté de sorte à les déposées soit avant le retour au VAB pour stockage, soit après le re-transfert vers OPF-1 qui aura lieu début juin. Ce plan a été approuvé par le PRCB lors d’une réunion le 18 Mars 2011.
Au jour d’aujourd’hui Discovery est toujours sous DMP, et l'équipe de gestion, assez confiante à l’égard de ces préparatifs, à conclu que tous les travaux de transformation pourraient débuter, un peu plus tôt pour OV-103. Procéder ainsi est un moyen de ne pas percevoir une possible convergence avec les préparatifs d’Atlantis et d’Endeavour.
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Capcomespace, nous l'indique!
Le système OMS Orbiting Maneuvring System sert pour les insertion en orbite de l' Orbiter, les circularisation d' orbite, les transferts d' orbite, les Rendez vous et les rentrée d' orbite. Le système se compose de deux pods, un de chaque coté de la dérive verticale et abrite également le système de contrôle à réaction RCS. Les pods et les réservoirs d' ergols sont fabriqués par Mc Donnel Douglas Astronautics tandis que les moteurs le sont par Aerojet Liquid Rocket Cie.
Chaque pods mesure 6,6 m de long, 3, 45 m de large sur l' arrière et 2,5 m à l' avant. Chaque pods possède un moteur et un système RCS associé. Ils sont fixés à la structure par 11 boulons. fabriqué en aluminium, les pods sont recouverts de panneau en graphite-époxy qui réduisent la masse de 90kg. Quelques 24 portes sur les carénages permettent un accès facile à tout les systèmes.
Les pods peuvent résister à une puissance acoustique de 163 dB et une température de - ° à + °C. Les zones exposées directement à la chaleur du décollage sont protégées par des tuiles et des joint thermique. Des barrières thermique sont installées sur chaque tuyère de moteurs RCS.
Chaque pods abrite un réservoir d' hélium haute pression, quatre régulateurs et contrôleurs, un réservoir de carburant (1802 kg de MMH) et un d' oxydant (2973 kg de N2O4). Chaque OMS a une poussée de 2520 kg dans le vide. La tuyère est prévue pour être réutilisée 100 fois et capable de réaliser 1000 démarrages et totalisé 15 heures de fonctionnement cumulé. Le guidage est assuré par des vérins (+- 8° en tangage et +-7° en lacet).
La capacité des réservoirs peut être augmentée grâce à l' emport d' un kit de trois réservoirs installé dans la soute (ce qui n' a jamais été fait) . http://www.capcomespace.net/dossiers/espace_US/shuttle/sts/OMS_RCS.htm
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