[Chine] Système de navigation Beidou
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Salut toutes et tous
Le déploiemment du système de navigation Chinois Compass
est bien parti. 4 satellites sont à poste avec qqs pb pour l'un
d'entre eux, mais en passe d'être résolu.
Voyez un peu ça à l'URL
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/42597.htm
La Chine a investi qq 200 M€ également dans le système
Européen Galileo (peut-être pour avoir deux fers au chaud).
Avec le GNSS Navstar au complet, plus réserves.
Avec le fractionné GNSS Glonass à moitié opérationnel.
Avec le début de déploiemment du GNSS Compas (Beidou).
Avec le projet GNSS Galileo / EGNOS en gestation.
Il va être difficile de se perdre sur Terre !
Le déploiemment du système de navigation Chinois Compass
est bien parti. 4 satellites sont à poste avec qqs pb pour l'un
d'entre eux, mais en passe d'être résolu.
Voyez un peu ça à l'URL
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/42597.htm
La Chine a investi qq 200 M€ également dans le système
Européen Galileo (peut-être pour avoir deux fers au chaud).
Avec le GNSS Navstar au complet, plus réserves.
Avec le fractionné GNSS Glonass à moitié opérationnel.
Avec le début de déploiemment du GNSS Compas (Beidou).
Avec le projet GNSS Galileo / EGNOS en gestation.
Il va être difficile de se perdre sur Terre !
Un fil dédié au système de navigation chinois Compass-2 / Beidou-2
Il sera enrichi au fur et à mesure.
Le système est composé de 3 types de satellites - 5 x GEO, 5 x IGSO et 27 x MEO.
Jusqu'à présent la phase I du système, qui consiste à rendre le système opérationnel à l'échelle Asie & Pacifique, est presque terminée.
La couverture régionale de la phase I du système COMPASS est illustrée dans cette planche -
D'après cette planche, le système, pour la partie régionale, finira tous les tests en orbite vers Octobre 2011
Quelques détails sur les satellites GEO et IGSO du système. Les satellites GEO utilisent la plateforme de communication DFH-3A, masse ~4600kg avec une puissance de 6800kW. Les satellites IGSO utilisent la plateforme amélioré DFH-3B, masse ~4200kg avec une puissance de 6200kW. Tous deux ont une durée de vie entre 12 à 15 ans -
Quelques informations sur les satellites MEO -
Jusqu'à présent et depuis 2007, la Chine a déjà lancé, pour le système COMPASS-2 - 1 satellite MEO expérimental, 3 satellites IGSO et 4 satellites GEO (dont 1 n'est pas utilisable, il s'agit du satellite G2 lancé le 15 Avril 2009 qui est en état de dérive).
Quelques détails sur le MEO expérimental. Selon le panneau, il a été placé dans une orbite de 24126km inclinaison 55°, avec une masse de 800kg dont 280kg de charge utile, sa dimension est de 2250mm x 1000mm x 1217mm, puissance 1500W, et la durée de vie est de 5 ans.
A court terme, la Chine devrait lancer au moins 1 GEO plus 2 MEO en 2011, puis au moins 1 GEO et 4 MEO l'année prochaine. L'objectif est de terminer le système à l'échelle mondial vers 2020.
L'une des particularités de COMPASS-2 par rapport à d'autres systèmes (GPS, Glonass et Galiléo) est qu'il est capable d'envoyer et de transférer des messages courts de type SMS.
Il sera enrichi au fur et à mesure.
Le système est composé de 3 types de satellites - 5 x GEO, 5 x IGSO et 27 x MEO.
Jusqu'à présent la phase I du système, qui consiste à rendre le système opérationnel à l'échelle Asie & Pacifique, est presque terminée.
La couverture régionale de la phase I du système COMPASS est illustrée dans cette planche -
D'après cette planche, le système, pour la partie régionale, finira tous les tests en orbite vers Octobre 2011
Quelques détails sur les satellites GEO et IGSO du système. Les satellites GEO utilisent la plateforme de communication DFH-3A, masse ~4600kg avec une puissance de 6800kW. Les satellites IGSO utilisent la plateforme amélioré DFH-3B, masse ~4200kg avec une puissance de 6200kW. Tous deux ont une durée de vie entre 12 à 15 ans -
Quelques informations sur les satellites MEO -
Jusqu'à présent et depuis 2007, la Chine a déjà lancé, pour le système COMPASS-2 - 1 satellite MEO expérimental, 3 satellites IGSO et 4 satellites GEO (dont 1 n'est pas utilisable, il s'agit du satellite G2 lancé le 15 Avril 2009 qui est en état de dérive).
Quelques détails sur le MEO expérimental. Selon le panneau, il a été placé dans une orbite de 24126km inclinaison 55°, avec une masse de 800kg dont 280kg de charge utile, sa dimension est de 2250mm x 1000mm x 1217mm, puissance 1500W, et la durée de vie est de 5 ans.
A court terme, la Chine devrait lancer au moins 1 GEO plus 2 MEO en 2011, puis au moins 1 GEO et 4 MEO l'année prochaine. L'objectif est de terminer le système à l'échelle mondial vers 2020.
L'une des particularités de COMPASS-2 par rapport à d'autres systèmes (GPS, Glonass et Galiléo) est qu'il est capable d'envoyer et de transférer des messages courts de type SMS.
Dernière édition par Elixir le Ven 24 Fév 2012 - 19:29, édité 2 fois
Un document PDF officiel très intéressant, avec nombreuses photos de satellites et informations, sur le site gouvernemental de Beidou - http://www.beidou.gov.cn/csnc2011dhbg.html
Le document se trouve dans le lien que j'ai mis en cadre jaune -
Ensuite, une vidéo avec les Top 7 réalisations chinoises en 2010, élues par les internautes chinois, dont les lancements de 5 satellites Beidou-2 en 7ème position du classement.
Dans l'ordre, la vidéo montre plusieurs choses -
Jusqu'à 00:43 L'un des lancements de Beidou-2 en 2010
Jusqu'à 01:19 Le nouveau TGV chinois
Jusqu'à 01:42 Le nouveau robot sous-marin, capable de réaliser des opérations en 7000m de profondeur
Jusqu'à 02:06 Le programme Chang'e-2
Jusqu'à 02:45 Le super-calculateur chinois TH-1A, classé 1er mondial en 2010
Jusqu'à 03:18 Le nouveau avion de chasse 5ème génération, J-20
Jusqu'à la fin L'essai réussi du système anti-missile mi-course chinois
Ce qui nous intéresse ici c'est la première partie.
Le document se trouve dans le lien que j'ai mis en cadre jaune -
Ensuite, une vidéo avec les Top 7 réalisations chinoises en 2010, élues par les internautes chinois, dont les lancements de 5 satellites Beidou-2 en 7ème position du classement.
Dans l'ordre, la vidéo montre plusieurs choses -
Jusqu'à 00:43 L'un des lancements de Beidou-2 en 2010
Jusqu'à 01:19 Le nouveau TGV chinois
Jusqu'à 01:42 Le nouveau robot sous-marin, capable de réaliser des opérations en 7000m de profondeur
Jusqu'à 02:06 Le programme Chang'e-2
Jusqu'à 02:45 Le super-calculateur chinois TH-1A, classé 1er mondial en 2010
Jusqu'à 03:18 Le nouveau avion de chasse 5ème génération, J-20
Jusqu'à la fin L'essai réussi du système anti-missile mi-course chinois
Ce qui nous intéresse ici c'est la première partie.
Les premières montres qui sont synchronisés automatiquement par les système de navigation Beidou-2, spécialement conçues pour les militaires, sont disponibles pour l'armée chinoise. Elles disposent de l'affichage de temps standard synchronisé à une précision de 0,1s, thermomètre, baromètre, altimètre, de stockage de données et d'autres fonctions.
Les ingénieurs chinois continuent à améliorer le produit, la prochaine étape est de transformer une telle montre en un terminal d'information intégrée satellitaire. A l'aide du système Beidou-2, ces montres pourront être servit comme l'outil du positionnement et de la navigation également, pour que le commandement puisse localiser chaque soldat sur les champs de bataille et que chaque soldat puisse être guidé dans le déploiement.
Autre information très intéressante, les opérateurs Télécom chinois ont commencé à déployer IEEE 1588v2, les principaux OEM chinois de TD-SCDMA sont en train de remplacer les équipements liés exclusivement à GPS Américain par les équipements compatible Beidou-2.
Les ingénieurs chinois continuent à améliorer le produit, la prochaine étape est de transformer une telle montre en un terminal d'information intégrée satellitaire. A l'aide du système Beidou-2, ces montres pourront être servit comme l'outil du positionnement et de la navigation également, pour que le commandement puisse localiser chaque soldat sur les champs de bataille et que chaque soldat puisse être guidé dans le déploiement.
Autre information très intéressante, les opérateurs Télécom chinois ont commencé à déployer IEEE 1588v2, les principaux OEM chinois de TD-SCDMA sont en train de remplacer les équipements liés exclusivement à GPS Américain par les équipements compatible Beidou-2.
Un peu plus d'information sur les satellites MEO de Beidou-2, à priori il existe deux types de satellites MEO, l'un utilise la plateforme de communication DFH-3, l'autre utilise une toute nouvelle plateforme dédiée.
En bas à gauche le satellite MEO utilisant la plateforme DFH-3, à sa droit celui avec la nouvelle plateforme dédiée -
En terme de lancement, la disposition des satellites dans la coiffe est, de gauche à droit dans l'image -
- 1 satellite GEO ou IGSO par lancement avec une fusée CZ-3A
- 2 satellites MEO (Plateforme DFH-3) par lancement avec une fusée CZ-3B
- 2 satellites MEO (Nouvelle plateforme) par lancement avec une fusée CZ-3B+
- 4 satellites MEO (Nouvelle plateforme) par lancement avec une fusée CZ-5
Une image du satellite MEO avec la nouvelle plateforme -
Une maquette de ce nouveau satellite MEO, exposé à Shanghai -
En bas à gauche le satellite MEO utilisant la plateforme DFH-3, à sa droit celui avec la nouvelle plateforme dédiée -
En terme de lancement, la disposition des satellites dans la coiffe est, de gauche à droit dans l'image -
- 1 satellite GEO ou IGSO par lancement avec une fusée CZ-3A
- 2 satellites MEO (Plateforme DFH-3) par lancement avec une fusée CZ-3B
- 2 satellites MEO (Nouvelle plateforme) par lancement avec une fusée CZ-3B+
- 4 satellites MEO (Nouvelle plateforme) par lancement avec une fusée CZ-5
Une image du satellite MEO avec la nouvelle plateforme -
Une maquette de ce nouveau satellite MEO, exposé à Shanghai -
Si quelqu'un a des détails sur les technologies utilisées par la charge utile:
principe de fonctionnement de la localisation? (idem GPS? Glonass? autre?)
technologie utilisée (composants made in china ou ?)
durée de vie prévue etc...
Je suis preneur :D
Bons Vols
principe de fonctionnement de la localisation? (idem GPS? Glonass? autre?)
technologie utilisée (composants made in china ou ?)
durée de vie prévue etc...
Je suis preneur :D
Bons Vols
DeepThroat- Messages : 571
Inscrit le : 22/06/2007
Age : 63 Localisation : France
La construction de la constellation de navigation Beidou 2 est en deux étapes -
Première étape -
Deuxième étape -
Les plateformes de satellite GEO, IGSO et MEO
- Première étape, construire une constellation de navigation régionale, avec 5 satellites GEO, 5 satellites IGSO et 4 satellite MEO
- Deuxième étape, mis en place de la constellation de navigation mondiale, avec 5 satellites GEO, 3 satellites IGSO et 27 satellite MEO
Première étape -
Deuxième étape -
Les plateformes de satellite GEO, IGSO et MEO
Très intéressant ! Merci de ces informations.
En consultant le lexique des abréviations de notre forum, j'ai constaté que l'abréviation IGSO n'y était pas . Il serait bien de l'ajouter car ce type de satellites me semble aussi important pour les communications que celui des GEO
Donc: IGSO =Inclined Geosynchronous Satellite Orbit = Orbite Satellitaire Géosynchrone Inclinée= OSGI ... ;)
En consultant le lexique des abréviations de notre forum, j'ai constaté que l'abréviation IGSO n'y était pas . Il serait bien de l'ajouter car ce type de satellites me semble aussi important pour les communications que celui des GEO
Donc: IGSO =Inclined Geosynchronous Satellite Orbit = Orbite Satellitaire Géosynchrone Inclinée= OSGI ... ;)
Giwa- Donateur
- Messages : 12848
Inscrit le : 15/04/2006
Age : 81
Localisation : Draguignan
Giwa a écrit:Très intéressant ! Merci de ces informations.
En consultant le lexique des abréviations de notre forum, j'ai constaté que l'abréviation IGSO n'y était pas . Il serait bien de l'ajouter car ce type de satellites me semble aussi important pour les communications que celui des GEO
Donc: IGSO =Inclined Geosynchronous Satellite Orbit = Orbite Satellitaire Géosynchrone Inclinée= OSGI ... ;)
Merci Giwa, c'est à présent inclus dans le lexique disponible ici
;)
Sidjay- Messages : 17121
Inscrit le : 05/04/2009
Age : 43
Localisation : R.P
Le commandant en chef du système de navigation Beidou 2, Chang Jiang LI, précise dans un interview récent que la Chine lancera 6 satellites de navigation en 2012. Deux seront lancé avec une seule fusée (A priori il s'agit des premiers satellites MEO, voir plus haut dans les premiers posts).
Il indique que 4 satellites avaient été initialement prévu pour cette année, mais à cause de lourde charge sur les 3 centres de lancement, 1 va être décalé à l'année prochaine.
Normalement le satellite GEO pour remplace le G2 qui est en panne va aussi être lancé en 2012, très probablement en Janvier.
Donc si j'essaie de résumer - G5, remplaçant de G2, M2, M3, M4 et M5 seront les 6 satellites Beidou à lancer en 2012. A vérifier.
Pour le moment 10 satellites de navigation Beidou-2 sont en orbite.
Il indique que 4 satellites avaient été initialement prévu pour cette année, mais à cause de lourde charge sur les 3 centres de lancement, 1 va être décalé à l'année prochaine.
Normalement le satellite GEO pour remplace le G2 qui est en panne va aussi être lancé en 2012, très probablement en Janvier.
Donc si j'essaie de résumer - G5, remplaçant de G2, M2, M3, M4 et M5 seront les 6 satellites Beidou à lancer en 2012. A vérifier.
Pour le moment 10 satellites de navigation Beidou-2 sont en orbite.
D'après CCTV de ce soir, les premiers retours opérationnels et de tests du système Beidou-2 montrent que ce système de positionnement fonctionne correctement, certains KPIs sont mieux que prévus. La précision du système augmente au fur et à mesure que des nouveaux satellites entrent en orbite.
Les produits compatibles Beidou-2 sont également entrés sur le marché chinois et commencent à gagner la confiance des clients.
D'ici fin 2012 la précision du système dit ouvert atteindra 10m, et quand tous les satellites MEO seront en place en 2020 la précision du système sera de l'ordre < 1m.
La vidéo -
https://www.youtube.com/watch?v=4AgqJNWlnHw
Les produits compatibles Beidou-2 sont également entrés sur le marché chinois et commencent à gagner la confiance des clients.
D'ici fin 2012 la précision du système dit ouvert atteindra 10m, et quand tous les satellites MEO seront en place en 2020 la précision du système sera de l'ordre < 1m.
La vidéo -
https://www.youtube.com/watch?v=4AgqJNWlnHw
Selon le site gouvernemental de Beidou, la province de Hainan est en train de finaliser l'équipement des terminaux Beidou-2 à ses 6000 moyens et grands navires de pêche. Le projet coûte 79M RMB et le ratio de contribution entre la province, les villes et les pêcheurs est de 7:2:1. Cela veut dire que 90% du coût d'équipement est subventionné par l’État.
http://www.beidou.gov.cn/2012/03/16/2012031687e03fc70f284ce8b73e5eadaec4c124.html
Il s'agit donc l'un des nombreux exemples où l'état chinois incite l'utilisation de ce système de navigation. On apprend récemment que plusieurs villes équipent ses réseaux de transport en commun avec des puces Beidou.
http://www.beidou.gov.cn/2012/03/16/2012031687e03fc70f284ce8b73e5eadaec4c124.html
Il s'agit donc l'un des nombreux exemples où l'état chinois incite l'utilisation de ce système de navigation. On apprend récemment que plusieurs villes équipent ses réseaux de transport en commun avec des puces Beidou.
Le système de navigation et de positionnement Beidou-2 (Compass 2) entre en phase de déploiement opérationnel.
De nombreux réseaux de transport en commun chinois ainsi que le suivi des activités de pêche sont désormais assurés par Beidou-2.
Les Chinois accélèrent aussi le développement et la mise sur le marché des équipements de positionnement compatible avec GPS, GLONASS et Beidou-2.
La dernière image, par exemple, montre le nombre de bus équipés de Beidou-2 et qui sont en ligne, par province en Chine.
De nombreux réseaux de transport en commun chinois ainsi que le suivi des activités de pêche sont désormais assurés par Beidou-2.
Les Chinois accélèrent aussi le développement et la mise sur le marché des équipements de positionnement compatible avec GPS, GLONASS et Beidou-2.
La dernière image, par exemple, montre le nombre de bus équipés de Beidou-2 et qui sont en ligne, par province en Chine.
Plusieurs informations -
:study:
- Le 19 Mai 2012, les élèves du Centre de recherche et de développement de navigation par satellite, appartenant au "College of Electronic Science and Engineering" de l'université de l'armée chinoise "National University of Defense Technology", présentent le récepteur militaire du Beidou-2 développé par ce centre...
- Le 21 Mai, on apprend dans un article de presse chinoise que les bateaux de pêche et les 29 équipages capturés par la Corée du Nord ont été localisé grâce au Beidou-2. L'un des propriétaires de bateaux de pêche a montré aux journalistes son récepteur Beidou-2 qui permet de localiser ses bateaux à une précision de moins de 2 m et d'envoyer des SMS à ces bateaux. Les diplomates chinois sont en train d'utiliser les informations renvoyées par le système Beidou-2 pour comprendre l'origine de cet incident.
- Le Bureau du système de navigation par satellite chinois a publié le 6 Juin un document intitulé "La construction et l'exploitation du système Beidou" (Lien) dans lequel il y a pas mal d'information -
> Dans le Slide 4 - La valeur de production annuelle générée par le système Beidou-2 avoisinera les 40Md RMB (~4Md€)
> Dans le Slide 5 - Les 4 principes fondamentaux du Beidou-2 sont "Ouvert", "Indépendant", "Compatible" et "Progressif"
> De Slide 7 à 9 - Le programme Beidou est en 3 grandes étapes :
1) La construction d'un système expérimental (Beidou-1) dès 1994 et dispose d'un service actif régional en 2000.
2) Démarrer la construction du système officiel (Beidou-2) à partir de 2004 et proposer un service passif régional dès la fin d'année 2012.
3) Continuer la construction de la constellation à partir de 2013 et finaliser le service passif mondial en 2020
> Dans le Slide 13 - Le système Beidou-2 entrera dans le cadre des normes définies par l'Organisation de l'aviation civile internationale. Ce GPS à la chinoise fournira des services aux compagnies aériennes en Asie dès 2015 et de manière mondiale dès 2020.
> Dans le Slide 17 - On voit que la Chine a déjà lancé 17 satellites du système Beidou dont 4 du système Beidou-1 expérimental et 13 du système Beidou-2. Parmi ces 13 satellites officiels, MEO-1 est de nature expérimental et GEO-2 est non opérationnel (Son remplaçant, G2R, sera lancé en 2012).
> Dans le Slide 20 - La précision actuelle du système Beidou-2 est de 25m horizontal et 30m en altitude, la précision de vitesse est de 0,4m/s et la précision temporaire 50ns. Le système couvre une zone allant de 84° à 160°E et 55°N à 55°S.
> Dans le Slide 40 - La Chine lancera 2 satellites MEO en Août 2012 et 1 GEO en Octobre pour compléter sa constellation régionale, dès lors la précision de localisation sera < 10m, vélocité < 0,2m/s et temporaire < 50ns
- Le 8 Juin, Le Bureau du système de navigation par satellite chinois offre une maquette d'un satellite MEO du système Beidou-2 à UNOOSA (United Nations Office for Outer Space Affairs). L'information est diffusée sur le site internet gouvernemental du Bureau (Lien) -
:study:
Un article apparu aujourd'hui dans le quotidien "China Space News", journal officiel du secteur aérospatial chinois, dit que la production en série des satellites de Beidou-2 a commencé. Je pense qu'il s'agit des satellites MEO du système de positionnement et de navigation chinois.
http://210.82.31.84:9000/rp/fs/cp/98/36/20120803/1/content_1.htm
:study:
http://210.82.31.84:9000/rp/fs/cp/98/36/20120803/1/content_1.htm
:study:
Elixir a écrit:
[*]Le 21 Mai, on apprend dans un article de presse chinoise que les bateaux de pêche et les 29 équipages capturés par la Corée du Nord ont été localisé grâce au Beidou-2. L'un des propriétaires de bateaux de pêche a montré aux journalistes son récepteur Beidou-2 qui permet de localiser ses bateaux à une précision de moins de 2 m et d'envoyer des SMS à ces bateaux. Les diplomates chinois sont en train d'utiliser les informations renvoyées par le système Beidou-2 pour comprendre l'origine de cet incident.
Info étonnante, limite propagande, car le système Beidou est donné pour une précision de 10m.
Mustard a écrit:Elixir a écrit:
[*]Le 21 Mai, on apprend dans un article de presse chinoise que les bateaux de pêche et les 29 équipages capturés par la Corée du Nord ont été localisé grâce au Beidou-2. L'un des propriétaires de bateaux de pêche a montré aux journalistes son récepteur Beidou-2 qui permet de localiser ses bateaux à une précision de moins de 2 m et d'envoyer des SMS à ces bateaux. Les diplomates chinois sont en train d'utiliser les informations renvoyées par le système Beidou-2 pour comprendre l'origine de cet incident.
Info étonnante, limite propagande, car le système Beidou est donné pour une précision de 10m.
Actuellement Beidou-2 est renforcé par un système terrestre.
La précision actuelle avec les satellites GEO/IGSO/MEO existants est de l'ordre de 25m, elle sera de 10m avant la fin d'année avec le lancement de G2R (GEO-2 remplaçant) et de M2/M5 (MEO-2 et MEO-5).
Le site Inside GNSS vient de publier un article qui revoit en détail le fiasco du partenariat sino-européen sur le programme Galiléo. Comment les Chinois ont investi 200M€ dans le programme européen en 2003 puis se sont sentis humiliés en 2007 quand UE a décidé d'exclure la Chine du noyau décisionnel, le conflit des fréquences, le développement des programmes Galiléo et Beidou-2 (Compass-2), l'impact de l'ITAR et la relation entre l'Europe et la Chine...etc. Un dossier assez complet.
L'interview des différents intervenants d'Eutralex, de l'armée de l'air américaine, d'ESA et bien d'autres est assez intéressant, la réaction du représentant de CAST à l'Europe lors de la dernière table-ronde à Bruxelles me fait également réfléchir.
http://www.insidegnss.com/node/3145
L'interview des différents intervenants d'Eutralex, de l'armée de l'air américaine, d'ESA et bien d'autres est assez intéressant, la réaction du représentant de CAST à l'Europe lors de la dernière table-ronde à Bruxelles me fait également réfléchir.
http://www.insidegnss.com/node/3145
Brussels View: Remembrance of Things Past
Can China and Europe Get Over a Failed GNSS Partnership?
In 2003, China committed to investing €200 million (US$270 million) for the privilege of participating in the development of Europe’s Galileo program. But by 2007 it had been forced out of major decision-making because of security concerns and the collapse of the original financing plan for the program, which was to include public and private money.
At the time, bringing China into Galileo was seen by some as simply an anti-American gesture on the part of the Europeans, while others have argued that they truly thought China’s membership in Galileo would help European companies to gain a strengthened commercial position in the Asian nation’s huge and growing market.
In any case, China’s contribution to the program ultimately turned out not to include a policymaking role, and who could then blame officials there for feeling badly used — perhaps even humiliated — after having paid for the privilege of joining the Galileo consortium as a partner only to see themselves shut out of its governing bodies?
Seeking a New Path
This problematical history seemed ripe for review at a recent European Institute for Asian Studies roundtable event in Brussels that brought together representatives of the European Commission (EC), the European Space Agency (ESA), and the Chinese Aerospace Science and Technology Corporation (CAST) to discuss EU-China relations in space. (CAST is a state-owned company that serves as the main contractor for China’s space program.)
But satellite navigation received only a grudging and oblique treatment at the event.
The “EU-China Galileo fiasco,” as some have gone so far as to refer to it, turned out to be the elephant in the room that no one wanted to see or touch, at least none of the panelists. This despite the fact that the title of the conference itself —“The Ups and Downs of Euro-China Space Cooperation” — might have led some of the attendees to expect a few words on the subject.
However, Hartwig Bischoff, Space Unit policy officer at the EC’s Directorate-General for Enterprise and Industry, started the ball rolling in a very different direction. Emphasizing that he was there to discuss EU-China co-operation in research, Bischoff laid out the Commission’s plans to launch a new “space dialog” with China, listing a number of wide ranging potential topics for discussion, including remote sensing, climate change, exploration of the solar system, space weather, space and life sciences, space debris, et cetera, et cetera.
Satellite navigation, however, was not on Bischoff’s list. Later in his presentation he showed another list, this time representing ‘opportunities’ for EU-China cooperation. Once again, GNSS-related matters were notable by their absence.
When asked later about these omissions, Bischoff replied that satellite navigation was not on his lists because he was there to talk about cooperation in research, and Galileo is an operational system, not a research project.
Oka-a-y. Awkward pause and perplexed looks passing among the panelists.
A growing suspicion arose that perhaps no one was at the roundtable to talk about the “downs” mentioned in the conference title. No one, that is, except for the man who got the party together in the first place: David Fouquet, a senior associate at the European Institute for Asian Studies who conceived the event and acted as a sort of moderator. Fouquet said point blank that he wanted to hear more about the lingering effects of the EU-China falling out over Galileo.
After this direct prodding, Gongling Sun, chief representative of CAST’s European office, made an attempt to address the subject. He was brief and, by his comments and “body language,” seemed to want to minimize any sense of hard feelings, or indeed any feelings at all.
“As for our participation in the Galileo project,” he said, shrugging his shoulders, “we were invited, and then we were uninvited. And that’s the way it is. We just keep our heads down, we stay quiet, and we keep on going.”
And keep going they have. By 2009, while Galileo was falling behind schedule, the Chinese had moved forward and were making rapid progress in the development of their own Compass (BeiDou-2) system. What’s more, China had announced its plans to transmit signals on the wavelength that the Europe wants to use for Galileo’s Public Regulated Service (PRS), an encrypted frequency for governmental, immigration, public safety, and potentially military use.
“It’s incredible,” said Jean-Michel Fobe, anticipating the direction of the conversation before the presentations had even started. Fobe is President of Belgium’s Eutralex Aerospace and a man with some experience working with Chinese collaborators.
“The Chinese government sets its priorities and makes the decisions, and that’s all there is to it,” Fobe added. “There is no argument, no negotiation. It’s not like here in Europe where 27 different opinions have to be brought together before we can do anything.”
The price of pan-European democracy? China pays no such price. Today BeiDou, not Galileo, could well become the third fully operational global satellite navigation system, after GPS and GLONASS. Despite years of effort, negotiations to resolve the signal overlap question have made little progress. As recently as last year, EC officials said that the issue represented “a major problem for the security of the EU.”
Invited speaker Brian Weeden, who spent nine years as an officer in the U.S. Air Force and worked at the U.S. Strategic Command’s Joint Space Operations Center, chimed in on the subject.
“China does not recover easily from slights, often reacting in a calculating manner,” he said bluntly, suggesting that the BeiDou/Galileo PRS frequency overlay issue was just another example of China’s grudge-holding, a well thought out and pointed reaction to not getting the value they expected out of the aborted Galileo deal.
ESA’s Not So Eloquent Silence
For his part, ESA representative Karl Bergquist had little to say about the EU-China and Galileo story. Asked what he understood to be the current state of affairs regarding China’s planned overlay on PRS, Bergquist pled ignorance.
“I don’t really know,” he said. “I don’t know what happened with that story. We were all sort of following it a few years ago, but now, no one talks about it any more.”
Perhaps it’s a question better posed to the technicians, he suggested, whom he could not name and of whom he is not one.
Bergquist has worked as an administrator in ESA’s International Relations Department since 1993. He holds a degree in Chinese from the Language Institute of Beijing and is currently in charge of ESA’s relations with China, Russia, and Israel.
All of which makes it a bit surprising that, sent by ESA to address the ups and downs of EU-China cooperation in space, he would have had so little to say — nothing at all, actually —about EU-China cooperation on GNSS.
Perhaps what this really tells us is something about the determination with which ESA would like to leave behind — and get everyone else to leave behind — the entire story of Galileo’s China venture. After all, what is the point of rehashing that old sordid affair? This kind of conference should be about the future, right?
Wider Consequences
In the wake of this less-than-successful GNSS cooperation, when China picked up its stuff and went home, it didn’t just take away the Galileo stuff. The EC’s Bischoff acknowledged that the unfortunate turn of events had resulted in a slump in the EU-China’s relationship across all fronts.
Still, he insisted, the tide has now turned. “There was an effect,” he said, referring to decreased Chinese participation in EU research across the board, “but we feel that we are now coming back and that things are on the up.”
Weeden was frank in his assessment of the European and American positions.
“The Europeans are still trying to figure out who they want to be in space,” he said. “Does Europe want to be a junior partner, contributing what it can and benefiting from its relationships with the big players? Does it want to be a global player in its own right, standing on an equal footing with the US, Russia, and China? Or is it aiming to be a facilitator, bringing parties together who would not otherwise meet?”
Bischoff pointed out that the EU, through its Research Framework Program, does represent a kind of workaround for third parties, already playing the facilitating role described by Weeden.
“We have EU-funded projects with third-country partners,” Bischoff explained, “with the U.S. for example, with Russia and with China. According to their own rules and regulations, our U.S. partners are often not supposed to work with Chinese organizations. And the Chinese may not be allowed to work with the Americans, but they can both work with us.”
And this means, de facto, they are in some cases working together within an EU-based framework. Could this be a way to bring the competing GNSS systems together, on neutral EU soil?
Again Weeden: “Everyone agrees that international cooperation is needed, but the opportunities for the EU are made greater by the fact that the U.S. withholds its own co-operation.”
Does China Really Care?
The rules and regulations to which Bischoff was referring include the International Traffic in Arms Regulations (ITAR), a set of U.S. government regulations that control the export and import of defense-related articles and services. ITAR essentially locks China out of any exchange of sensitive U.S. information, equipment, and systems, including most anything related to GNSS.
Always controversial, ITAR continues to stimulate heated debate in U.S. halls of power. As reported in last month’s edition of Inside GNSS, a U.S. Satellite Export Policy Report, submitted to Congress last April by the Department of Defense and the Department of State, recommended that restrictions on the export of communications and remote sensing satellites be eased, to improve the competitiveness of U.S. companies. However, the report recommended retaining controls on spacecraft technologies used for positioning, navigation, and timing, including GPS.
Weeden pressed his case against what he considers the failed policies of his own country. “With respect to U.S.-China relations, ITAR is a failure,” he said. “It did not help US industry; it has hurt US industry. The withholding of information and cooperation has not brought China to its knees.”
Sun appeared to agree.
“Look,” he said, “let’s take the airline industry — in China we have no major manufacturer of airplanes. So, we have a choice to make: we can buy Boeing airplanes or we can buy Airbus airplanes. If Boeing doesn’t want to sell us their airplanes, then we have to buy Airbus airplanes. It doesn’t make much difference to us. They both make very good airplanes.”
The simple message and the simple truth: China doesn’t need the United States when it has Europe as a trading partner. Does that make Europe a saboteur of U.S. policy?
Sun didn’t put it in those terms; he didn’t even appear to want to suggest it, but the result is the same. U.S. policy that closes its doors to Chinese trade in strategic industries only serves to open doors for other global players like Europe. It certainly does not hurt China. And if China can’t buy what it needs — not from Europe, not from the United States, not from anyone — it simply develops what it needs from scratch.
And, if we are to credit that Department of Defense/Department of State report, China is also not above using “any means necessary,” including its intelligence services and “other illicit approaches,” to get around those pesky U.S. rules and regulations.
In the roundtable, Weeden extended his critique of ITAR, applying it to GNSS matters and beyond. “First, as I said, it has hurt U.S. industry; second, it didn’t stop China from moving straight ahead and putting an operational satellite navigation system into orbit; and third, it has had no effect on China’s behavior with respect to human rights.”
Sun appeared to grimace and shifted in his seat. Perhaps he was thinking to himself something like, “Here we go again,” but that’s just a supposition — he said nothing.
Outlook or Look Out?
The bottom line is that while Europe may have thought it was keeping a strategic edge when it decided to leave China out of Galileo’s inner circle, just as the United States believes ITAR enables it to maintain its own strategic edge, neither has succeeded. China has simply gone on doing what it seems to do best — powering past all obstacles with a steadfast determination and clearly perceived goals, no matter what anyone else says or thinks.
Offline conversations suggest that talks about their respective GNSS programs are still going on between the European Commission and Chinese authorities, possibly involving the EC’s Head of Space Activities Paul Weissenberg at DG Enterprise and Industry, with perhaps two or three meetings a year. But what exactly they are saying to one another is a closely held matter. In all likelihood China is now feeling the strength of its upper hand and enjoying Europe’s weakened arguments about partnership and mutual interest.
What can we actually say about the future of European and Chinese GNSS? Both BeiDou and Galileo will be fully operational satellite navigation systems. Nothing can stop either of them now. They will coexist, along with GPS and GLONASS.
Ultimately, they will have to live together. After all, the EU and China sit together on the Providers Forum of the International Committee on GNSS and the ICG’s working group on compatibility and interoperability.
Judging from the buzz among conference participants over a sumptuous buffet lunch, many people are still waiting for concrete answers to the question of just what that coexistence will ultimately look like. Until then, the uncomfortable questions, awkward pauses, and perplexed looks are likely to continue.
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En espace de 10 ans, les systèmes de navigation, GPS et Beidou, ont beaucoup changé la vie des simples citoyens chinois.
CCTV-13 vient de diffuser un mini-reportage sur quelques applications concrètes apportées par Beidou-2 - Un système d'alerte associé au téléphone mobile qui permet aux personnes âgées d'alerter le centre en cas de problème de santé et qui permet à ce dernier de suivre leur mouvements, les quelques 6000 bateaux de pêche de l'île de Hainan qui utilisent le communicateur de Beidou-2 pour envoyer des SMS à leur proche et surtout permettre aux autorités de connaître leur position en temps réel, les propriétaires de véhicule qui sont capables désormais de tracer la position de leur véhicules volés depuis leur mobile ou tablette et de couper l'électricité et le carburant des véhicules volés en attendant l'intervention de la police...etc.
:study:
CCTV-13 vient de diffuser un mini-reportage sur quelques applications concrètes apportées par Beidou-2 - Un système d'alerte associé au téléphone mobile qui permet aux personnes âgées d'alerter le centre en cas de problème de santé et qui permet à ce dernier de suivre leur mouvements, les quelques 6000 bateaux de pêche de l'île de Hainan qui utilisent le communicateur de Beidou-2 pour envoyer des SMS à leur proche et surtout permettre aux autorités de connaître leur position en temps réel, les propriétaires de véhicule qui sont capables désormais de tracer la position de leur véhicules volés depuis leur mobile ou tablette et de couper l'électricité et le carburant des véhicules volés en attendant l'intervention de la police...etc.
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Les récentes évaluations indiquent que la précision du système de positionnement Beidou-2, en code civil et avec une dizaine de satellites opérationnels (Sans compter les M5 et M6 mis en orbite le 18 Septembre), est de 10m à l'horizon, 15m en altitude, précision de vitesse 0,2m/s et précision de synchronisation à 50ns.
Ces précisions devraient s'améliorer encore au fur et à mesure que les nouveaux satellites mis en réseau. D'ici 2020, le réseau mondiale de Beidou-2 sera en place avec 5 satellites GEO, 5 satellites IGSO et 30 satellites MEO.
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Ces précisions devraient s'améliorer encore au fur et à mesure que les nouveaux satellites mis en réseau. D'ici 2020, le réseau mondiale de Beidou-2 sera en place avec 5 satellites GEO, 5 satellites IGSO et 30 satellites MEO.
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Un résumé sur les lancements de Beidou-2 jusqu'à présent. Un total de 16 satellites, dont 6 en GEO, 5 en IGSO et 5 en MEO, ont été lancés.
Mais M1 (MEO-1) n'est pas opérationnel car expérimental, et G2 (GEO-2) est hors-service et sera remplacé par G6 (GEO-6)...
Désolé j'ai fait mon tableau en chinois, manière d'entretenir mon niveau dans cette langue que je n'utilise malheureusement plus...
La 1ère colonne c'est la date du lancement (en date locale et non GMT...),
la 2ème l'heure précise du lancement,
la 3ème l'état du vol (Pour le moment tous ont réussi),
la 4ème indique la famille de satellite, ici Beidou-2 (mon fichier n'est pas uniquement pour les lancements de Beidou-2 alors...)
la 5ème c'est la charge utile
la 6ème c'est la masse des charges utiles en kg
la 7ème le centre de lancement, tous à XSLC
la 8ème le numéro de pas de tir (Si c'est CZ-3A c'est le pas numéro 3, si c'est CZ-3B et CZ-3C c'est le pas numéro 2)
et enfin, la 9ème colonne la fusée utilisée
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Mais M1 (MEO-1) n'est pas opérationnel car expérimental, et G2 (GEO-2) est hors-service et sera remplacé par G6 (GEO-6)...
Désolé j'ai fait mon tableau en chinois, manière d'entretenir mon niveau dans cette langue que je n'utilise malheureusement plus...
La 1ère colonne c'est la date du lancement (en date locale et non GMT...),
la 2ème l'heure précise du lancement,
la 3ème l'état du vol (Pour le moment tous ont réussi),
la 4ème indique la famille de satellite, ici Beidou-2 (mon fichier n'est pas uniquement pour les lancements de Beidou-2 alors...)
la 5ème c'est la charge utile
la 6ème c'est la masse des charges utiles en kg
la 7ème le centre de lancement, tous à XSLC
la 8ème le numéro de pas de tir (Si c'est CZ-3A c'est le pas numéro 3, si c'est CZ-3B et CZ-3C c'est le pas numéro 2)
et enfin, la 9ème colonne la fusée utilisée
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Une petite vidéo de CCTV, j'ignore ce que c'est le satellite qu'on voit dedans ni de quoi il s'agit la petite constellation qu'on peut voir... :?:
L'ingénieur en chef du programme Beidou-2 dit que, pour gagner la confiance des futurs clients de Beidou-2, non seulement il faut investir massivement dans l'infrastructure, dans des politiques favorables et dans le développement de l'application, il faut surtout faire en sort que la qualité des services proposée soit la meilleure (par rapport aux autres systèmes)...
:study:
L'ingénieur en chef du programme Beidou-2 dit que, pour gagner la confiance des futurs clients de Beidou-2, non seulement il faut investir massivement dans l'infrastructure, dans des politiques favorables et dans le développement de l'application, il faut surtout faire en sort que la qualité des services proposée soit la meilleure (par rapport aux autres systèmes)...
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