Rokot (SWARM) - 22.11.2013

wakka a écrit:Live du lancement vendredi 22 de 11:45 à14:50 heure Paris à cette adresse:

http://spaceinvideos.esa.int/esalive

grysor a écrit:ça n'arrête pas de couper chez moi et chez vous ? je suis obligé de faire du F5 tous les 10 mins a peut prêt ou redémarrer le site

grysor a écrit:ça n'arrête pas de couper chez moi et chez vous ? je suis obligé de faire du F5 tous les 10 mins a peut prêt ou redémarrer le site

Mustard a écrit:

grysor a écrit:ça n'arrête pas de couper chez moi et chez vous ? je suis obligé de faire du F5 tous les 10 mins a peut prêt ou redémarrer le site

pareil, débit très saccadé. On sent que les serveurs ne sont pas adaptés. qu'st ce que ce sera pour une mission très attendue

c'est ce que l'on peut appeler un express vidéo :D 

Mustard a écrit:Bon le vol semble être une réussite :cheers:

Telemetry sent by the Upper Stage, however, indicated that the two burns were not performed as planned. Instead, Briz-KM telemetry indicated  the end of its mission at T+1 hour 37 minutes and 30 seconds - just 5 minutes and 58 seconds after spacecraft separation. At that point, the vehicle had not even started the re-orientation for the next burn.

wakka a écrit:
Si nikolai39 pouvait nous traduire le tableau...

www.cnes.fr a écrit:
Depuis novembre 2014 le satellite Swarm-C ne possède plus d'instrument ASM et ne peut plus fournir de mesure scalaire. Néanmoins les impacts sur la mission sont minimisés du fait que Swarm-C a été positionné en tandem avec Swarm A, en orbite basse (1,4° d'écart en longitude à l'équateur). Les premiers modèles de champ magnétique établis à partir des données de la mission ont permis de montrer que le biais systématique entre les instruments ASM sur Swarm A et Swarm C était de l'ordre de 0.12 nT (Olsen et al., 2015), très inférieur à la spécification de précision absolue de 0.3 nT à 2. Ainsi, moyennant une adaptation des méthodes de modélisation et de calibration, l'instrument VFM sur Swarm C peut être calibré grâce à l'ASM présent sur Swarm A avec des performances mission acceptables.

www.cnes.fr a écrit:Une anomalie majeure a été rencontrée sur l'ASM de Swarm C, qui ne délivre plus de télémesure depuis le 05/11/14 à 19:37:27 UTC. Cette absence de télémesure s'est accompagnée d'une baisse du courant consommé par l'instrument qui a conduit à la mise hors tension de l'instrument par la plate-forme. Plusieurs tentatives de redémarrage ont été effectuées depuis sans succès. La cause de l'anomalie est en cours d'investigation.
Sur ce satellite, le modèle redondant de l'ASM avait déjà été perdu au lancement. Aucune mesure scalaire absolue n'est donc disponible sur Swarm C depuis cet incident. Le rôle principal de l'ASM sur chacun des satellites étant de permettre la calibration régulière des données des magnétomètres VFM, cette perte est un incident sérieux. La possibilité d'un tel incident avait néanmoins été envisagée, et c'est ce qui avait conduit à choisir Swarm C pour être positionné en tandem avec Swarm A, en orbite basse (1,4° d'écart en longitude à l'équateur). Ce choix semble avoir été de bonne stratégie.
En effet, les ASM sur Swarm A et B restent, quant à eux, pleinement opérationnels. Par ailleurs, les premiers modèles de champ magnétique établis à partir des données de la mission montrent déjà, après seulement un an en orbite, des performances comparables aux modèles produits après plusieurs années à partir des données de la précédente mission CHAMP. Enfin, et surtout, ces modèles ont également permis de montrer que durant la première année de mission où l'ASM de Swarm C a pu fournir des données, le biais systématique, constaté après modélisation, entre cet instrument et l'instrument ASM sur Swarm A n'était que de l'ordre de 0.12 nT. Cet excellent accord montre que, moyennant une adaptation des méthodes de modélisation et de calibration, la possibilité de calibrer l'instrument VFM sur Swarm C dans le futur grâce à l'ASM présent sur Swarm A est réelle, sans trop de dommage sur les performances de la mission.
Il importe, enfin, de rappeler que l'ASM a été opéré depuis le lancement en mode vectoriel sur les 3 satellites, permettant ainsi de délivrer simultanément des données scalaires et vectorielles. Cette capacité a pu être utilisée par l'IPGP pour bâtir un modèle de champ magnétique complètement indépendant des données VFM, de très bonne qualité, comparée à celle, des modèles établis à partir des données VFM. La validité scientifique des données ASM vectorielles expérimentales a donc été reconnue par la communauté scientifique, qui a exprimé le souhait d'être associée à l'exploitation de ces données expérimentales. Les modalités de telles collaborations sont en cours de discussion. Cette expérimentation vectorielle est donc un réel succès.