La place des femmes dans l'astronautique

J'ouvre ce nouveau sujet pour que vous vous exprimiez ( ou postiez des articles ) sur la place occupée par les femmes dans l'astronautique en général ( il ne s'agit pas du grade :) ).

Un article paru sur Yahoo.fr en 2005 avant le vol STS 114 commandé par Eilleen Collins:

"vendredi 6 mai 2005, 10h42
La Nasa et l'exploration spatiale restent largement un bastion masculin


CAP CANAVERAL (AFP) - L'exemple d'Eileen Collins, première femme à commander une navette spatiale en 1999 et qui sera la commandante de Discovery pour la reprise cruciale des vols en juillet depuis l'accident de Columbia, reste une exception à la Nasa, l'agence spatiale américaine encore dominée par une culture masculine.
Créée en 1958, la Nasa n'a pas envoyé de femmes dans l'Espace avant juin 1983, quand l'astronaute Sally Ride a volé dans Challenger.

Eileen Collins, première femme pilote de la navette, a dû attendre 1995 pour avoir cet honneur.

En mars 1996, l'Américaine Shannon Lucid, est devenue la première astronaute à séjourner dans une station spatiale. Il s'agissait de MIR. Elle reste également la seule femme à s'être vu décerner la médaille d'honneur nationale de l'Espace par le président des Etats-Unis.

Mais ces progrès n'ont pas vraiment entamé la grande disparité entre les sexes dans les programmes spatiaux aux Etats-Unis comme dans le reste du monde.

Aujourd'hui, le corps des 94 astronautes actifs de l'agence spatiale américaine ne compte que 20 femmes dont deux aspirantes, soit un peu plus de 20%. Depuis la création de la Nasa, le nombre total d'astronautes de sexe féminin est de 43 contre plus de 400 pour les hommes.

En outre, sur les 22 postes de direction-clés, seuls six sont occupés par des femmes qui d'ailleurs n'en comptent aucun dans la branche aéronautique de la Nasa.

Mais les choses devraient changer.

"Je pense que vous verrez au cours des prochains mois un accroissement du nombre de femmes dans les postes de direction de l'agence (...) alors que je commence à former l'équipe avec laquelle je travaillerai les quatre prochaines années", a promis le nouveau patron de l'agence, Michael Griffin, cette semaine, lors d'une rencontre à Washington avec une association de femmes.

La sous-représentation féminine dans les activités spatiales et aéronautiques est le reflet de la faiblesse persistante du nombre de femmes faisant des études avancées d'ingénieur et dans les sciences en général.

Selon une étude de la Fondation nationale américaine des Sciences, 83% des 5.265 doctorats en ingénierie décernés par les universités aux Etats-Unis en 2003 sont allés à des hommes.

Cette disparité est moins criante dans les sciences où les hommes n'ont été que 57% à obtenir un doctorat durant cette même année. Toutefois, le sexe masculin continue à largement dominer dans certaines matières comme la physique dans une proportion de deux contre un, selon l'étude.

Cette question avait fait l'objet d'un débat national après les propos très controversés du président de l'université de Harvard (Massachusetts, nord-est), Lawrence Summers.

Il avait laissé entendre en janvier que les femmes avaient peut-être moins d'aptitude naturelle pour les mathématiques et la science que les hommes.

Sally Ride, première Américaine dans l'Espace, qui a obtenu un doctorat de physique en 1976 et enseigne aujourd'hui cette matière à l'université de Californie (ouest), conteste vigoureusement cette assertion.

"Ce n'est pas une question d'aptitude mais seulement de fournir les encouragements adéquats aux étudiantes des écoles secondaires montrant un intérêt dans les sciences, les mathématiques et la technologie", a-t-elle expliqué début mai dans une interview au Post-Gazette de Pittsburgh (Pennsylvanie, nord-est) où elle organise ce week-end un salon visant à encourager les filles à étudier les sciences.

"Il est très important pour les jeunes filles d'avoir un modèle à admirer, un exemple à suivre, de pouvoir mettre un visage féminin sur ce qu'elles veulent devenir dans la vie", a expliqué Mme Ride."

Voilà qui serait passionnant pour un article dans le Mag : "Les femmes astronautes (de toutes nations)". Il y a plein d'idées pour notre Mag, tu viens d'en donner une cher Fan de Ducrocq ;)

LM-5 a écrit:Voilà qui serait passionnant pour un article dans le Mag : "Les femmes astronautes (de toutes nations)". Il y a plein d'idées pour notre Mag, tu viens d'en donner une cher Fan de Ducrocq ;)

Tu n'as pas assez de boulot comme ça, avec cette idée en plus??? :blbl: :blbl:

Apolloman a écrit:

LM-5 a écrit:Voilà qui serait passionnant pour un article dans le Mag : "Les femmes astronautes (de toutes nations)". Il y a plein d'idées pour notre Mag, tu viens d'en donner une cher Fan de Ducrocq ;)

Tu n'as pas assez de boulot comme ça, avec cette idée en plus??? :blbl: :blbl:

:megalol:
Rassure-toi Paul, ce n'est pas moi qui le fera ! Je signale juste que c'est une bonne idée d'article, puisque nos amis sont parfois en panne de sujets à développer ! :D

LM-5 a écrit:

Apolloman a écrit:

LM-5 a écrit:Voilà qui serait passionnant pour un article dans le Mag : "Les femmes astronautes (de toutes nations)". Il y a plein d'idées pour notre Mag, tu viens d'en donner une cher Fan de Ducrocq ;)

Tu n'as pas assez de boulot comme ça, avec cette idée en plus??? :blbl: :blbl:

:megalol:
Rassure-toi Paul, ce n'est pas moi qui le fera ! Je signale juste que c'est une bonne idée d'article, puisque nos amis sont parfois en panne de sujets à développer ! :D

Ouf... skype 2s

pour ce sujet, come toujours,

un grand rôle :blbl:

Un article paru sur Yahoo.fr en juin 2003.

"lundi 16 juin 2003, 16h06
Quarante ans après Terechkova, les femmes russes ne vont plus dans l'espace

MOSCOU (AFP) - Quarante ans après le vol historique de la Russe Valentina Terechkova, première femme dans l'espace le 16 juin 1963, l'équipe des cosmonautes russes ne compte qu'une seule femme, qui n'a jamais volé et risque de ne jamais réaliser le rêve de sa vie.
Nadejda Koujelnaïa, 40 ans, s'entraîne depuis 1994 à la Cité des Etoiles, près de Moscou, en attendant un vol hypothétique.

Elle se préparait à partir vers la station orbitale russe Mir, mais celle-ci a achevé son parcours en mars 2001. Elle fut ensuite candidate à un vol sur la Station spatiale internationale (ISS) en avril 2001, mais c'est le millionnaire américain Dennis Tito qui prit sa place en payant 20 millions de dollars.

Elle se plaint depuis d'être confrontée au chauvinisme masculin.

"Je ne veux pas dire que les femmes cosmonautes ne sont pas les bienvenues dans le programme spatial russe. Je dois pourtant dire que tout l'équipement spatial, y compris scaphandres et installations à bord des vaisseaux, est construit par les hommes et pour les hommes", soulignait-elle dans une interview sur le site space.com il y a deux ans.

Mme Koujelnaïa a toutes les raisons de désespérer. Après la catastrophe de la navette américaine Columbia en février qui a emporté les vies de 7 astronautes, dont deux femmes, le directeur de l'Agence aérospatiale russe Iouri Koptev a annoncé la décision de ne plus envoyer de femmes russes dans l'espace.

"Si nous décidons d'envoyer des femmes cosmonautes sur l'ISS, ce ne sera pas pour bientôt", assurait M. Koptev, ajoutant qu'"il n'y aurait de place pour les femmes à bord de la station que lorsque les équipages seraient composés de six ou sept personnes".

"Nous sommes prêts à examiner des candidatures de femmes au prochain recrutement", assure pourtant un responsable de la société de construction spatiale RKK Energuia, Alexandre Alexandrov, qui gère la formation des cosmonautes.

Mais les neuf nouveaux membres admis en mai dernier dans le détachement des cosmonautes russes, qui compte aujourd'hui une quarantaine de personnes, sont tous des hommes. Le recrutement précédent avait eu lieu il y a cinq ans.

La mission de Valentina Terechkova, un vol de 70 heures et 41 minutes autour de la Terre, était pourtant une occasion pour les Soviétiques de prouver que le principe de l'égalité des sexes, proclamé en URSS, était réel et valable loin de la Terre.

Quarante ans après, la première femme cosmonaute avoue que les responsables du secteur spatial lui avaient "interdit" de retourner en orbite.

"On m'a interdit de voler, malgré toutes mes protestations", raconte Mme Terechkova, aujourd'hui âgée de 66 ans, à l'hebdomadaire russe Ogoniok, dans une interview publiée lundi.

"Après avoir voyagé une fois dans l'espace, j'avais une énorme envie d'y retourner", ajoute-t-elle.

Un second vol spatial féminin était initialement prévu, mais il a été d'abord reporté après la mort en 1966 de Sergueï Koroliov, constructeur des premiers vaisseaux spatiaux soviétiques.

Puis une succession de coïncidences tragiques ont entraîné son annulation: en 1967, le cosmonaute Vladimir Komarov mourait lors des tests d'un nouveau vaisseau Soyouz. Et en 1968, Iouri Gagarine, premier homme dans l'espace, décédait dans un accident d'avion.

Il a fallu attendre 1982 avant qu'une autre Soviétique, Svetlana Savitskaïa, effectue un voyage dans l'espace. La troisième et dernière cosmonaute russe a été Elena Kondakova qui en 1994-1995 a passé plusieurs mois à bord de la station Mir et en 1997 à bord d'une navette américaine.

La première Américaine dans l'espace, Sally Ride, est partie sur orbite en juin 1983. "

Mme Koujelnaïa

et pour ceux qui souhaiteraient en savoir plus sur la "trempe" de ces sexes dit faibles, rendez-vous le 6, 7 et 08 mars 2010 au MAE du Bourget

http://www.mae.org/femmes-de-lair/5e-edition-2010.html

tatiana13 a écrit:et pour ceux qui souhaiteraient en savoir plus sur la "trempe" de ces sexes dit faibles, rendez-vous le 6, 7 et 08 mars 2010 au MAE du Bourget

http://www.mae.org/femmes-de-lair/5e-edition-2010.html

A la Maison des Articles Electro-ménagers ? :megalol:

:megalol:

Et ça mérite trois canapés bleus Monsieur LM-5 :megalol:

Lune a écrit:Et ça mérite trois canapés bleus Monsieur LM-5 :megalol:

5 même... :oops: :oops: :oops:


Mais ce n'était pas méchant, puisque je suis gentil :oops: :oops: :oops: :oops: :oops:
:megalol:

:affraid: :affraid: :affraid: :megalol: Géant ! c'est le cas de le dire !

la grand histoire de l'humanité ne se construit parce que homme et femme sont les deux moitiés de l'"orange".

Aussi certaines femmes dans l'aventure spatiale yont laissé lavie, d'autres ont volé alors qu'elles étaient mères de trés jeunes enfants, d'autres tout près de l'envol ont du renoncer mais toutes ont fait preuve d'un courage et d'un sens du sacrifice hors du commun; pourtant elles sont à ce jour moins de 10% des sujets ayant accéder à l'espace.

http://www.nasa.gov/multimedia/imagegallery/image_feature_1624.html

De gauche à droite Shannon W. Lucide, Margaret Rhea Seddon, Kathryn D. Sullivan, Judith A. Resnik, Anna L. Pêcheur et Sally K. Tour. La NASA a choisi a les six femmes comme leurs premières candidates d'astronautes féminins en janvier 1978, leur permettant de s'inscrire dans un programme de formation qu'elles ont achevées en août 1979.

Doc a écrit:De gauche à droite Shannon W. Lucide, Margaret Rhea Seddon, Kathryn D. Sullivan, Judith A. Resnik, Anna L. Pêcheur et Sally K. Tour. La NASA a choisi a les six femmes comme leurs premières candidates d'astronautes féminins en janvier 1978, leur permettant de s'inscrire dans un programme de formation qu'elles ont achevées en août 1979.

Shannon Lucide ? Anna Pêcheur ? Sally Tour ?
Tu veux dire Shannon Lucid, Anna Fisher et Sally Ride ?
Ah, les traducteurs automatiques !
:megalol:

Pif a écrit:

Doc a écrit:De gauche à droite Shannon W. Lucide, Margaret Rhea Seddon, Kathryn D. Sullivan, Judith A. Resnik, Anna L. Pêcheur et Sally K. Tour. La NASA a choisi a les six femmes comme leurs premières candidates d'astronautes féminins en janvier 1978, leur permettant de s'inscrire dans un programme de formation qu'elles ont achevées en août 1979.

Shannon Lucide ? Anna Pêcheur ? Sally Tour ?
Tu veux dire Shannon Lucid, Anna Fisher et Sally Ride ?
Ah, les traducteurs automatiques !
:megalol:

^^ desoler

pour Sally Ride, voir les FIL idoine

http://www.forum-conquete-spatiale.fr/les-personnages-de-la-conquete-spatiale-f41/sally-ride-t10122.htm?highlight=sally+ride

http://www.forum-conquete-spatiale.fr/usa-f13/sally-ride-25-ans-deja-t6037.htm?highlight=sally+ride

A propos de Naoko Yamazaki
http://www.yomiuri.co.jp/dy/national/20100401TDY03T05.htm

extrait:
Traduction automatique
choix plus libre des produits cosmétiques
En plus de sa mission première, Yamazaki a autre chose à garder à l'esprit.
Comme les activités spatiales sont vues par tout le monde via l'Internet et autres médias, de nombreuses femmes astronautesmettent un point d'honneur encore à mettre le maquillage.
Elles sont autorisées à transporter à bord de la navette des cosmétiques tels que les fonds de teint, rouge à lèvres et ombres à paupières si leurs ingrédients sont jugés sûrs par la NASA , articles poudreux et des produits contenant un liquide inflammable ne peuvent être apportés sur la navette.
Quand un autre astronaute japonais de sexe féminin, Chiaki Mukai a fait des vols spatiaux en 1994 et 1998, elle a sélectionné les produits cosmétiques à partir d'une liste de la NASA à l'avance, après avoir examiné leur sécurité, selon la JAXA.
Actuellement, les femmes astronautes peuvent choisir leurs produits cosmétiques préférés avant la composition subit des examens de sécurité de la NASA, ce qui signifie le degré de liberté a été relativement améliorée, la JAXA a dit.
L'espace dans lequel les membres d'équipage peuvent se déplacer à l'intérieur de la navette est limitée à la plate-forme de contrôle et de l'espace de vie au-dessous.
Il n'y a pas de zones privées, sauf pour un décrochage toilettes.
Quand une femme astronaute change ses vêtements, ses collègues masculins " quittent tranquillement la zone" comme une question d'étiquette dans l'espace, a déclaré un fonctionnaire JAXA.

Et oui, c'est normal ! Les femmes astronautes restent des femmes, et ont heureusement tout à fait le droit à leur intimité et à leur coquetterie :amour:

extrait sur la vie de Valentina Terechkova

Les cosmonautes féminines accélèrent leur préparation et Valentina est choisie pour ce voyage exceptionnel.
Arrivée au cosmodrome de Baïkonour, elle se fiance avec son collègue Adrian Nikolaïev en lui promettant le mariage à son retour sur Terre. Au moment d’enfiler son scaphandre et afin de plaire aux étoiles, elle se met du rouge aux lèvres et de la poudre sur ses joues. Quatre minutes avant le lancement, son rythme cardiaque monte à 84 pulsations à la minute comparé à celui de Gagarine qui était de 110. Du 16 au 19 juin 1963, Valentina Terechkova accomplit son unique mission de 2 j 22 h 50 mn autour de la Terre à bord de Vostok 6 (4,71 tonnes/4,40 mètres). La première femme de l’Espace supporte beaucoup mieux les accélérations de la fusée Semiorka que Nikolaïev et Popovitch

mais certains ..... arborent aussi la couleur rouge pour séduire

tatiana13 a écrit:...mais certains ..... arborent aussi la couleur rouge pour séduire...

Comme celui-ci

Et ça marche ?

aujourd'hui, Enjoy space nous parle d'elles

Superwomen In Space


Dr Sullivan première astronaute a marcher dans l'espace

:eeks:

Women in Space cela se termine jusqu'à STS-131.