Statistiques annuelles spatiales
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:?:
Ne sachant où commencer ce fil, j'essaie ici, peut-être les Admins le déplaceront-ils si besoin est...
Voilà : je cherche des données statistiques spatiales toutes simples, que, jusqu'ici j'allais glaner, de façon "artisanale" dans la formidable Encyclopedia Astronautica de Mark Wade :
http://www.astronautix.com/
En fait, je cherche à mettre en évidence les grandes tendances des vols spatiaux depuis 1957, via le nombre de tirs réalisés par an. Or, à part les compter "à la main" bêtement, ce que je fais jusqu'ici, je ne sais pas si cette comptabilité est tenue quelque part...
Par exemple : nombre de tirs réalisés en 2009 : XXX dont X échecs.
Merci !
Serge
Ne sachant où commencer ce fil, j'essaie ici, peut-être les Admins le déplaceront-ils si besoin est...
Voilà : je cherche des données statistiques spatiales toutes simples, que, jusqu'ici j'allais glaner, de façon "artisanale" dans la formidable Encyclopedia Astronautica de Mark Wade :
http://www.astronautix.com/
En fait, je cherche à mettre en évidence les grandes tendances des vols spatiaux depuis 1957, via le nombre de tirs réalisés par an. Or, à part les compter "à la main" bêtement, ce que je fais jusqu'ici, je ne sais pas si cette comptabilité est tenue quelque part...
Par exemple : nombre de tirs réalisés en 2009 : XXX dont X échecs.
Merci !
Serge
SB- Messages : 417
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:D
Génial, j'espère que çà existe aussi au niveau mondial !
Merci !
S
SB- Messages : 417
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J'en connais au moins un : le "Space Launch Report" de Ed Kyle ---> http://www.spacelaunchreport.com/index.html
Et pour répondre à ta question, en 2009, selon le "2009 Launch Log" du même site, il y a eu :
- 78 tentatives de lancements orbitaux dont 5 échecs ... ( http://www.spacelaunchreport.com/log2009.html )
Plus plein d'autres stats par lanceur, par site de lancement, etc ...
Les principaux vols sub-orbitaux (comme Ares 1-X) ne sont pas oubliés.
Une mine d'infos à fouiner, ... mais en anglais, sorry !
...
Et pour répondre à ta question, en 2009, selon le "2009 Launch Log" du même site, il y a eu :
- 78 tentatives de lancements orbitaux dont 5 échecs ... ( http://www.spacelaunchreport.com/log2009.html )
Plus plein d'autres stats par lanceur, par site de lancement, etc ...
Les principaux vols sub-orbitaux (comme Ares 1-X) ne sont pas oubliés.
Une mine d'infos à fouiner, ... mais en anglais, sorry !
...
Dernière édition par Gasgano le Ven 17 Sep 2010 - 17:38, édité 1 fois
Gasgano- Messages : 2732
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Thank you Gascano !
S
SB- Messages : 417
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Tu peux toujours aller voir mon site, notamment la chronologie des vols spatiaux. Les lancements sont numérotés (succès / échecs)
http://www.destination-orbite.net/lanceurs/chronologie_spatiale.php
Depuis le début de l'ère spatiale, l'ONU tient un registre des mises sur orbite. Mais il en manque vraissemblablement (du moins des échecs). Mais leur classification est simple. C'est un code à 2 nombres:
Premier nombre = Année
Deuxième nombre = Ordre chronologique des lancements (échecs exclus) ou / Ordre chronologique des échecs. Le second est différencié par un F (Failure).
Le premier lancement 2010 était une fusée chinoise CZ-3C qui a réussi sa mise sur orbite. Il porte le 2010-001
Le 15/04/2010, l'Inde a raté le lancement de sa GSLV Mk-II. Il porte le 2010-F01.
Et ainsi de suite.
A noter que le second nombre n'était pas utilisé au début de l'ère spatiale. En effet, vu le nombre réduit de lancement, les mises sur orbite réussies étaient classifiée par l'année suivie de l'abréviation de l'alphabet grecque (toujours dans l'ordre chronologique). Par exemple, le lancement de Spoutnik 1 (1ère mise sur orbite réussie) pour la numérotation 1957-ALP (ALP qui est l'abbréviation de la lettre Alpha). Mais avec le nombre limité de lettres face au nombre de lancement, le lettrage a été remplacé par une numérotation chronologique.
http://www.destination-orbite.net/lanceurs/chronologie_spatiale.php
Depuis le début de l'ère spatiale, l'ONU tient un registre des mises sur orbite. Mais il en manque vraissemblablement (du moins des échecs). Mais leur classification est simple. C'est un code à 2 nombres:
Premier nombre = Année
Deuxième nombre = Ordre chronologique des lancements (échecs exclus) ou / Ordre chronologique des échecs. Le second est différencié par un F (Failure).
Le premier lancement 2010 était une fusée chinoise CZ-3C qui a réussi sa mise sur orbite. Il porte le 2010-001
Le 15/04/2010, l'Inde a raté le lancement de sa GSLV Mk-II. Il porte le 2010-F01.
Et ainsi de suite.
A noter que le second nombre n'était pas utilisé au début de l'ère spatiale. En effet, vu le nombre réduit de lancement, les mises sur orbite réussies étaient classifiée par l'année suivie de l'abréviation de l'alphabet grecque (toujours dans l'ordre chronologique). Par exemple, le lancement de Spoutnik 1 (1ère mise sur orbite réussie) pour la numérotation 1957-ALP (ALP qui est l'abbréviation de la lettre Alpha). Mais avec le nombre limité de lettres face au nombre de lancement, le lettrage a été remplacé par une numérotation chronologique.
Tout est là :
http://www.forum-conquete-spatiale.fr/autres-f16/statistiques-de-la-totalite-des-vols-orbitaux-de-1957-a-2005-t1062-15.htm#169143
ou en direct ici :
http://minilien.fr/a0lt8g
Fichier :
Stat. Acti. Spat. (État définitif fin 2009 avec nb charges utiles).xls.zip
http://www.forum-conquete-spatiale.fr/autres-f16/statistiques-de-la-totalite-des-vols-orbitaux-de-1957-a-2005-t1062-15.htm#169143
ou en direct ici :
http://minilien.fr/a0lt8g
Fichier :
Stat. Acti. Spat. (État définitif fin 2009 avec nb charges utiles).xls.zip
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Les fous ouvrent les voies qu'empruntent ensuite les sages. (Carlo Dossi)
Merci les amis... Je vous ferais profiter ;) bientôt de mes cogitations...
Merci encore !
Serge
SB- Messages : 417
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En fait je me suis servi des données de skyrocket.de. L'intérêt d'utiliser ces données dans un classeur Excel était de faire de nombreux recoupements et d'illustrer les tendances (courbes des tirs, charges-utiles, échecs etc.)Mustard a écrit:Tu trouveras ton bonheur ici
http://www.skyrocket.de/space/chrono.htm
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Les fous ouvrent les voies qu'empruntent ensuite les sages. (Carlo Dossi)
Henri a écrit:En fait je me suis servi des données de skyrocket.de. L'intérêt d'utiliser ces données dans un classeur Excel était de faire de nombreux recoupements et d'illustrer les tendances (courbes des tirs, charges-utiles, échecs etc.)Mustard a écrit:Tu trouveras ton bonheur ici
http://www.skyrocket.de/space/chrono.htm
Il est vrai que ces données mises à jour sous forme de courbes c'est très parlant. Bravo.
En tout cas un travail de titan qu'a fait Skyrocket, et à ma connaissance c'est unique.
D'ailleurs au vue des dernières données 2010, le nombre de tirs sera en net recul cette année par rapport à la tendance des années précédentes qui était elle à la croissance. Or c'est du coté USA que se trouve la totalité de la baisse...
L'augmentation des autres pays ne parvient même pas à compenser la baisse des USA, tant elle est forte...
Situation au 16/09/2010 comparée au 16/09/2009
Total : 45 au lieu de 49 tirs orbitaux réussis (-4)
USA : 9 au lieu de 16 tirs orbitaux réussis (-7)
Total : 45 au lieu de 49 tirs orbitaux réussis (-4)
USA : 9 au lieu de 16 tirs orbitaux réussis (-7)
L'augmentation des autres pays ne parvient même pas à compenser la baisse des USA, tant elle est forte...
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Les fous ouvrent les voies qu'empruntent ensuite les sages. (Carlo Dossi)
Oui, c'est frappant.
Encore plus quand on compare à "l'âge d'Or" des années 70-80, lorsque on atteignait 100 à 120 tirs par an...
Dans un récent numéro de Air & Cosmos, Christian Lardier explique que le marché des lanceurs va être en surcapacité dans les années à venir par rapport à la demande.
S
SB- Messages : 417
Inscrit le : 14/05/2010
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Il faut tout de meme relativiser le nombre de tir par rapport aux années 70-80 avec le fait que nous avons par exemple des lanceurs qui font des lancements doubles, voir meme plus parfois. Pour simple exemple il fallait 1 Ariane 5 pour lancer les 4 sat scientifique Cluster, il aurait fallu 4 ou 2 lanceurs autrefois.
Le fait aussi que les satellites sont devenus nettement plus puissants favorise une diminution des besoins. Quand autrefois il fallait 5 sat de communications pour couvrir les besoins il n'en faut plus qu'un seul maintenant.
Bref, la puissance des sat et l'augmentation des capacité d'emport des lanceurs ont fait qu'il y a moins de lancement et de sat en orbite pour la meme capacité de service.
Le fait aussi que les satellites sont devenus nettement plus puissants favorise une diminution des besoins. Quand autrefois il fallait 5 sat de communications pour couvrir les besoins il n'en faut plus qu'un seul maintenant.
Bref, la puissance des sat et l'augmentation des capacité d'emport des lanceurs ont fait qu'il y a moins de lancement et de sat en orbite pour la meme capacité de service.
Mustard a écrit:Il faut tout de meme relativiser le nombre de tir par rapport aux années 70-80 avec le fait que nous avons par exemple des lanceurs qui font des lancements doubles, voir meme plus parfois. Pour simple exemple il fallait 1 Ariane 5 pour lancer les 4 sat scientifique Cluster, il aurait fallu 4 ou 2 lanceurs autrefois.
Le fait aussi que les satellites sont devenus nettement plus puissants favorise une diminution des besoins. Quand autrefois il fallait 5 sat de communications pour couvrir les besoins il n'en faut plus qu'un seul maintenant.
Bref, la puissance des sat et l'augmentation des capacité d'emport des lanceurs ont fait qu'il y a moins de lancement et de sat en orbite pour la meme capacité de service.
Sans oublier la durée de vie estimée des satellites. Si au début des années 90 elle était de 7 ans en moyenne. Maintenant la moyenne c'est 15 ans.
Mais la plupart des lancements effectués étaient à caractère militaire, surtout des satellites de reconnaissance. Dans les premières années (jusqu'au milieu des années 70), les satellites de reconnaissance embarquaient des appareils photos récupérables. Une fois le film rempli, la capsule se détachait du satellite et revenait sur Terre. Maintenant, les satellites de reconnaissance n'embarquent plus des appareils photos mais des caméras qui envoyent directement les résultats au centre des opérations. Si dans les premières années, les satellites de reconnaissance avaient une durée de vie d'une semaine environ, maintenant elle se prolonge sur plusieurs années.
Tous ces détails font qu'il n'est plus nécessaire de lancer autant de satellites qu'avant.
D'ailleurs si on raisonne en tonnage annuel brut en orbite équivalent LEO (calcul plus difficile à faire), il a certainement augmenté, ne serait-ce qu'au rythme des lancements réguliers de navettes, d'Arianes 5 et de Protons.
Hormis les rares Saturn V et encore plus rares Energia en leur temps les autres tirs de l'époque utilisaient des lanceurs dont les capacités orbitales étaient assez limitées...
Hormis les rares Saturn V et encore plus rares Energia en leur temps les autres tirs de l'époque utilisaient des lanceurs dont les capacités orbitales étaient assez limitées...
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Les fous ouvrent les voies qu'empruntent ensuite les sages. (Carlo Dossi)
C'est vrai qu'il serait intéressant d'avoir le tonnage par année, mais là ça risque de se compliquer ...
Invité- Invité
De toute façon, quel serait le sens de cette statistique sur une durée de 50 ans ?
Celà aggrège des phénomènes indépendants les uns des autres, qui ont des effets antagonistes.
Il y a des phénomènes qui tendent à réduire la masse (miniaturisation des composants), d'autres qui tendent à l'augmenter (satcom plus puissants), sans compter les projets limités dans le temps (assemblage de l'ISS), je ne sais pas si on peut déduire quelque chose de la résultante. Pareil pour le nombre de lancements.
Si on cherche une métrique pertinente de l'activité spatiale, autant prendre directement un indicateur économique, les budgets et CA des entreprises du secteur en valeur absolue (avec les corrections : inflation, PPA, etc.), ou éventuellement le pourcentage de PIB.
Celà aggrège des phénomènes indépendants les uns des autres, qui ont des effets antagonistes.
Il y a des phénomènes qui tendent à réduire la masse (miniaturisation des composants), d'autres qui tendent à l'augmenter (satcom plus puissants), sans compter les projets limités dans le temps (assemblage de l'ISS), je ne sais pas si on peut déduire quelque chose de la résultante. Pareil pour le nombre de lancements.
Si on cherche une métrique pertinente de l'activité spatiale, autant prendre directement un indicateur économique, les budgets et CA des entreprises du secteur en valeur absolue (avec les corrections : inflation, PPA, etc.), ou éventuellement le pourcentage de PIB.
lambda0- Messages : 4879
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Localisation : Nord, France
:)
C'est vrai. Ce type de statistiques grossière permet juste de comparer, par exemple, l'essor de l'aviation en 50 ans avec l'essor du spatial en 50 ans.
On se rend compte, ce qui est une évidence, qu'aller dans l'espace est plus compliqué qu'aller dans l'atmosphère, que la première a fait des progrès prodigieux (Avion de Clément Ader/Boeing 747 en 60 ans) et que la seconde "piétine", en terme technologique : les lanceurs sont essentiellement identiques depuis 50 ans, à l'exception de la navette, qui n'a pour l'instant pas de descendance.
S
C'est vrai. Ce type de statistiques grossière permet juste de comparer, par exemple, l'essor de l'aviation en 50 ans avec l'essor du spatial en 50 ans.
On se rend compte, ce qui est une évidence, qu'aller dans l'espace est plus compliqué qu'aller dans l'atmosphère, que la première a fait des progrès prodigieux (Avion de Clément Ader/Boeing 747 en 60 ans) et que la seconde "piétine", en terme technologique : les lanceurs sont essentiellement identiques depuis 50 ans, à l'exception de la navette, qui n'a pour l'instant pas de descendance.
S
SB- Messages : 417
Inscrit le : 14/05/2010
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Localisation : Hauts de Seine
On compare souvent l'aviation avec l'astronautique, notamment pour son essor, et franchement je trouve que c'est une grosse erreur. Je ne sais pas d'où vient ce comparatif car franchement ca n'a rien à voir. Les coups d'un lanceurs sont toujours exhorbitants, un lancement toujours aussi complexe et dangereux, la structure et logistique au sol impossante et maitriser tous ces parametres n'est pas à la portée de tous.
L'aviation est un domaine bien moins complexe et dangereux, mais surtout il était et est d'utilité publique, et rentable.
L'aviation est un domaine bien moins complexe et dangereux, mais surtout il était et est d'utilité publique, et rentable.
:)
Je suis bien d'accord, mais cette comparaison est souvent faite pour "projeter" dans l'avenir ce que sera le spatial.
Je crois même avoir quelque part dans mes archives une interview de Philippe Perrin comparant l'essor de l'aviation à l'essor du spatial.
S
Je suis bien d'accord, mais cette comparaison est souvent faite pour "projeter" dans l'avenir ce que sera le spatial.
Je crois même avoir quelque part dans mes archives une interview de Philippe Perrin comparant l'essor de l'aviation à l'essor du spatial.
S
SB- Messages : 417
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SB a écrit: :)
Je suis bien d'accord, mais cette comparaison est souvent faite pour "projeter" dans l'avenir ce que sera le spatial.
Je crois même avoir quelque part dans mes archives une interview de Philippe Perrin comparant l'essor de l'aviation à l'essor du spatial.
S
De Spoutnik à apollo11, en 22 ans, l'essor du spatial a été extraordinaire. Et dans les années 70, avec l'arrivée de la machine à tout faire, la navette, beaucoup (médias, public) y ont vu la la meme croissance que l'aviation. Mais rapidement, les fait se sont imposés, l'espace est extrêmement couteuse, très complexe, et très dangereuse.
La nécessité de l'espace pour l'homme est bien moins importante que l'aviation ne pouvait l'etre, que ce soit militaire ou commercial (fret ou passager). L'espace ne représente pas le meme marché que l'aviation, et c'est bien là que l'aviation et l'astronautique se séparent.
J'aurais plutôt tendance à comparer l'astronautique à la marine qu'à l'aviation. Cette dernière s'est rapidement développée car elle reliait des zones déjà connues, peuplées et exploitées, alors que la marine a souffert d'un lent développement de l'antiquité à la renaissance car elle ne servait pas seulement à assurer des liaisons commerciales (ou des expéditions guerrières) entre les principaux royaumes du bassin méditerranéen mais elle a aussi beaucoup servi à explorer des territoires inconnus puis y installer des avants-postes (la cité phocéenne par exemple et beaucoup plus tard les Amériques) qui ne sont devenus que très progressivement des centres d'activités économiques nécessitant des dessertes régulières...
Et je peux vous garantir que prendre la mer dans l'antiquité ou au moyen-âge était nettement plus dangereux que de s'assoir dans un lanceur spatial d'aujourd'hui...
Et je peux vous garantir que prendre la mer dans l'antiquité ou au moyen-âge était nettement plus dangereux que de s'assoir dans un lanceur spatial d'aujourd'hui...
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Les fous ouvrent les voies qu'empruntent ensuite les sages. (Carlo Dossi)
Pour répondre (une fois de plus !) à la question initiale de superSB ;) , il existe le site du journaliste scientifique canadien-français Claude Lafleur :
"The Spacecraft Encyclopedia" qui fourmille de toutes sortes de données & tableaux dont un : "The Big Picture" qui résume bien l'activité spatiale
depuis 1957 ---> http://claudelafleur.qc.ca/Spacecrafts-index.html
Perso, je préfererais le même mais basé sur les lancements (succès + échecs) vu que certains peuvent emporter un grand nombre de nano-satellites de quelques kilos qui biaisent quelque peu les statistiques.
Mais, c'est vrai que l'idéal serait de comptabiliser uniquement les masses des charges utiles satellisées ...
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"The Spacecraft Encyclopedia" qui fourmille de toutes sortes de données & tableaux dont un : "The Big Picture" qui résume bien l'activité spatiale
depuis 1957 ---> http://claudelafleur.qc.ca/Spacecrafts-index.html
Perso, je préfererais le même mais basé sur les lancements (succès + échecs) vu que certains peuvent emporter un grand nombre de nano-satellites de quelques kilos qui biaisent quelque peu les statistiques.
Mais, c'est vrai que l'idéal serait de comptabiliser uniquement les masses des charges utiles satellisées ...
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Gasgano- Messages : 2732
Inscrit le : 07/03/2007
Age : 70
Localisation : 91 & 44
Merci Gascano !
J'ai eu des échanges fructueux, tabernacle !, avec Claude Lafleur, mais son graphe est effectivement sacrément parlant.
S
SB- Messages : 417
Inscrit le : 14/05/2010
Age : 66
Localisation : Hauts de Seine
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