Rocket Lab
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Le pas de tir néo-zélandais servira pour des lancements avec une fréquence élevée, alors que celui de Wallops Island sera utilisés pour ceux ayant des besoins plus spécifiques.
Les inclinaisons visées seront de 38 à 60°.
https://twitter.com/jeff_foust/status/1052568931892912128
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David L.- Modérateur
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Le pas de tir LC-2 doit pouvoir assurer 12 tirs annuels.
Le premier tir est prévu au 3e trimestre 2019.
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Rocket Lab lève 140 M$ supplémentaires.
https://twitter.com/RocketLab/status/1063074809486073858
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On peut dire que Rocket Lab devient un concurrent sérieux pour le lancer de petits satellites. Il y avait Space X, maintenant il y a Rocket Lab, comme quoi la politique de la Nasa de prise en charge par le privé réussi assez bien.
katalpa a écrit:On peut dire que Rocket Lab devient un concurrent sérieux pour le lancer de petits satellites. Il y avait Space X, maintenant il y a Rocket Lab, comme quoi la politique de la Nasa de prise en charge par le privé réussi assez bien.
La NASA finance RocketLab, l'USAF finance Vector... Ils ont vraiment compris des choses que nous on n'arrive pas à cerner...
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nikolai39 a écrit:katalpa a écrit:On peut dire que Rocket Lab devient un concurrent sérieux pour le lancer de petits satellites. Il y avait Space X, maintenant il y a Rocket Lab, comme quoi la politique de la Nasa de prise en charge par le privé réussi assez bien.
La NASA finance RocketLab, l'USAF finance Vector... Ils ont vraiment compris des choses que nous on n'arrive pas à cerner...
C'est quand même plus facile avec des entreprises purement "nationales"...
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La fenêtre de lancement ELaNa-19 s'ouvre le 13 décembre UTC.
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MicrobeSpace- Messages : 41
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Les trois lancements de Rocket Lab en 2018 :
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Le prochain lancement de Rocket Lab est prévu début février 2019.
Douze lancements, ou plus, sont prévus cette année, avec un rythme hebdomadaire annoncé pour 2020...
https://twitter.com/nextspaceflight/status/1084197887448297472
Douze lancements, ou plus, sont prévus cette année, avec un rythme hebdomadaire annoncé pour 2020...
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12 lancements en 2019 et 52 en 2020 !
L'ambition est forte chez RocketLab. On a envie de croire en eux.
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Fabien- Messages : 6856
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Vous vous rendez-compte que cette boîte (enfant des grandes majors Américaines) n'existait pas il y a 3 ans ! Elles avaient compris ça et nous en Europe on regardait médusé SpaceX ramener des premiers étages de fusées sans y croire et d'un coup nous voilà avec des noria de microsat à lancer et ça non plus on ne l'avait même pas vu un peu venir, mais dans quel monde de pseudo compétence vivons nous en Europe ?
Attention qui sont nos incompétents ? Nos ingénieurs ou leurs chefs qui recherchent le profit immédiat ? Mais le spatial, si on n’est pas passionné, le plus long terme on s’en fiche ! On changera de portefeuille...Astro-notes a écrit:Vous vous rendez-compte que cette boîte (enfant des grandes majors Américaines) n'existait pas il y a 3 ans ! Elles avaient compris ça et nous en Europe on regardait médusé SpaceX ramener des premiers étages de fusées sans y croire et d'un coup nous voilà avec des noria de microsat à lancer et ça non plus on ne l'avait même pas vu un peu venir, mais dans quel monde de pseudo compétence vivons nous en Europe ?
La Poule aux Œufs d’Or
Giwa- Donateur
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Astro-notes a écrit:Vous vous rendez-compte que cette boîte (enfant des grandes majors Américaines) n'existait pas il y a 3 ans ! Elles avaient compris ça et nous en Europe on regardait médusé SpaceX ramener des premiers étages de fusées sans y croire et d'un coup nous voilà avec des noria de microsat à lancer et ça non plus on ne l'avait même pas vu un peu venir, mais dans quel monde de pseudo compétence vivons nous en Europe ?
Je nuancerais un poil car RocketLab existe depuis 2006 et a lancé une première fusée sonde au delà de 100km en 2009. Puis a travaillé sur de nombreuses technologies notamment pour le compte de la DARPA. Leur turbopompe électrique a été testée pour la première fois en 2013 et ils ont lancé leur programme electron dans la foulée.
Donc très loin d'être des amateurs il y a 3 ans ;).
Ceci dit ça reste en effet une entreprise qui sort du lot notamment du fait de l'intégration de nombreuses technologies très innovantes sur leur fusée.
Je suis d'accord qu'un certain nombre de personne chez nous n'accordait pas beaucoup de crédits à RockeLab il y a 2 ans juste avant leur premier vol. Mais il ne faut pas croire qu'on ne voit rien venir en Europe, on parle des nano et microsat potentiels depuis longtemps tout comme de la réutilisation. Il y a eu aussi beaucoup de scepticisme aux USA ces dernières années.
La grande différence vient de la capacité d'entreprendre et de lever des fonds aux USA, ou d'intégrer des technologies "peu matures" ou transverses, bien loin de notre traditionnelle approche conservatrice. C'est là où la France et une partie de l'Europe est en train d'évoluer, maintenant notamment que ceux qui pensaient que RocketLab ou SpaceX pourraient y arriver concluent leur argumentaire par "vous voyez, on vous l'avait dit que c'était possible" :D.
Il leur reste encore à prouver que leur modèle économique est viable, et à assurer la cadence pour survivre. Car tout exploit technologique soit-il, une entreprise doit être rentable (ou maintenue en vie à forte dose de subventions plus ou moins cachées ;) ). Mais ils prennent la bonne voie pour y arriver, leur approche est très pragmatique et réfléchie. Et leurs liens "forts" depuis des années avec la DARPA est un énorme plus!
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il n'y a pas qu'un problème de financement , il y a aussi une problème de disponibilité des cerveau.
On peut parlé du discret projet sparrow , financé par un milliardaire du luxe français mais développé par arianegroup (qui s'appelais ASL) . financièrement , j'ai pas d'info mais sa avait l'air de tenir la route, et techniquement sa marché très bien (une importante revu de design venait d’être passé) quand ASL a décider unilatéralement d'annulé le projet pour réaffecté les ressources a ariane6.
donc un des problèmes de l’Europe c'est qu'il n'y a pas assez d'entreprises spatiales (2 de lanceur , 2-3 de satellite) donc tout les spécialistes y sont regroupés et n'y bougent pas (la mentalité sédentaire n'aide pas). Donc si on veut créer quelque chose il faut passer par une de ces boites. Au USA, le financement publique permet de faire vivre un plus grand nombre de sociétés et la culture de la mobilité et de la prise de risque (et des licenciements) fait qu'il y a plus de changements d'entreprises. Donc quelqu'un souhaitant créer un lanceur peut embaucher plus facilement des spécialistes et être indépendant.
On peut parlé du discret projet sparrow , financé par un milliardaire du luxe français mais développé par arianegroup (qui s'appelais ASL) . financièrement , j'ai pas d'info mais sa avait l'air de tenir la route, et techniquement sa marché très bien (une importante revu de design venait d’être passé) quand ASL a décider unilatéralement d'annulé le projet pour réaffecté les ressources a ariane6.
donc un des problèmes de l’Europe c'est qu'il n'y a pas assez d'entreprises spatiales (2 de lanceur , 2-3 de satellite) donc tout les spécialistes y sont regroupés et n'y bougent pas (la mentalité sédentaire n'aide pas). Donc si on veut créer quelque chose il faut passer par une de ces boites. Au USA, le financement publique permet de faire vivre un plus grand nombre de sociétés et la culture de la mobilité et de la prise de risque (et des licenciements) fait qu'il y a plus de changements d'entreprises. Donc quelqu'un souhaitant créer un lanceur peut embaucher plus facilement des spécialistes et être indépendant.
Excellent diagnostic !phenix a écrit:il n'y a pas qu'un problème de financement , il y a aussi une problème de disponibilité des cerveau.
On peut parlé du discret projet sparrow , financé par un milliardaire du luxe français mais développé par arianegroup (qui s'appelais ASL) . financièrement , j'ai pas d'info mais sa avait l'air de tenir la route, et techniquement sa marché très bien (une importante revu de design venait d’être passé) quand ASL a décider unilatéralement d'annulé le projet pour réaffecté les ressources a ariane6.
donc un des problème de l’Europe c'est qu'il n'y a pas assez d'entreprise spatial (2 de lanceur , 2-3 de satellite) donc tout les specialise y sont regroupé et n'y bouge pas (la mentalité sedentaire n'aide pas). Donc si on veut crée quelque chose il faut passé par une de c'est boite. Au usa, le financement publique permet de faire vivre une plus grand nombre de société et la culture de la mobilité et de a prise de risque (et des licenciements) fait qu'il y a plus de changement d'entreprise. donc quelqu'un souhaitant crée un lanceur peut embauché plus facilement des spécialistes et être indépendant.
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phenix a écrit:il n'y a pas qu'un problème de financement , il y a aussi une problème de disponibilité des cerveau.
On peut parlé du discret projet sparrow , financé par un milliardaire du luxe français mais développé par arianegroup (qui s'appelais ASL) . financièrement , j'ai pas d'info mais sa avait l'air de tenir la route, et techniquement sa marché très bien (une importante revu de design venait d’être passé) quand ASL a décider unilatéralement d'annulé le projet pour réaffecté les ressources a ariane6.
donc un des problèmes de l’Europe c'est qu'il n'y a pas assez d'entreprises spatiales (2 de lanceur , 2-3 de satellite) donc tout les spécialistes y sont regroupés et n'y bougent pas (la mentalité sédentaire n'aide pas). Donc si on veut créer quelque chose il faut passer par une de ces boites. Au USA, le financement publique permet de faire vivre un plus grand nombre de sociétés et la culture de la mobilité et de la prise de risque (et des licenciements) fait qu'il y a plus de changements d'entreprises. Donc quelqu'un souhaitant créer un lanceur peut embaucher plus facilement des spécialistes et être indépendant.
Je suis d'accord, il y a cependant bien plus de ressources "techniques" sur le marché français qu'on ne pourrait le croire. De nombreux experts fraichement retraités (enfin libres!) avec beaucoup d'idées en tête, des petites entreprises archi compétentes technologiquement prêtes à s'investir sur des applications motivantes, et pleins de jeunes ayant les compétences nécessaires (même si à la base pas directement "spatiales") pour lancer des startups (comme il s'en est lancés quelques-unes pour les nano/pico-satellites, non sans difficultés...).
Le problème est peut-être la difficulté à être "indépendant" et à avancer dés qu'on empiète un tant soit peu sur certaines trèèèèès laaaaarges plates-bandes.
Vu dans d'autres domaines que le spatial, dés qu'on en arrive à devoir lever des fonds importants, tout se complique entre frilosité des fonds d'investissement et tentatives de rachat (en faisant plus ou moins pression sur les fonds pour qu'ils n'investissent pas ou pas trop)... De là à en faire une généralité ;)
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La précision de l'injection pour les trois derniers tirs de Rocket Lab :
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Syl35 a écrit:phenix a écrit:il n'y a pas qu'un problème de financement , il y a aussi une problème de disponibilité des cerveau.
On peut parlé du discret projet sparrow , financé par un milliardaire du luxe français mais développé par arianegroup (qui s'appelais ASL) . financièrement , j'ai pas d'info mais sa avait l'air de tenir la route, et techniquement sa marché très bien (une importante revu de design venait d’être passé) quand ASL a décider unilatéralement d'annulé le projet pour réaffecté les ressources a ariane6.
donc un des problèmes de l’Europe c'est qu'il n'y a pas assez d'entreprises spatiales (2 de lanceur , 2-3 de satellite) donc tout les spécialistes y sont regroupés et n'y bougent pas (la mentalité sédentaire n'aide pas). Donc si on veut créer quelque chose il faut passer par une de ces boites. Au USA, le financement publique permet de faire vivre un plus grand nombre de sociétés et la culture de la mobilité et de la prise de risque (et des licenciements) fait qu'il y a plus de changements d'entreprises. Donc quelqu'un souhaitant créer un lanceur peut embaucher plus facilement des spécialistes et être indépendant.
Je suis d'accord, il y a cependant bien plus de ressources "techniques" sur le marché français qu'on ne pourrait le croire. De nombreux experts fraichement retraités (enfin libres!) avec beaucoup d'idées en tête, des petites entreprises archi compétentes technologiquement prêtes à s'investir sur des applications motivantes, et pleins de jeunes ayant les compétences nécessaires (même si à la base pas directement "spatiales") pour lancer des startups (comme il s'en est lancés quelques-unes pour les nano/pico-satellites, non sans difficultés...).
Le problème est peut-être la difficulté à être "indépendant" et à avancer dés qu'on empiète un tant soit peu sur certaines trèèèèès laaaaarges plates-bandes.
Vu dans d'autres domaines que le spatial, dés qu'on en arrive à devoir lever des fonds importants, tout se complique entre frilosité des fonds d'investissement et tentatives de rachat (en faisant plus ou moins pression sur les fonds pour qu'ils n'investissent pas ou pas trop)... De là à en faire une généralité ;)
Entièrement d'accord, les Américains ont une vision de l'entreprise différente, ceci dit les gros paris font aussi un maximum de casse et on ne parle que de ceux qui ont réussi.
En Europe aussi, on essaie de pouponner les startups et le CNES fait de gros efforts dans ce sens avec des sortes de crèches à nouvelles entreprises, des incubateurs (!) qui essaient de lancer foules de jeunes dans le grand bain. Cela dit les pouvoirs publics en France et en Europe n'ont pas la même enveloppe à distribuer. C'est là que je reparle des vols habités, les USA ont de nombreux cosmonautes dont certains se sont reconvertis et un Américains qui veut vivre ses rêves d'espace a plus de chance de réussir qu'en Europe où les crédits sont pompés par quelques très grandes entreprises. Mon analyse rejoint les vôtres.
L'indépendance n'existe pas vraiment pour une entreprise, elle est liée à ses actionnaires, à son personnel et à ses clients, cela dit elle a toujours une marge de décision pour certains contrats et certaines orientations ainsi que certaines obligations. Le capitalisme est tel qu'il n'est pas réservé aux USA. Peut-être aussi est-ce une question de culture qui fait que les grands chefs d'entreprise préfèrent ne pas se mettre trop en avant, car la fonction est moins valorisée qu'aux USA. Enfin bref, que ce soit la Californie avec Arnold Schwartzeneger ou les USA avec Trump, on voit bien qu'en Europe, les peuples ne font pas ce genre de pari, quoiqu'il y a le cas Orban en Hongrie, c'est un milliardaire qui dirige le pays me semble-t-il.
Il n'y a pas de bon modèle pour prendre des risques.
Dois je continuer a utiliser le nom de Mahia Peninsula launch site, avec comme pas de tir : Rocket Lab Launch Complex 1, comme site de lancement de Nouvelle Zelande ? J'ai du mal à suivre avec ces projets nouveaux de cosmodromes .
Astro-notes a écrit:Dois je continuer a utiliser le nom de Mahia Peninsula launch site, avec comme pas de tir : Rocket Lab Launch Complex 1, comme site de lancement de Nouvelle Zelande ? J'ai du mal à suivre avec ces projets nouveaux de cosmodromes .
La vraie "adresse"du pas de tir est :
Onenui Station, Rocket Lab Launch Complex 1, Péninsule de Mahia, Nouvelle-Zélande.
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Blog sur le suivi du développement d'Orion
Le second pas de tir de RocketLab, en construction à Wallops Island :
https://twitter.com/Peter_J_Beck/status/1117169865733705728
https://twitter.com/Peter_J_Beck/status/1117169865733705728
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