Livre de SF "Meurtre sur Mars"
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Hey salut, cela fait assez longtemps que je n'avais pas publié sur le forum. Et c'est avec plaisir que je reviens vers vous pour vous présenter mon livre de SF. Beaucoup de travail sur ce roman ou je présente un agent de la fédération terrienne: l'agent Van Der Woude. Chargé par la fédération terrienne d'enquêter sur un meurtre suspect à Phylotos, la capitale martienne.Je présente les caractéristiques originale de la planète rouge et la possibilité de Terraformation sur 1000 ans. Une Terraformation généré par des Colons Mutants à la peau bleu et anaérobie. L'histoire orbite autour de la conception d'un nouveau moteur pour fusée: Un moteur quantique capable du voyage spatial sans déplacement temporel. Le voyage "Flash".
Poste-nous donc le premier chapitre ici, qu'on puisse avoir l'eau à la bouche
Je retrouve un certain graphisme "Capitaine Flam/Future" dans tes illustrations, qui nous renvoie en effet en plein dans les années 70-80.
Je retrouve un certain graphisme "Capitaine Flam/Future" dans tes illustrations, qui nous renvoie en effet en plein dans les années 70-80.
Thierz- Admin
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Au niveau du graphisme, il y a un petit air de Flandry, agent de l'empire terrien (Poul Anderson), du space opera de la grande époque.
lambda0- Messages : 4879
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Aaah, Poul Anderson, Tau Zéro... J'ai prêté mon exemplaire à quelqu'un mais impossible de me souvenir qui, je suis dég.
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Documents pour le FCS :
- Grand concours de pronostics SpaceX
Thierz- Admin
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Ok! Tout à fait, mon style de dessin est très année "70". Je vous présente l'intro de mon livre, et je vous ment pas que je me suis inspiré de l'intro de Jules Verne et de son roman: "20.000 Lieues sous les Mers". Le livre se compose en 2 parties. Vous pouvez le trouvez sur le web en Ebook, ou bien envoyer moi un mp pour un exemplaire papier.Thierz a écrit:Poste-nous donc le premier chapitre ici, qu'on puisse avoir l'eau à la bouche
Je retrouve un certain graphisme "Capitaine Flam/Future" dans tes illustrations, qui nous renvoie en effet en plein dans les années 70-80.
SOL I *
« Keith, voulez-vous bien ouvrir le sas, s’il vous plaît. » Keith s’exécuta. Le sas résonnait de multiple cliquetis métallique pendant qu’il composait les manœuvres nécessaires au désenclavement de la porte blindée de la cabine du cyclotron.
A travers le panneau quartz de la salle de contrôle, le Professeur Mc Olley observait avec minutie le déroulement des opérations, entouré de son équipe scientifique et d’un groupe d’invités privilégiés venus spécialement assister à son expérience.
« Très bien Keith, maintenant laissez votre place au droïd'sonde pour l’inspection de la capsule »
Le droïde s’activa et pénétra à travers le sas. Ses senseurs, érigés aux sommets de longues antennes, s’allumèrent automatiquement dégageant une brume glaciale épaisse.
Dans la galerie de réception du cyclotron, les techniciens installés autour de l’appareil, vérifiaient les réacteurs encore brûlants de la machine temporelle.
Le cyclotron avait la forme d’une goutte d’eau. Il se trouvait installé au milieu d’une chambre cylindrique de plus de quinze mètres de diamètre dont les fonds coniques s’ouvraient sur un anneau électromagnétique de trois milles kilomètres de circonférence. L’ensemble formait un accélérateur ionique géant, profondément enterré dans le sol martien autour du Dôme du centre de recherche du professeur Mc Olley.
Il était quinze heures huit, huit minutes plus tôt l’ordinateur central du Dôme, Heizeckel, enclencha le programme de réception du module.
Immédiatement après une sphère ionique activa son canon à particules, libérant un flux d’électrons à travers la totalité de l’anneau électromagnétique. Le tunnel, pressurisé sous une atmosphère de xénon (un gaz rare de l’atmosphère martienne) fut instantanément inondé par un flot soutenu de particules ioniques.
Aussitôt, chaque atome de xénon percuté, perdait un électron devenant ainsi, un ion positif. Un champ magnétique sur-pulsé circulait à l’intérieur du tunnel et le flux d’ions positifs se trouvait, alors, propulsé sous forme plasmatique à plus de cent mille mètres seconde. Sur les trois milles kilomètres de l’anneau, plusieurs postes de dérivations, équipés de canons ioniques, injectaient des électrons pour éviter l’implosion du tunnel.
L’anneau électromagnétique, placé dans un couloir antigravité et propulsé par un système similaire, tournait sur lui-même en sens inverse. Ainsi la vitesse d’éjection du cyclotron était multipliée par une exponentielle résultante de ces interactions et le tunnel se transformait en un puissant aimant éjectant son flux de plasma d’ions accélérés en entraînant le module cyclotronique dans son sillage.
Dés que la vitesse de pointe atteignait les quatre cent mille kilomètre par secondes, le cyclotron allumait ses énormes réacteurs d’appoints frontaux, et tenter de ralentir sa course folle. Il pouvait, ainsi, «flotter » dans l’espace temps pendant quelques dixièmes de seconde. Suffisamment longtemps, pour que deux grilles soniques s’établissent sur deux points opposés de l’anneau électromagnétique.
Lorsque le cyclotron percutait l’une des grilles, sa structure atomique se décomposait en un éclair électroluminescent. L’énergie produite par un tel choc étant physiquement impossible, (elle n’a pas son équivalent parmi les quatre vingt quatre forces qui dirigent l’univers) le seul moyen à la matière disloqué de «s’exprimer » ne pouvait s’effectuer qu’a travers une évasion temporelle. Plusieurs ajustements des différents paramètres, permetait un déplacement de la matière sur une période donnée, sans qu’elle ne subisse la moindre altération physique. En fait, la matière s’allongeait dans le temps comme une barre de caoutchouc retenu par les murs soniques et était récupéré par le même anneau électromagnétique, tournant à la même vitesse, mais dans un autre espace-temps.
Un projet qui, aujourd’hui, aboutissait après plus de vingt ans de recherche du professeur Mc Olley. Il avait fallu plus de trois ans martiens aux ouvriers mutants pour construire le Dôme et son tunnel électromagnétique.
Le technicien, Keith Dubois, attendait patiemment sur la passerelle que la sonde termine son analyse. Il avait quitté la Terre à la demande du Professeur. Depuis deux ans martiens, il travaillait à ses côtés sur ses travaux sur les accélérateurs subatomiques. Andréa Mosséna, physicienne des murs soniques du cyclotron, l’avait accompagnée dans son voyage. Ils s’étaient rencontrés dans le «Bus », la navette en orbite solaire elliptique qui depuis les années trente relie en continu Mars à la Terre. Et c’est ici, au milieu de nulle part, dans ce brouhaha de poussière martienne, sur cette planète nouvelle, froide et sèche, qu’ils s’étaient épris l’un de l’autre.
Elle se trouvait juste à côté de lui, équipée, elle aussi, d’un scaphandre antiradiation et s’occupait de déchiffrer les données fournies par la sonde sur sa console portative. Sous le module, deux autres techniciens, le lieutenant Shar'i et l’ingénieur-physicien Mattingly s’activaient, quant à eux, aux ravitaillements en carburant des réacteurs frontaux. Dans moins d’une heure, le module temporel sera réexpédié dans son époque, (sept sols en avant) récupéré par les mêmes techniciens, les mêmes ingénieurs, par le même accélérateur électromagnétique.
Agé de trente huit ans, le physicien Mattingly avait conçu et fabriqué le cyclotron. Le lieutenant Shar'i, d’origine asiatique, Lieutenant de première classe de l’armée stellaire, avait une réputation d’être une technicienne hors paire dans son domaine d’application : la physique nucléaire.
Don Mattingly, « Navigateur interstellaire » comme il se nommait, avait l’apparence des vieux baroudeurs de l’espace. Il avait travaillé sur les bases Lunaires, effectué de longues missions dans tout le système solaire et avait foi dans le projet du Professeur; un projet démentiel dont l’issue allait bouleverser les voyages intergalactiques. Il avait une petite maison dans la prairie de Tiu Vallis, non loin du Dôme. Lui et sa petite famille s’étaient tranquillement installé alors que Mars terminait sa terraformation.
Version originale de 1877. C'est tout Mars ! Schiaparelli "voyait" des canaux sur Mars. Il imaginait une civilisation qui "drainer" son eau avec des canaux. Probable que cette civilisation soit en manque d'eau. Au même moment, des Astronomes regardaient Jupiter et étaient..terrifiés. Ils imaginaient une planète peuplé de géants capable d'envahir la Terre. Seul la gravité extrême de la planète les empêchaient de venir jusqu’à nous, pensaient les Astronomes. Pour le fun, amis du Forum retrouvé le Canyon Vallèris sur cette carte et le cèlebre Volcan: L'Olympus!
Houla , attention au copyright sur Bobafet , chez Disney ils rigolent pas avec ca
tonycomics a écrit:
Pika in the Space- Messages : 66
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Non ce n'est pas vraiment un problème de nos jours. Le Copyright, ou les Droits d'auteurs ont évolués à notre époque. Si tu visites une Convention Geek, comme le P.A.F. à Nice, Le Fantastikon à La Garde-Toulon ou le Comic-Con à Paris tu verras des stands de dessinateurs et artistes qui copient joyeusement le "mammouth" Disney. C'est beaucoup plus des "œuvres hommage" que du vol de copyright.Pika in the Space a écrit:Houla , attention au copyright sur Bobafet , chez Disney ils rigolent pas avec catonycomics a écrit:
tonycomics a écrit:Illustration du livre
Hey les gars, sans déconner je crois qu'on a loupé le Bus ! Si toutefois ce n'est pas un objet E.T. possible que ce soit un bon moyen de transport. Si on incruste une base stellaire dessus lors de son prochain passage ce pourrait-être un "BUS", un Bus envoyé du fin fond de l'espace et qui nous est destiné...
( Photo de OU-MOI-OUMOI du site:MIDI-LIBRE)
C'est évident que les écrivains de SF sont tous inspirés des écrits de René Barjavel. Et j'en fait parti notamment pour son ouvrage sur "Le Voyageur Imprudent""Le Voyageur Imprudent"
Et c'est un hommage que je lui rend avec cette illustration unique sur son voyageur temporelle: Le Temponaute.
Et c'est un hommage que je lui rend avec cette illustration unique sur son voyageur temporelle: Le Temponaute.
Illustration avec au fond les 3 volcans et juste derrière l'Olympus Mons (case 02). J'ai modifié la perspective pour les avoirs dans le champ de vision; ce n'est pas ce que vous verrez sur Mars. Olympus Mons et si étendu qu'il occuperai tout l'horizon lointain. Une petite dédicace à la Mission Pathfinder de 1997 également, avec le rocher "Yogi" à droite(case 02).
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