Buzz Aldrin au mk2 Bibliothèque le 19 octobre !

Frandu12 a écrit:une petite question êtez vous allée au bouget pour la séance de dédicasse ou pas :?: :?: :?:

spacemen1969 a écrit:

Frandu12 a écrit:une petite question êtez vous allée au bouget pour la séance de dédicasse ou pas :?: :?: :?:

PIF, Buran et moi-même nous y sommes allés.

Voici notre ami Buran en grande discussion avec Jean-Pierre Haigneré (dis, Jean-Pierre, je veux être astronaute aussi, dis, je peux, je peux, je peux... :blbl: )

firnas2 a écrit:spacemen1969 a écrit:
Impossible pour Armstrong, ne signe plus rien depuis plus d'une decennie
(sauf priviligiés, et encore...) / Par contre beaucoup plus facile d'approche dans
ce genre d'évènement pour une photo avec lui
A titre de consolation, voici une belle photo signée Aldrin du temps ou il était
abordable (possible encore de nos jours mais moyennant beaucoup de $$$$)

1) J’ai voulu mettre la barre plus haut. Les Gars vont au KSC, où vont-ils chercher
Armstrong ? Et lui, qu’est ce qu’il fait maintenant, il vend toujours des voitures ?
Il ne fait plus de pub pour les voitures... Il a continué d'enseigner pendant longtemps. Actuellement, est un retraité qui fait du consulting haut de gamme (genre invité spécial conférence ou réunions Cadres Suo)

2) Peut-tu raconter dans quelle circonstance, "ils" ont eu cette
signature (ils parce que 1970+38=2008) ?
Obtention lors d'une des rencontres avec Aldrin. Celle-ci date du débuts des années 90. Son prix n'était pas comme maintenant de $350 minimum (il fait même payer la date....)

3) Aux Enchères je ne sais pas si cette photo peut rapporter gros, mais quelqu’un
d’autre peut-il confirmer l’originalité de cette signature (où sont les experts ?)
Je te confirme l'authenticité. Lors des conventions, on te remets toujours un certif qui te sert aussi de facture :megalol:
Sans déconné, tu peux trouver ce genre de document aux enchères entre 200-500 euros (voir moins si tu as de la chance de tomber sur quelqu'un qui ne connait pas l'objet et qu'aucun autre collectionneur ne l'ai vue aussi)

4) Avec vos blagues, peut être qu’on me dira qu’Apolloman dispose dans sa collection d’une
roche lunaire (j'exagère).
Je pense que les météorites sont largement à la portée de tout le monde et qu'Apolloman n'a pas besoin de dévaliser la NASA :blbl:

Plusieurs ''marchands'' proposent du matériel ayant été sur la Lune et ayant de la poussière lunaire dessus. Mais hélas, ce n'est pas gratuit.
Puis si tu vas à KSC ou à Houston, tu pourras toucher une pierre lunaire. Je crois qu'il y a en France (Toulouse ? non ?). Il me semble qu'avant il y en avait une au Palais de la Découverte à Paris, mais je ne sais pas s'ils l'ont encore

Cordialement.

spacemen1969 a écrit:

Mustard a écrit:A mon avis l'esprit de compétition de ces gars là fait qu'ils voulaient tous etre le premier. Mais avec du recul ils (les 12) comprennent tous qu'ils ont eu une chance incroyable et unique de vivre une telle aventure, premier ou second ou douzieme.

Astrogreg a écrit:Quelque part, c'est peut-être parce qu'ils voulaient tous être partout premiers qu'ils ont réussi à faire partie des 12, quelle que soit la place...

Mustard a écrit:A mon avis l'esprit de compétition de ces gars là fait qu'ils voulaient tous etre le premier. Mais avec du recul ils (les 12) comprennent tous qu'ils ont eu une chance incroyable et unique de vivre une telle aventure, premier ou second ou douzieme.

A l’issue d’une réunion tenue le 14 février 1969 concernant le planning de la mission Apollo 11,
il apparaît qu’il serait plus logique que le commandant quitte le LM en premier. A l’intérieur du
module lunaire, il se trouve à gauche du poste de pilotage d’où il peut accéder plus facilement à
l’écoutille de sortie. De plus, il a davantage de place pour revêtir son scaphandre et endosser un
des deux systèmes de survie stockés derrière le copilote. Ainsi, on évite une permutation
compliquée entre les deux hommes dans l’étroit habitacle.

Aldrin s’inquiète, avec une colère contenue, de ce possible changement. Il en parle à Armstrong
qui lui répond ne pas avoir l’intention de se désister si la Nasa décide de suivre les recommandations
du comité technique. Aldrin pense surtout qu’on ne souhaite pas lui confier ce privilège à cause
de son franc-parler qui déplaît, de ses prises de position qui incommodent et de son ambition
qu’il ne cache pas.

firnas2 a écrit:Ce texte n'explique pas si Aldrin a été écarté pour des considérations techniques ou politiques?

spacemen1969 a écrit:Oser prétendre qu'il n'a jamais été amer ou déçu.... :megalol:

Pif a écrit:

spacemen1969 a écrit:Oser prétendre qu'il n'a jamais été amer ou déçu.... :megalol:

Et qu'il ne voulait pas de cette publicité, qu'il n'a même jamais voulu faire partie de cet équipage...
Gare, s'il commence à faire du révisionnisme !
:suspect:

Pif a écrit:

spacemen1969 a écrit:Oser prétendre qu'il n'a jamais été amer ou déçu.... :megalol:

Et qu'il ne voulait pas de cette publicité, qu'il n'a même jamais voulu faire partie de cet équipage...
Gare, s'il commence à faire du révisionnisme !
:suspect:

Aldrin va être tour à tour, mécanicien, électricien et
plombier. Il visse et dévisse des écrous. Il déplace et remet en place des
poignées. Il sectionne et raccorde des fils électriques. Il sépare et joint des
tuyaux. Il travaille avec facilité et sans aucune fatigue.

Aldrin veut non seulement participer à l’élaboration du
planning des missions, mais il désire aussi s’envoler très vite pour
l’Espace. Hélas pour lui, il n’est pas retenu dans l’équipage de Gemini 4
chargé de s’approcher du 2° étage de la fusée Titan 2, ni dans celui de Gemini
5 qui doit réaliser une rencontre avec le satellite Rep. Aldrin se rend alors
dans le bureau de Slayton qui désigne les équipages. Il lui rappelle qu’il
maîtrise les techniques de rendez-vous aussi bien, sinon mieux, qu’aucun autre
astronaute et qu’il ne comprend pas pourquoi il n’a pas encore été choisi.
Surpris par ce ton direct, Slayton lui répond qu’« il va réfléchir sur la
question ».

Il exige également que sa combinaison spatiale soit équipée
de dispositifs d’accrochage à la cabine. Il se révèle aussi ingénieux que pour
ses équations sur les rendez-vous. Il invente, par exemple, un genre de fer à
repasser recouvert de velcro qu’il veut appliquer comme un aimant sur la coque
de l’engin spatial.