Falcon 9 (Starlink v0.9) - CCAFS - 24.5.2019
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Voici à quoi la constellation Starlink doit ressembler une fois terminée... :D
https://twitter.com/vasss321/status/1133303644454096898
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David L.- Modérateur
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Documents pour le FCS :
- Grand concours de pronostics SpaceX
Thierz- Admin
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Ctyastro a écrit:gaby-light a écrit:Est ce que par hasard quelqu’un ici a déjà essayé de les repérer dans le ciel?
Je vais essayer de les filmer tout à l'heure.
J'ai un passage à 23h44 local pour le 1er de la flotte (2019-029AK)
Le dernier de la flotte à 00h01 local (2019-029BK)
Bon, et bien à 23h44 j'ai eu droit à un passage de nuages. :wall:
Ca sera pour la prochaine fois !
Pareil... trop de nuage à Toulouse...
gaby-light- Messages : 463
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Ctyastro a écrit:Inquiétude des astronomes
« Si SpaceX en lance 12.000, ils vont dépasser le nombre d’étoiles visibles », s’alarme un astronome amateur, Alex Parker.
https://twitter.com/Alex_Parker/status/1132163931378610178
De fait, on ne verra jamais 12.000 satellites à la fois. Ils vont se disperser et se situer sur des orbites différentes (entre 550 et 1.200 km) et ne croiseront pas l’horizon au même moment. Mais Jonathan McDowell, astronome au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, calcule qu’on pourrait « en voir jusqu’à 100 à l’œil nu simultanément ». Selon lui, personne ne s’attendait à ce que les satellites soient aussi réfléchissants. Alors que SpaceX assure qu’il va les orienter pour minimiser le phénomène, l’astronome estime qu’il faudra plusieurs mois pour être fixé.
Selon McDowell, « l’inquiétude est légitime ». Il ne s’agit pas que de pollution lumineuse. Avec une demi-douzaine de projets similaires (OneWeb et Amazon, notamment), des dizaines de milliers de microsatellites pourraient perturber les observations des radiotélescopes au sol, sans parler du risque d’embouteillage en orbite basse pour de futurs lancements. « Ces projets assurent que tout ira bien, mais il faut que les autorités régulatrices se penchent sur ces questions », insiste le scientifique.
Je suis en général un ardent partisan de la libre concurrence, mais toute règle doit admettre des exceptions, et j'ai tendance à penser que dans certains domaines le marché doit être régulé. J'ai de sérieux doutes sur la possibilité que l'on puisse laisser se multiplier ce type de constellations. Au problème de l'encombrement physique de l'espace s'ajoute celui de l'épuisement des fréquences hertziennes.
Sur le très long terme, on pourrait imaginer un dispositif de remise en concurrence périodique, par exemple tous les dix ans. Une autorité concédante examinerait plusieurs projets concurrents et désignerait un concessionnaire unique du service de l'internet orbital, que l'on considérerait comme une sorte de monopole naturel à durée de vie limitée.
En écrivant cela, je suis bien sûr conscient d'une objection à première vue insurmontable, celle des antagonismes nationaux et idéologiques. A supposer que les Américains adoptent le système que j'évoquais, les Chinois et d'autres (y compris les Européens) voudront faire de même, et on se retrouvera encore avec une pluralité de constellations.
Il y a certes un principe, qui est celui de la neutralité de l'internet, et la mise en place d'une autorité mondiale chargée de faire respecter ce principe et de superviser le concessionnaire unique règlerait le problème, mais les Etats ne le voudront pas. L'enjeu du contrôle des communications est essentiel, tant pour les régimes autoritaires que pour les pays libres qui ne veulent pas tomber sous le joug de ceux qui ne respectent pas la démocratie.
En attendant, j'ai envie de faire une réponse un peu volontariste aux astronomes inquiets : il faut délocaliser les instruments astronomiques et ceux qui les font fonctionner au-dessus des couches de satellites de l'internet orbital ; sur orbite géostationnaire, sur la Lune, sur Mars, sur les astéroïdes…
Et je peux ajouter une petite dose de cynisme : on craignait de ne pas trouver de débouchés pour le Starship. Mais si on transfère tous les observatoires astronomiques sur la Lune, on sait pourquoi on aura besoin du Starship ! Tandis que les redevances payées par les usagers de l'internet orbital enrichiront le concessionnaire, lequel, s'il s'agit de SpaceX, est précisément le développeur du Starship ! Mettez deux problèmes ensemble, et chaque problème est la solution de l'autre !
PierredeSedna- Donateur
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Ma première réaction en voyant la vidéo fut de penser aux astronomes pros ou amateurs.
Et si je ne peux plus regarder le ciel nocturne sans me farcir un défilé de satellites, je ne remercie pas Musk - et toute autre zigoto qui aurait des idées pareilles. :lolnasa:
Et accessoirement la pollution de la planète n'étant pas suffisante, il faut que l'on fasse de même pour l'espace. Si jamais vous aviez encore un doute sur la bêtise humaine...
Et si je ne peux plus regarder le ciel nocturne sans me farcir un défilé de satellites, je ne remercie pas Musk - et toute autre zigoto qui aurait des idées pareilles. :lolnasa:
Et accessoirement la pollution de la planète n'étant pas suffisante, il faut que l'on fasse de même pour l'espace. Si jamais vous aviez encore un doute sur la bêtise humaine...
Spaceman- Messages : 2283
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Si oui, mille fois oui, c'est bien l'encombrement des fréquences radioélectrique qui est le point noir de ce type de télécommunication satellitaire, la répartition de ces objets dans l'espace confiné aux LEO n'est même pas d'un risque de collision que pourrait rencontrer deux piétons gambadant au hazard das l'étendue totale du Sahara.
@Astro-notes : Je me méfierais quand même des probabilités de collision, Le Triomphant et le Vanguard sont bien entrés en collision au milieu de l'atlantique alors qu'il n'y a jamais plus de quelques dizaines de sous-marins dans cet océan en même temps, donc le destin est parfois assez farceur !
On peut donc légitimement se poser la question de la sagesse de se mettre dès maintenant à multiplier notre nombre de satellite par 10 alors que nous n'avons toujours aucun moyen de dépollution efficace, surtout quand dans le même temps des pays dirigés par des demeurés s'amusent à créer volontairement des nuages de débris à coup de missile.
Mais que ce soit au niveau de la saturation des fréquences ou des risques de collision, la physique finira bien par remettre tous ces ambitieux à leur place, quand les fréquences seront saturées le service se dégradera et donc le client se tournera vers d'autres solution, quand les diverses orbites utiles seront saturées par les débris nous repasserons à des moyens terrestres.
On peut donc légitimement se poser la question de la sagesse de se mettre dès maintenant à multiplier notre nombre de satellite par 10 alors que nous n'avons toujours aucun moyen de dépollution efficace, surtout quand dans le même temps des pays dirigés par des demeurés s'amusent à créer volontairement des nuages de débris à coup de missile.
Mais que ce soit au niveau de la saturation des fréquences ou des risques de collision, la physique finira bien par remettre tous ces ambitieux à leur place, quand les fréquences seront saturées le service se dégradera et donc le client se tournera vers d'autres solution, quand les diverses orbites utiles seront saturées par les débris nous repasserons à des moyens terrestres.
Maurice- Messages : 1438
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Le coût de télescopes orbitaux est largement supérieur aux terrestres. On privilégie donc ceux qui observent dans des longueurs d'ondes bloquées par notre atmosphère. En ce qui concerne d'éventuelles missions de maintenance .... la note serait aussi salée. Donc ... cela n'a pas de sens.PierredeSedna a écrit:
En attendant, j'ai envie de faire une réponse un peu volontariste aux astronomes inquiets : il faut délocaliser les instruments astronomiques et ceux qui les font fonctionner au-dessus des couches de satellites de l'internet orbital ; sur orbite géostationnaire, sur la Lune, sur Mars, sur les astéroïdes…
Et je peux ajouter une petite dose de cynisme : on craignait de ne pas trouver de débouchés pour le Starship. Mais si on transfère tous les observatoires astronomiques sur la Lune, on sait pourquoi on aura besoin du Starship ! Tandis que les redevances payées par les usagers de l'internet orbital enrichiront le concessionnaire, lequel, s'il s'agit de SpaceX, est précisément le développeur du Starship ! Mettez deux problèmes ensemble, et chaque problème est la solution de l'autre !
Il faudra même qu'Elon se lance dans le Super-Mega-Starship sans attendre .... on aura besoin au moins du croiseur impérial de Starwars :lol!:
montmein69- Donateur
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C'est un probeme qui a était étudier en détail pendant la guerre froide par une equipe de statisticien qui ne comprenais pas comment il pouvait y avoir pres d'une dizaine de collision (connu) entre des sous-marin américain et soviétique alors qu'il y avait que quelque centaine de chaque repartie sur les 3/4 de la terre. Apres avoir etudier pas mal de piste , un sous-mariner a fini par parlé. soit c’était un SNA qui a mal anticipé la manœuvre d'u SNLE ennemi qu'il suive discrètement. soit c’était un SNA qui frôle un sous-marin ennemi afin d’enregistré sa signature acoustique.Maurice a écrit:@Astro-notes : Je me méfierais quand même des probabilités de collision, Le Triomphant et le Vanguard sont bien entrés en collision au milieu de l'atlantique alors qu'il n'y a jamais plus de quelques dizaines de sous-marins dans cet océan en même temps, donc le destin est parfois assez farceur !
bon pour l'incident des SNLE franco-anglais la situation est différente, car aucun SNA n'est impliqué (et il serait étrange voir stupide d’attribuer une mission de filature ou de renseignement a un SNLE). une raison probable est que les deux bâtiments ayant des caractéristique et mission proche, il est la même zone de patrouille idéal et était trop discret pour se "voir".
@phenix : C'est bien pour ça que j'ai cité la seule collision entre deux SNLE ayant eu lieu à ma connaissance, aucun risque qu'ils aient provoqué cette collision en jouant à chat, c'est donc bien un bel exemple de loi de Murphy !
Maurice- Messages : 1438
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Localisation : Val d'oise
Voilà des opinions bien catégoriques et pessimistes (mais exprimées avec un humour que j'apprécie :D ).montmein69 a écrit:Le coût de télescopes orbitaux est largement supérieur aux terrestres. On privilégie donc ceux qui observent dans des longueurs d'ondes bloquées par notre atmosphère. En ce qui concerne d'éventuelles missions de maintenance .... la note serait aussi salée. Donc ... cela n'a pas de sens.PierredeSedna a écrit:
En attendant, j'ai envie de faire une réponse un peu volontariste aux astronomes inquiets : il faut délocaliser les instruments astronomiques et ceux qui les font fonctionner au-dessus des couches de satellites de l'internet orbital ; sur orbite géostationnaire, sur la Lune, sur Mars, sur les astéroïdes…Et je peux ajouter une petite dose de cynisme : on craignait de ne pas trouver de débouchés pour le Starship. Mais si on transfère tous les observatoires astronomiques sur la Lune, on sait pourquoi on aura besoin du Starship ! Tandis que les redevances payées par les usagers de l'internet orbital enrichiront le concessionnaire, lequel, s'il s'agit de SpaceX, est précisément le développeur du Starship ! Mettez deux problèmes ensemble, et chaque problème est la solution de l'autre !
Il faudra même qu'Elon se lance dans le Super-Mega-Starship sans attendre .... on aura besoin au moins du croiseur impérial de Starwars
Le lancement des premiers satellites de la constellation Starlink a fait émerger un problème sérieux, celui de la perturbation des observations astronomiques qui risquerait de résulter de la multiplication de telles constellations, pour tous les instruments localisés sur la Terre. Ce problème ne se matérialisera pas avant les années 2030 (SpaceX envisage différentes étapes avant l'achèvement de la constellation avec ses 12 000 satellites). Mais c'est dès maintenant que ce sujet doit être pris en compte dans différents domaines : l'octroi des autorisations par la FCC, la programmation des instruments astronomiques d'après-demain etc.
Les télescopes spatiaux ne relèvent pas de la science-fiction. Si le James Webb Space Telescope, dont le miroir primaire fait 6,5 mètres de diamètre (soit davantage que le miroir du télescope du Mont-Palomar qui dans mon enfance était le plus grand du monde), peut être lancé par notre Ariane 5 et tient dans sa coiffe, alors on imagine la taille des miroirs primaires des télescopes qui pourraient être emmenés loin de la Terre et des pollutions lumineuses par le Starship ! Certes, ce ne serait pas la taille du miroir de l'EELT (presque 40 mètres). Mais on pourrait arriver à des performances comparables à celles de l'EELT en lançant dans l'espace, par exemple, plusieurs miroirs de 10 mètres qui travailleraient ensuite ensemble pour faire de l'interférométrie optique. Pas besoin du croiseur impérial de Star Wars !
Bref, l'installation de télescopes dans l'espace et en particulier sur la Lune est à la portée des technologies actuelles (sauf si l'obstacle de la poussière lunaire devait s'avérer insurmontable, mais dans ce cas le télescope restera sur orbite).
Il reste la question du coût, j'en conviens, mais si le Starship a les dimensions actuellement prévues, et s'il est réutilisable des dizaines de fois, la contrainte de miniaturisation de certains éléments du télescope sera réduite (la miniaturisation doit requérir des technologies coûteuses), tout comme le coût de son transport dans l'espace.
Il reste les miroirs et l'instrumentation, mais ceux-ci sont coûteux même pour les télescopes terrestres.
Bref, ce que j'ai voulu dire, c'est que nous n'aurons pas à choisir entre l'astronautique et l'astronomie. Au contraire, une grande astronautique (au service, en premier lieu, d'un internet survitaminé, lui-même générateur d'un nouvel élan de croissance économique, et d'une amélioration de notre vie quotidienne) pourrait permettre, malgré ce problème de pollution lumineuse, d'arriver à aussi une grande astronomie.
A condition de penser l'astronomie spatiale non comme une simple délocalisation des instruments terrestres, mais comme un projet ambitionnant de poursuivre la même activité dans un environnement différent et avec des outils adaptés en conséquence.
Cette astronomie spatiale existe depuis longtemps (alors que certains d'entre nous gambadaient en culottes courtes dans le Bois de Vincennes ou les traboules du vieux Lyon, il y avait déjà huit télescopes pour observer le soleil dans le module ATM de Skylab), il ne s'agirait donc que de la développer davantage.
A plus long terme, dans les années 2050, les successeurs du Starship transporteront sur la Lune les moyens d'y installer une industrie, qui permettra d'exploiter les ressources minérales de notre satellite et d'assembler sur place des pièces détachées produites localement ou venues de la Terre, pour fabriquer des télescopes et bien d'autres appareils au service de la science ou du bien-être des colons lunaires.
Postérieurement à la rédaction de ce post, j'observe avec intérêt qu'Elon Musk avait publié un tweet également favorable à la délocalisation de l'astronomie dans l'espace extra-atmosphérique.
[url=[url=— Elon Musk (@elonmusk) May 27, 2019 ">
There are already 4900 satellites in orbit, which people notice ~0% of the time. Starlink won’t be seen by anyone unless looking very carefully & will have ~0% impact on advancements in astronomy. We need to move telelscopes to orbit anyway. Atmospheric attenuation is terrible. pic.twitter.com/OuWYfNmw0D
— Elon Musk (@elonmusk) May 27, 2019
PierredeSedna- Donateur
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D'après Jonathan McDowell (@planet4589) Starlink 46, lancé avec le premier lot en mai 2019, a apparemment été utilisé pour tester la contrôlabilité des satellites Starlink à basse altitude.
Le 20 février, il était sur une orbite de 164 x 184 km et il serait le premier a être entré dans l'atmosphère, plus tard ce jour-là.
Le 20 février, il était sur une orbite de 164 x 184 km et il serait le premier a être entré dans l'atmosphère, plus tard ce jour-là.
Jonathan McDowell a écrit:Nous n'avons actuellement aucune heure d'entrée spécifique pour Starlink 46, donc nous ne savons pas "où" il est rentré. Il n'est pas tout à fait clair s'il a été désorbité vers un emplacement spécifique ou juste suffisamment abaissé pour se décomposer de manière incontrôlée.
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STARLINK-46
STARLINK-46 n'est plus sur orbite.
NORAD ID : 44246 Code international : 2019-029M
Périgée : N / A Apogée : N / A Inclinaison : N / A Période : N / A
Semi grand axe : N / A RCS : N / A
Date de lancement : 24 mai, 2019 Source : États-Unis (US)
Site de lancement : AIR FORCE EASTERN TEST RANGE (AFETR)
Date de décomposition: 2020-02-20
https://www.n2yo.com aussi
STARLINK-46 n'est plus sur orbite.
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MEGHARBA- Donateur
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Le bateau "Commander" est rentré à Philadelphie à vide. Le b1056 est donc au fond de l'océan. RIP
AlexSSC- Messages : 2222
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Alors que la désorbitation du groupe V0.9 des Starlink se poursuit, Starlink 25 est rentré entre 8h32 et 9h12 UTC le 1er septembre.
Starlink 23 est lui rentré entre 06h59 et 07h33 UTC le 2 septembre. Il s'agit du 11e satellite V0.9 à se désorbiter.
@planet4589
Starlink 23 est lui rentré entre 06h59 et 07h33 UTC le 2 septembre. Il s'agit du 11e satellite V0.9 à se désorbiter.
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Starlink 42 est rentré au-dessus des Açores à 08h36 UTC le 16 septembre. Starlink 35. 36, 37, 69 et 78 sont également rentrés les 15 et 16 septembre. Sur le lot V0.9, 26 restent en fonctionnement, 26 sont désorbés et 8 en déclin.
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Dernier satellite de ce lancement encore en orbite, Starlink-24 est rentré dans l'atmosphère le 24 octobre 2022.
https://twitter.com/planet4589/status/1585285709308563457
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