Nouvelle sélection d'astronautes européens (2022)
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Raoul a écrit:Si on continue à sélectionner des militaires des forces aériennes, ce n'est pas nécessairement en raison de leur nombres d'heures de vol ou des types d'appareils, mais surtout parce qu'étant en service, ils obéissent aux ordres, ont un esprit d'équipe, d'entraide, peuvent rapidement prendre les bonnes décisions et sont bricoleurs.
Les scientifiques sont spécialisés dans un domaine (qui n'a pas toujours de rapport avec leur mission) mais ont-ils l'état d'esprit cité plus haut?
C'est assez cocasse de penser (ou même croire) que les spécialistes de différents "corps de métiers" sont des hurluberlus incapable de suivre des directives, manquant d'initiative, incapables de coopérer avec leurs collègues, ou ceux d'une autre spécialité, etc .... donc incapables de mener à bien leurs tâches ... et de résoudre les difficultés rencontrées , ou alors en dépit du bon sens.
Certes il y avait le mythe du "savant fou" qui faisait bien rire (ou selon sa spécialité .... nous donner des "sueurs froides") ..... mais ce n'est qu'un mythe prisé dans les films ou les séries.
Les barrages ou les gratte-ciels s'écroulent rarement, les trains et les avions fonctionnent, même les centrales nucléaires (sauf cas exceptionnel) fonctionnent (certes cahin-caha ces temps -ci)
montmein69- Donateur
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Une mission spatiale emporte une multitude d'équipements dont la fiabilité n'est jamais garantie à 100%. Leur sophistication ne peut que s'accroitre avec les missions envisagées sur les sols lunaire et martien : allongement de la durée des séjours, éloignement (Mars), mise en oeuvre d'équipements complexes de production d'énergie et de collecte d'ergols (ISRU), sortie extravéhiculaire de longue durée. Tant que ces systèmes ne seront pas capables de s'autoréparer (un objectif relevant de la science fiction), tant que nous serons dans une phase de découverte et d'apprentissage dans ces régions hostiles, le noyau des équipages sera constitué de bricoleurs et les purs scientifiques n'auront droit qu'à un strapontin.
Pline- Messages : 1140
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en faite , il n'y a plus tant de militaire que ça. en 2009 il y en avait 3 (les deux italien et peake) mais pour 2022, en dehors des deux français , je n'ai pas vu de parcours militaire (j'ai peut être loupé un ou deux reserviste). aujoud'hui c'est surtout des ingénieur si possible avec un experience de pilote . le reste c'est quelque profil très scientifique, medical, geologue (gerst) ou astophysique.
comme aime a le dire clervoy, un astronaute est un operateur de systeme complexe en milieu perieux. ils doivent connaitre par coeur toutes les procedure d'urgence de tout les équipement sur l'ISS (un an de formation que pour la partie americaine). après ça les expérience ne sont pas urgent et ils sont littéralement téléguide depuis le sol. on leur demande de comprendre (rapidement car les expérience s’enchaîne) globalement le principe et le but de l’expérience (pour qu'il se l'approprie et évité les situation aberrante) mais sans avoir a connaitre tout les tenant et les aboutissant de l’expérience (des scientifiques travail des années sur chaque expérience). On cherche donc quelqu'un ayant un gros bagage technique et technologique pour comprendre le fonctionnement de chaque système et le résultat de chaque action mais aussi capable d'analysé, contrôle et corrigé rapidement et proprement un problème dans un situation stressante. Donc un ingénieur ayant un appétence pour le pilotage (prouvant sa réactivité) ou un pilote d'essai sont des profils idéal pour ce type d’astronaute.
Ce type d’astronaute, globalement c'est ceux qu'on appel les spécialistes de missions qu'on avait a l’époque de la navette spatial mais au sens plus large car incluant le pilote et le commandant. Se sont des personnes qui permet la mission dans son ensemble sans s'attaché a une expérience en particulier. Aujoud'hui les mission sont tellement longue et le nombre de personne (7 pour un truc aussi gros que l'ISS) reduit donc on a quasi exclusivement des spécialiste de mission. A l’époque de la navette, il y avait des "specialiste de charge utile" qui ne touchais pas au fonctionnement de la navette mais gère leur activité (satellite, expérience....). vue qu'il y avait beaucoup de personne (7/ mission) et que les missions était courte (quelque semaine) il y avait environs 3 spécialiste de charge utile. un cas particulier de spécialiste de charge utile sont les "touriste" ou premier de chaque nation qui n'ont pas d'activité particulière en dehors de représente leur pays qui sont donc en faite des charges utiles a eu tout seul.
dans l'avenir, avec la réduction des coûts d'une mission spatial et les station spatial privé, on peut imaginer le retour des spécialiste de charge utile. en effet on pourrais avoir un équipage constituer de 2 spécialiste de mission (astronaute professionnel, connaissant parfaitement la station et vaisseau) et 2 a 4 spécialiste de charge utile qui serais des scientifiques pur et dur, aurais préparé sur terre une expérience et trouve un financement (important certes) pour l'envoyer dans l'espace et la manipuler eux même.
comme aime a le dire clervoy, un astronaute est un operateur de systeme complexe en milieu perieux. ils doivent connaitre par coeur toutes les procedure d'urgence de tout les équipement sur l'ISS (un an de formation que pour la partie americaine). après ça les expérience ne sont pas urgent et ils sont littéralement téléguide depuis le sol. on leur demande de comprendre (rapidement car les expérience s’enchaîne) globalement le principe et le but de l’expérience (pour qu'il se l'approprie et évité les situation aberrante) mais sans avoir a connaitre tout les tenant et les aboutissant de l’expérience (des scientifiques travail des années sur chaque expérience). On cherche donc quelqu'un ayant un gros bagage technique et technologique pour comprendre le fonctionnement de chaque système et le résultat de chaque action mais aussi capable d'analysé, contrôle et corrigé rapidement et proprement un problème dans un situation stressante. Donc un ingénieur ayant un appétence pour le pilotage (prouvant sa réactivité) ou un pilote d'essai sont des profils idéal pour ce type d’astronaute.
Ce type d’astronaute, globalement c'est ceux qu'on appel les spécialistes de missions qu'on avait a l’époque de la navette spatial mais au sens plus large car incluant le pilote et le commandant. Se sont des personnes qui permet la mission dans son ensemble sans s'attaché a une expérience en particulier. Aujoud'hui les mission sont tellement longue et le nombre de personne (7 pour un truc aussi gros que l'ISS) reduit donc on a quasi exclusivement des spécialiste de mission. A l’époque de la navette, il y avait des "specialiste de charge utile" qui ne touchais pas au fonctionnement de la navette mais gère leur activité (satellite, expérience....). vue qu'il y avait beaucoup de personne (7/ mission) et que les missions était courte (quelque semaine) il y avait environs 3 spécialiste de charge utile. un cas particulier de spécialiste de charge utile sont les "touriste" ou premier de chaque nation qui n'ont pas d'activité particulière en dehors de représente leur pays qui sont donc en faite des charges utiles a eu tout seul.
dans l'avenir, avec la réduction des coûts d'une mission spatial et les station spatial privé, on peut imaginer le retour des spécialiste de charge utile. en effet on pourrais avoir un équipage constituer de 2 spécialiste de mission (astronaute professionnel, connaissant parfaitement la station et vaisseau) et 2 a 4 spécialiste de charge utile qui serais des scientifiques pur et dur, aurais préparé sur terre une expérience et trouve un financement (important certes) pour l'envoyer dans l'espace et la manipuler eux même.
Militaire (pilote de chasse) = bricoleur ???
vp- Messages : 4557
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IL faut savoir qu'une grande partie des officiers supérieurs de formation scientifique dans nos armées sont titulaires de diplômes d'ingénieur de grandes écoles.
Ils possèdent donc à la fois la rigueur militaire et des compétences techniques leur permettant d'aborder de nombreux domaines scientifiques.
Ils possèdent donc à la fois la rigueur militaire et des compétences techniques leur permettant d'aborder de nombreux domaines scientifiques.
Clg_55- Messages : 230
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Je travaille dans l'ingénierie (travaux publics) depuis 20 ans.
Je ne dirais pas qu'ingénieur = bricoleur.
Il y a même peu d'ingénieur qui sont manuel.
Je ne dirais pas qu'ingénieur = bricoleur.
Il y a même peu d'ingénieur qui sont manuel.
vp- Messages : 4557
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Je ne me suis jamais penché sur cette question, mais ces officiers supérieurs diplômés d'écoles supérieures [militaires] qui leur sont toutes dévouées pour leur carrière, me laisse pantois. Mais il faut dire que je ne suis plus dans l'armée active depuis 1977 (45 ans) et les choses ont certainement changées. La technique est présente de partout et aussi bien dans les aéronefs que les bateaux et autres mobiles terrestres qu'il faut bien un bagage technique si non ingénieur. !
A lire sur mon blog le dernier article sur ma nomination au grade d'ingénieur du CNRS ceci explique le mot "pantois" que j'emploie pour ce sujet délicat.
ici : http://astro-notes.over-blog.fr/ (sous le titre : Observatoire de Paris Meudon)
A lire sur mon blog le dernier article sur ma nomination au grade d'ingénieur du CNRS ceci explique le mot "pantois" que j'emploie pour ce sujet délicat.
ici : http://astro-notes.over-blog.fr/ (sous le titre : Observatoire de Paris Meudon)
Par bricoleur j'entends occupé de manière importante à intervenir sur les équipements et les expériences scientifiques pour les faire fonctionner: gestion des pannes, exécution des procédures mises au point par les scientifiques, gestion des problématiques de mise en œuvre, etc...
A bord de la station spatiale internationale, qui est un environnement beaucoup moins complexe que celui des futures missions sur le sol lunaire, la maintenance des équipements représente une charge lourde pour l'équipage de 6 personnes.
A bord de la station spatiale internationale, qui est un environnement beaucoup moins complexe que celui des futures missions sur le sol lunaire, la maintenance des équipements représente une charge lourde pour l'équipage de 6 personnes.
Pline- Messages : 1140
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En effet les choses ont changées dans les années 80 avec l'enseignement militaire supérieur qui envoie nos officiers se former dans les grandes écoles civiles de niveau 1 en plus de leurs diplômes des écoles militaires.Astro-notes a écrit:Je ne me suis jamais penché sur cette question, mais ces officiers supérieurs diplômés d'écoles supérieures [militaires] qui leur sont toutes dévouées pour leur carrière, me laisse pantois. Mais il faut dire que je ne suis plus dans l'armée active depuis 1977 (45 ans) et les choses ont certainement changées. La technique est présente de partout et aussi bien dans les aéronefs que les bateaux et autres mobiles terrestres qu'il faut bien un bagage technique si non ingénieur. !
A lire sur mon blog le dernier article sur ma nomination au grade d'ingénieur du CNRS ceci explique le mot "pantois" que j'emploie pour ce sujet délicat.
ici : http://astro-notes.over-blog.fr/ (sous le titre : Observatoire de Paris Meudon)
Clg_55- Messages : 230
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Je crois même que l’école de l'air (qui forme les officiers de l'armée de l'air) est plus ou moins considéré comme une école d’ingénieur, mais je sais pas s'ils ont vraiment le titre.Clg_55 a écrit:IL faut savoir qu'une grande partie des officiers supérieurs de formation scientifique dans nos armées sont titulaires de diplômes d'ingénieur de grandes écoles.
Ils possèdent donc à la fois la rigueur militaire et des compétences techniques leur permettant d'aborder de nombreux domaines scientifiques.
Je confirmé, tout les inge ne sont pas très manuel.....vp a écrit:Je travaille dans l'ingénierie (travaux publics) depuis 20 ans.
Je ne dirais pas qu'ingénieur = bricoleur.
Il y a même peu d'ingénieur qui sont manuel.
mais (attention je vais paraître condescendant!) c'est plus facile de sélectionner parmi les ingénieurs ceux qui sont manuel que parmi les maçons ceux qui savent résoudre une différentiel par la transformé de Fourier.
C'est un peu le même principe pour la "rigueur militaire". En faite il cherche pas un type prêt a obéir aveuglement a n'importe quelque ordre (même dans l'armée c'est plus vraiment ça). mais quelqu'un capable de "jouer en équipe", comprenant l'importance de la hiérarchie, et solide mentalement . Ce n'est pas des compétence exclusivement militaire (d'ailleurs je connais un sergent chef indépendantiste corse , allez comprendre ) c'est pour ça qu'il n'y a plus un majorité de militaire parmi les astronautes , mais on les retrouvera plus facilement ces compétences chez des militaire que dans un groupe anarchiste....
Les trois écoles de formation initiale de nos officiers (Saint Cyr, École de l'Air et École Navale) délivrent à leurs officiers de formation scientifique ayant suivi une prépa (Sup+Spé) un diplôme d'ingénieur généraliste après 3 ans d'étude (soit un diplôme de BAC+5)phenix a écrit:Je crois même que l’école de l'air (qui forme les officiers de l'armée de l'air) est plus ou moins considéré comme une école d’ingénieur, mais je sais pas s'ils ont vraiment le titre.Clg_55 a écrit:IL faut savoir qu'une grande partie des officiers supérieurs de formation scientifique dans nos armées sont titulaires de diplômes d'ingénieur de grandes écoles.
Ils possèdent donc à la fois la rigueur militaire et des compétences techniques leur permettant d'aborder de nombreux domaines scientifiques.
Clg_55- Messages : 230
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Attention ne pas commettre d'erreur l'Ecole de l'Air (Salon de Provence) est une réelle école d'ingénieur, il se trouve que sur le même terrain il y a une école d'aviation qui délivre une qualification de pilote militaire. Certains élèves devenus ingénieurs peuvent intégrer cette école d'aviation (au prix de la sélection originale des pilotes) et s'ils sortent qualifiés ils feront leurs humanités dans une escadrille de l'Armée de l'Air, puis par la suite rejoindront les écoles supérieures militaires où les attendent doctorat et grades d'officier généraux par la suite (les marins aussi avec l'Ecole Navale) ; l'élite de l'élite.
https://twitter.com/francebleuazur/status/1598232178286292998
jassifun- Messages : 4968
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Quel avenir pour les nouveaux astronautes de l'ESA ?
Didier Schmitt a écrit:« Nous avons déjà négocié avec la NASA pour avoir quatre vols de six mois entre 2025 et 2030. Soit nous arrivons à négocier un vol supplémentaire, soit nous pourrions faire trois vols longs et deux vols courts […] pour réussir à faire voler [un nouvel astronaute] chaque année », explique Didier Schmitt.
jassifun- Messages : 4968
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jassifun a écrit:Quel avenir pour les nouveaux astronautes de l'ESA ?Didier Schmitt a écrit:« Nous avons déjà négocié avec la NASA pour avoir quatre vols de six mois entre 2025 et 2030. Soit nous arrivons à négocier un vol supplémentaire, soit nous pourrions faire trois vols longs et deux vols courts […] pour réussir à faire voler [un nouvel astronaute] chaque année », explique Didier Schmitt.
"Cet emploi du temps strict impliquerait cinq longues années d’attente pour le dernier à s’envoler, une situation très similaire à celle de Thomas Pesquet, qui a été le dernier des « Shenanigans » (surnom donné à la promotion d’astronaute de 2009) à rejoindre la Station spatiale internationale (ISS), en 2016."
Le prochain a voler es Mogensen (fin 2023).
Puis devrait suivre Peake et Maurer (l'ESA avait annoncé que tous les astronautes de la classe 2009 se verrait proposer un second vol ... et Maurer a été rattaché à cette sélection).
Donc pour que les 5 nouveaux astronautes puissent voler sur l'ISS, il faut donc que les 2 vols de Peake et Maurer soit en 2024. Je doute.
Il est probable qu'un ou plusieurs astronautes ne volent jamais sur l'ISS et doivent attendre longtemps avant de voler.
De futurs Nicollier ou Fuglesang ? Ils ont tous 2 attendus très longtemps, mais on eu une très belle carrière.
vp- Messages : 4557
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De mémoire peake est "en retrait " de l esa *je me souviens plus de la formulation exacte". Donc sont tour pourrais sauter, donc maurer en 2024 (peut être pour ouvrir les jo de Paris, en plus il parle français parfaitement). Puis on attaque les nouveaux, sûrement avec Sophie en tête de liste (dommage que se ne soit pas elle en 2024)
phenix a écrit:De mémoire peake est "en retrait " de l esa *je me souviens plus de la formulation exacte". Donc sont tour pourrais sauter, donc maurer en 2024 (peut être pour ouvrir les jo de Paris, en plus il parle français parfaitement). Puis on attaque les nouveaux, sûrement avec Sophie en tête de liste (dommage que se ne soit pas elle en 2024)
Peake n'est pas du tout en retrait.
jassifun- Messages : 4968
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J ai vu passer plusieurs messages de ce typeHayabusa2015 a écrit:Je me permets : Tim Peake est en "disponibité" et ne devrait pas revenir actif. Donc, il n'y a qu'une britannique (d'Irlande).
Pour le portail, Sophie Adénot est bourguignonne (on est content là bas ) et pilote de l'armée de l'Air et de l'Espace (et non de Terre)
phenix a écrit:J ai vu passer plusieurs messages de ce typeHayabusa2015 a écrit:Je me permets : Tim Peake est en "disponibité" et ne devrait pas revenir actif. Donc, il n'y a qu'une britannique (d'Irlande).
Pour le portail, Sophie Adénot est bourguignonne (on est content là bas ) et pilote de l'armée de l'Air et de l'Espace (et non de Terre)
Tim Peake n'a pas démissionné de son poste d'astronaute.
Dans l'attente d'une affectation, il s'ocuppe : en disponibilité, détaché, etc. appelez cela comme vous le voulez.
Dès qu'une opportunité de vol se présentera pour lui, il commencera l'entrainement.
A n'en pas douter (sauf soucis médical que personne ne lui souhaite), il sera le prochain astronaute de l'ESA à voler après Mogensen.
vp- Messages : 4557
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Raphaël Liégeois, le nouvel astronaute belge, reçu au château de Laeken: “Le Roi est passionné par l’espace”
jassifun- Messages : 4968
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C'est vrai! Le Prince Philippe en 92 avait téléphoné à Frimout depuis Houston pendant STS 45, puis en 2002, est allé personnellement accueillir De Winne dans les plaines du Kazakhstan, à la hauteur de la capsule revenue de l'espace. De plus, il se souvient d'Apollo, et son oncle le Roi Baudouin, était un astronome amateur qui avait son propre télescope. En 69, le Roi Baudouin était sur place pour le lancement d'Apollo 10!
Anecdote: en 2002, au Planétarium de Bruxelles, j'y étais avec des amis, pour une conférence en direct avec Frank depuis l'ISS....A la fin, un membre du service de l'ordre m'a demandé de me déplacer et hop, qui est là ? Le Prince Philippe qui allait vers la sortie ! Et depuis le 21/7/13, il est Roi.
Anecdote: en 2002, au Planétarium de Bruxelles, j'y étais avec des amis, pour une conférence en direct avec Frank depuis l'ISS....A la fin, un membre du service de l'ordre m'a demandé de me déplacer et hop, qui est là ? Le Prince Philippe qui allait vers la sortie ! Et depuis le 21/7/13, il est Roi.
Un nouveau style pour la nouvelle promo
Sara García, la primera mujer española astronauta de la historia: «Sé que soy un símbolo, pero considero que todos los españoles me acompañan en esta misión»
Et des questions super pointues dans l'interview
Sérieusement, vous croyez qu'on photographierait Thomas Pesquet mollement étendu sur un canapé ? Ou en short et tshirt échancré ?
Sara García, la primera mujer española astronauta de la historia: «Sé que soy un símbolo, pero considero que todos los españoles me acompañan en esta misión»
Et des questions super pointues dans l'interview
Je lui demande si, pour se consacrer à l'exploration spatiale, il est indispensable de croire à l'existence d'une vie extraterrestre. « Je pense que oui... Sinon, pourquoi faire ce pas ? Au moins, il serait intéressant de savoir s'il existe des planètes qui peuvent supporter une forme de vie. La curiosité, qui est la plus innée de l'être humain, nous motive à affronter l'abîme, sachant que peut-être vous ne reviendrez même pas. Après tout, les astronautes sont des explorateurs."
Sérieusement, vous croyez qu'on photographierait Thomas Pesquet mollement étendu sur un canapé ? Ou en short et tshirt échancré ?
jassifun- Messages : 4968
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Localisation : Baden Baden
La féminisation du métier..
Voilà ce qui arrive quand on sélectionne des gens pour les quotas et au nom de "l'égalité" à défaut de la compétence, on s'en sert derrière .. Et je reste persuadé que ça fait plus de mal à l'image de la femme qu'autre chose au final
Voilà ce qui arrive quand on sélectionne des gens pour les quotas et au nom de "l'égalité" à défaut de la compétence, on s'en sert derrière .. Et je reste persuadé que ça fait plus de mal à l'image de la femme qu'autre chose au final
Séraphin Lampion- Messages : 155
Inscrit le : 10/08/2022
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Localisation : Grenoble
jassifun a écrit:Un nouveau style pour la nouvelle promo
Sara García, la primera mujer española astronauta de la historia: «Sé que soy un símbolo, pero considero que todos los españoles me acompañan en esta misión»
Et des questions super pointues dans l'interviewJe lui demande si, pour se consacrer à l'exploration spatiale, il est indispensable de croire à l'existence d'une vie extraterrestre. « Je pense que oui... Sinon, pourquoi faire ce pas ? Au moins, il serait intéressant de savoir s'il existe des planètes qui peuvent supporter une forme de vie. La curiosité, qui est la plus innée de l'être humain, nous motive à affronter l'abîme, sachant que peut-être vous ne reviendrez même pas. Après tout, les astronautes sont des explorateurs."
Sérieusement, vous croyez qu'on photographierait Thomas Pesquet mollement étendu sur un canapé ? Ou en short et tshirt échancré ?
La preuve que oui :
Ok, bien vu.
jassifun- Messages : 4968
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Localisation : Baden Baden
Séraphin Lampion a écrit:La féminisation du métier..
Voilà ce qui arrive quand on sélectionne des gens pour les quotas et au nom de "l'égalité" à défaut de la compétence, on s'en sert derrière .. Et je reste persuadé que ça fait plus de mal à l'image de la femme qu'autre chose au final
...
"En 2018, elle a obtenu son doctorat cum laude en biologie moléculaire du cancer et a reçu un prix extraordinaire de fin d'études. Pendant sa période de doctorat, elle a travaillé comme assistante de recherche universitaire pour le Conseil supérieur de la recherche scientifique (CSIC) menant des recherches sur la médecine du cancer1.
Depuis 2019, elle travaille comme chercheuse postdoctorale au Centre national de recherche sur le cancer (CNIO), où elle dirige un projet de découverte de nouveaux médicaments contre le cancer du poumon et du pancréas dans le laboratoire du biochimiste espagnol Mariano Barbacid2."
TheRathalos- Messages : 919
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