SLS block 1 (Orion Artemis-1) - KSC - 16.11.2022 (2/2)

Manœuvres d'attitude avant la mise à feu pour le retour !

Mise à FEU pour le RETOUR ! On l'espère !

20 minutes à attendre !

Signal acquis 

confirmation de la mise à feu !

Orion rentre à la maison 

Juste après le survol, Orion, la Lune et la Terre

Akwa a écrit:Juste après le survol, Orion, la Lune et la Terre

Et le globe rougeâtre en bas à droite ?

Et la tache rougeâtre en bas à droite ?

C'est Mars !
C'est un reflet du soleil, comme l'arc de lumière en haut à gauche.

Akwa a écrit:

Et la tache rougeâtre en bas à droite ?

C'est Mars !
C'est un reflet du soleil, comme l'arc de lumière en haut à gauche.

ça doit être en effet  le reflet du soleil ! un quatuor 

Toujours après le survol, Orion et du gruyère.

Giwa a écrit:Et le globe rougeâtre en bas à droite ?

C'est rien ou presque : juste l'exoplanète Melancholia qui passe nous faire un p'tit coucou...

Une question sur le principe du pilotage de la capsule lors de la réentrée atmosphérique pour viser le point de récupération dans l’océan pacifique de la capsule Orion. 
Celui-ci est-il le même que pour les capsules Apollo c'est-à-dire, de mémoire, le centre de gravité du vaisseau est déporté ce qui permet, en la faisant tourner sur elle-même avec les RCS de modifier l’incidence donc l’angle d’attaque du bouclier thermique donc sa finesse aérodynamique ?
Centre de gravité en bas la finesse diminue le vaisseau plane moins on raccourci le vol centre de gravité en haut on augmente la finesse l’incidence du bouclier thermique dans le vent relatif diminue le vol dure plus longtemps on allonge la trajectoire ?
Ou c’est un autre principe qui est utilisé pour la précision du point de rendez-vous dans le pacifique ?

Inspection du vaisseau spatial avant son retour sur Terre par ses caméras embarquées : Tout est ok !

Retour du ML au VAB par le CT2.

Site d’atterrissage a 300 nautiques au sud de San Diego choisi.

Donc en gros a l'ouest de la peninsule de Vizcaino

jassifun a écrit:Site d’atterrissage a 300 nautiques au sud de San Diego choisi.

Donc en gros a l'ouest de la peninsule de Vizcaino

site d'amerrissage

Montgomery a écrit:Une question sur le principe du pilotage de la capsule lors de la réentrée atmosphérique pour viser le point de récupération dans l’océan pacifique de la capsule Orion. 
Celui-ci est-il le même que pour les capsules Apollo c'est-à-dire, de mémoire, le centre de gravité du vaisseau est déporté ce qui permet, en la faisant tourner sur elle-même avec les RCS de modifier l’incidence donc l’angle d’attaque du bouclier thermique donc sa finesse aérodynamique ?
Centre de gravité en bas la finesse diminue le vaisseau plane moins on raccourci le vol centre de gravité en haut on augmente la finesse l’incidence du bouclier thermique dans le vent relatif diminue le vol dure plus longtemps on allonge la trajectoire ?
Ou c’est un autre principe qui est utilisé pour la précision du point de rendez-vous dans le pacifique ?

Voilà ce que j'ai trouvé :

La séparation ESM - Orion est prévu le 11 déc. à 17h00 UTC et l'amerrissage proche de San Diego, sur la côte Pacifique de la Californie à 17h40 UTC.

Wakka a écrit:

Bien pour ce graphique, il éclaire le sujet, la surface portante de la capsule Orion étant plus grande, mais aussi avec un profil différent, la portance est en conséquence.
En réduisant l'incidence du bouclier, peut-être par le même principe que les capsules Apollo, on voit que Orion, peut remonter de 20.000 ft jusqu'à 30.000 ft tout en perdant de la vitesse ce qui allonge de 2500 miles.
Donc 2500 miles c'est je pense la distance de réglage possible du point d'aboutissement ?

https://twitter.com/HowardHuNASA/status/1601275249567272960

Oui, le graphe vert représente une rentrée balistique sous très forte décélération façon Soyouz en perdition (10 g et +) ou Apollo au retour de la Lune et il faut encaisser par opposition aux entrées avec rebond (longues) qui se font sous des décélérations beaucoup plus faibles (4 à 5 g) graphe bleu foncé. 

Astro-notes a écrit:Oui, le graphe vert représente une rentrée balistique sous très forte décélération façon Soyouz en perdition (10 g et +) ou Apollo au retour de la Lune et il faut encaisser par opposition aux entrées avec rebond (longues) qui se font sous des décélérations beaucoup plus faibles (4 à 5 g) graphe bleu foncé. 

Ok, c'est la méthode utilisée pour réaliser un « short skid » ou un « long skid » qui est intéressant de savoir.
Même principe que les capsules Apollo pour raccourcir ou allonger la trajectoire pour viser le point d'aboutissement prévu ?

Une infographie encore plus détaillée du retour d'Orion. Après séparation Orion / ESM, le vaisseau spatial effectuera une entrée par rebond, afin qu'il puisse amerrir avec précision sur le site sélectionné.



Ralenti à ~520 km/h à ~8 km d'altitude, une série de déploiements de 11 parachutes démarrera, ralentissant Orion à ~32 km/h.

Quelques valeurs (en système métrique !! ) d'Orion en ce 10 décembre : (14,187 psi = 0,978 bar)



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