L'anniversaire du jour (part I)
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La race de Leika (ne me demandez pas laquelle) et de ses collègues est parait-il l'une des plus docile et calme. C'est vrai que le yorkshire ça l'aurait pas trop faitSpaceNut a écrit:Pour les photos de propagande ça ne l'aurait pas fait ! Tout le monde aurait rigolé !Patrick R7 a écrit:D'ailleurs, notons en passant, que les soviétiques n'avaient pas de yorkshire à leur disposition
Sinon je crois qu'elle a sa statue à la cité de l'espace au même titre que Gagarine !
Invité- Invité
Steph a écrit:La race de Leika (ne me demandez pas laquelle) et de ses collègues est parait-il l'une des plus docile et calme. C'est vrai que le yorkshire ça l'aurait pas trop fait
Sinon je crois qu'elle a sa statue à la cité de l'espace au même titre que Gagarine !
Elle le mérite bien !! (je vais chercher pour la race de chien !)
La vraie histoire de la première chienne dans l’espace !
A peu près tout le monde sait que Laïka fut la première chienne à voyager dans l’espace. Mais connaissez-vous vraiment son histoire ainsi que celles des autres chiens de l’espace qui, à l’origine, étaient tous des chiens errants recueillis dans les rues de Moscou?
En fait, la première utilisation de chiens dans l’Histoire de la conquête de l’espace débute le 15 août 1951 avec Dezik et Tsygan lorsqu’ils effectuent avec succès un vol suborbital. Dezik fait un autre vol avec Lisa en septembre mais les deux chiens ne survivent pas. Ce furent les deux premières victimes de l’exploration spatiale.
Toujours en septembre 1951, Malyshka et Smelaya sont prêts à partir mais cette dernière, la veille du départ, fugue dans la forêt avoisinante infestée de loups. Après une journée de recherche, on finit par la retrouver et le vol a finalement lieu sans encombre. C’est ainsi que pendant plusieurs années, de très nombreux vols suborbitaux d’essai avec une douzaine de chiens sont effectués souvent avec succès et parfois avec échec. Une chienne, Otvazhnaya effectue même cinq vols en altitude de 1950 à 1960.
Mais le sacrifice et les efforts de tous ces chiens sont tombés dans l’oubli. Un seul nom a passé l’épreuve du temps, Laïka. Son histoire débute véritablement le 4 octobre 1957, lorsque l’URSS met finalement en orbite Spoutnik I, son premier satellite. Une petite sphère qui fait le tour de la Terre pendant 22 jours, sans personne dans son habitacle.
Une dizaine de jours après le lancement, Nikita Khrouchtchev, le président russe, ordonne de mettre immédiatement en orbite un autre satellite avec cette fois-ci, un être vivant à l’intérieur afin de célébrer le 40e anniversaire de la Révolution bolchevique qui aura lieu le 7 novembre. Sergei Korolev, chef du programme spatial, lui signale qu’il est impossible d’être prêt avant le mois de décembre. Khrouchtchev, qui veut impressionner les Américains, insiste et en moins de trois semaines, Spoutnik II voit le jour, sans design préliminaire et sans véritable test de fiabilité. Une précipitation qui allait s’avérer fatale.
C’est ainsi que le dimanche 3 novembre à 22 h 28, Spoutnik II qui signifie compagnon de route, prend son envol avec, évidemment, un chien à son bord ! La nouvelle fait le tour du monde et bientôt, plus personne n’ignore le nom de Laïka, qui signifie en russe, petit aboyeur et qui désigne aussi une race de Huskie. De là, la confusion concernant son nom à l’échelle mondiale car dans les faits, Laïka se nomme Kudryavka ! Dans les laboratoires de recherche, les scientifiques lui donnent même différents surnoms comme Zhuchka, Kurdrajevskaya ou Limonchik. Les Américains, eux, la surnomment, Muttnik !
Laïka, petite chienne errante des rues de Moscou, au pelage court noir et blanc, âgée de deux ans, pèse six kilogrammes, est extrêmement calme et docile. Ce sont ses qualités qui lui permettent d’être sélectionnée comme les autres chiens errants du programme spatial et de passer au travers un entraînement qui consiste principalement à supporter une combinaison de cosmonaute, vivre dans une toute petite cage (sa cabine pressurisée ne mesure que 80 cm de long), résister aux forces G, à un bruyant simulateur de vol ainsi qu’à de nombreuses vibrations. Sa combinaison qui laisse passer la tête, les pattes et la queue est reliée à des courroies, elles-même fixées aux parois du Spoutnik et de la cabine capitonnée. La chienne peut à peine se lever, se coucher et se nourrir d’une ration quotidienne composée d’Agar-agar, une gélatine obtenue à partir du collagène des tissus animaux (os, peau, etc), à laquelle on ajoute une base de viande, de pain en poudre et de graisse. Un réservoir de caoutchouc relié à la portion arrière de sa combinaison récolte son urine et ses excréments. C’est d’ailleurs pour simplifier cette dernière opération que l’on préfère sélectionner des femelles.
Laïka est installée dans sa cabine trois jours avant le départ, non sans avoir été lavée puis désinfectée aux endroits où sont installées les électrodes. Car, Laïka est sous haute surveillance ! De nombreux fils émanent de son costume, informant les scientifiques de son rythme cardiaque, de sa fréquence respiratoire, de ses activités motrices et de sa pression artérielle. Une caméra et un émetteur radio permettent, au travers d’un hublot de verre, d’observer ses faits et gestes. Évidemment, d’autres instruments de mesure permettent de calculer la température de la cabine ainsi que la pression atmosphérique. Des spectromètres évaluent l’émission de rayons X et d’ultraviolets émis par le soleil.
Selon un rapport d'Alexandre Tochlev, secrétaire de l'Académie soviétique des sciences, lors du décollage où le bruit est assourdissant et la vibration extrême, Laïka commence à haleter furieusement. Désemparée et stressée, elle gigote énormément, tandis que son coeur bat à un rythme trois fois plus élevé. Lors de la période d’accélération, elle se retrouve plaquée au sol de sa cabine.
Une fois en orbite, Laïka découvre l’état d’apesanteur et son rythme cardiaque chute dramatiquement pour revenir à un nombre de battements à peine supérieur à la normale.
Dès le départ, il est entendu que Laïka ne reviendra jamais vivante sur Terre car le Spoutnik n’est pas équipé pour ce genre de manœuvre. Selon certaines sources officielles de l’époque, le septième jour dans l'espace, sa ration de nourriture doit contenir un poison destiné à l'euthanasier. Selon d’autres, il est initialement prévu que Laïka meure d'un manque d'oxygène, dix jours après le lancement ou qu’un gaz mortel soit relâché au bout de quatre jours. Mais rien ne fonctionne comme prévu…
Et ce n’est qu’en 2002, lors du World Space Congress qui se tient à Houston, que la vérité éclate grâce aux confidences du Docteur Dmitry Malashenkov de l’Institut russe des problèmes biomédicaux.
Selon le scientifique, voici ce qui s’est réellement passé : juste après sa mise en orbite, le satellite ne se sépara pas des réacteurs comme il était prévu, ce qui causa de graves problèmes de régulation thermique. Au bout de quatre ou cinq heures de vol, on assista alors à une dramatique élévation de la température à l’intérieur de l’habitacle (41°C). Comble de malheur et surtout faute de planification, la capsule ne possédait aucune protection contre les radiations solaires, ce qui augmenta encore plus la chaleur.
A compter de la cinquième heure, on n’enregistra plus aucune donnée de la petite chienne. Tout donne à penser qu’elle mourût après être tombée dans le coma, non sans avoir atrocement souffert de la chaleur, de déshydratation et de convulsions.
Contrairement à la version officielle qui fera croire à l’ensemble de la planète pendant des décennies au succès de cette mission, elle fut en fait un échec !
Le 14 avril 1958, le cercueil spatial de Laïka se consume dans l'atmosphère, 163 jours après son lancement. La dépouille de Laïka a accompli 2 570 révolutions de 104 minutes autour de la Terre et a couvert une distance d’environ 100 millions de kilomètres.
Le 19 août 1960, deux autres chiennes, Strelka (petite flèche) et Belka (écureuil), partent dans l’espace à bord de Spoutnik 5 pour revenir cette fois-ci, saines et sauves sur Terre après 18 orbites. Elles sont accompagnées de 40 souris et deux rats. Pour la petite histoire, il est intéressant de savoir que quelques mois après son voyage, Strelka donne naissance à six chiots! Un de ces bébés, Pushinka, est donné aux enfants du président John F. Kennedy, non sans avoir passé entre les mains du FBI qui avait peur que des micros aient été dissimulés à l’intérieur du chiot…
Après ce vol réussi, de nombreux autres chiens retournèrent dans l’espace au cours des années soixante. Au total, 14 chiens sont ainsi mis en orbite dont quatre trouvèrent malheureusement la mort. En 1966, Verterok (petit vent) et Ugolyok (petit morceau de Coal) établissent un record en passant 22 jours en orbite. Ils reviennent sur Terre vivants le 16 mars 1966.
Depuis 1997, Laïka, cette étoile filante de l’aéronautique russe possède sa propre plaque commémorative au cœur de Star City, tout près de Moscou.
A peu près tout le monde sait que Laïka fut la première chienne à voyager dans l’espace. Mais connaissez-vous vraiment son histoire ainsi que celles des autres chiens de l’espace qui, à l’origine, étaient tous des chiens errants recueillis dans les rues de Moscou?
En fait, la première utilisation de chiens dans l’Histoire de la conquête de l’espace débute le 15 août 1951 avec Dezik et Tsygan lorsqu’ils effectuent avec succès un vol suborbital. Dezik fait un autre vol avec Lisa en septembre mais les deux chiens ne survivent pas. Ce furent les deux premières victimes de l’exploration spatiale.
Toujours en septembre 1951, Malyshka et Smelaya sont prêts à partir mais cette dernière, la veille du départ, fugue dans la forêt avoisinante infestée de loups. Après une journée de recherche, on finit par la retrouver et le vol a finalement lieu sans encombre. C’est ainsi que pendant plusieurs années, de très nombreux vols suborbitaux d’essai avec une douzaine de chiens sont effectués souvent avec succès et parfois avec échec. Une chienne, Otvazhnaya effectue même cinq vols en altitude de 1950 à 1960.
Mais le sacrifice et les efforts de tous ces chiens sont tombés dans l’oubli. Un seul nom a passé l’épreuve du temps, Laïka. Son histoire débute véritablement le 4 octobre 1957, lorsque l’URSS met finalement en orbite Spoutnik I, son premier satellite. Une petite sphère qui fait le tour de la Terre pendant 22 jours, sans personne dans son habitacle.
Une dizaine de jours après le lancement, Nikita Khrouchtchev, le président russe, ordonne de mettre immédiatement en orbite un autre satellite avec cette fois-ci, un être vivant à l’intérieur afin de célébrer le 40e anniversaire de la Révolution bolchevique qui aura lieu le 7 novembre. Sergei Korolev, chef du programme spatial, lui signale qu’il est impossible d’être prêt avant le mois de décembre. Khrouchtchev, qui veut impressionner les Américains, insiste et en moins de trois semaines, Spoutnik II voit le jour, sans design préliminaire et sans véritable test de fiabilité. Une précipitation qui allait s’avérer fatale.
C’est ainsi que le dimanche 3 novembre à 22 h 28, Spoutnik II qui signifie compagnon de route, prend son envol avec, évidemment, un chien à son bord ! La nouvelle fait le tour du monde et bientôt, plus personne n’ignore le nom de Laïka, qui signifie en russe, petit aboyeur et qui désigne aussi une race de Huskie. De là, la confusion concernant son nom à l’échelle mondiale car dans les faits, Laïka se nomme Kudryavka ! Dans les laboratoires de recherche, les scientifiques lui donnent même différents surnoms comme Zhuchka, Kurdrajevskaya ou Limonchik. Les Américains, eux, la surnomment, Muttnik !
Laïka, petite chienne errante des rues de Moscou, au pelage court noir et blanc, âgée de deux ans, pèse six kilogrammes, est extrêmement calme et docile. Ce sont ses qualités qui lui permettent d’être sélectionnée comme les autres chiens errants du programme spatial et de passer au travers un entraînement qui consiste principalement à supporter une combinaison de cosmonaute, vivre dans une toute petite cage (sa cabine pressurisée ne mesure que 80 cm de long), résister aux forces G, à un bruyant simulateur de vol ainsi qu’à de nombreuses vibrations. Sa combinaison qui laisse passer la tête, les pattes et la queue est reliée à des courroies, elles-même fixées aux parois du Spoutnik et de la cabine capitonnée. La chienne peut à peine se lever, se coucher et se nourrir d’une ration quotidienne composée d’Agar-agar, une gélatine obtenue à partir du collagène des tissus animaux (os, peau, etc), à laquelle on ajoute une base de viande, de pain en poudre et de graisse. Un réservoir de caoutchouc relié à la portion arrière de sa combinaison récolte son urine et ses excréments. C’est d’ailleurs pour simplifier cette dernière opération que l’on préfère sélectionner des femelles.
Laïka est installée dans sa cabine trois jours avant le départ, non sans avoir été lavée puis désinfectée aux endroits où sont installées les électrodes. Car, Laïka est sous haute surveillance ! De nombreux fils émanent de son costume, informant les scientifiques de son rythme cardiaque, de sa fréquence respiratoire, de ses activités motrices et de sa pression artérielle. Une caméra et un émetteur radio permettent, au travers d’un hublot de verre, d’observer ses faits et gestes. Évidemment, d’autres instruments de mesure permettent de calculer la température de la cabine ainsi que la pression atmosphérique. Des spectromètres évaluent l’émission de rayons X et d’ultraviolets émis par le soleil.
Selon un rapport d'Alexandre Tochlev, secrétaire de l'Académie soviétique des sciences, lors du décollage où le bruit est assourdissant et la vibration extrême, Laïka commence à haleter furieusement. Désemparée et stressée, elle gigote énormément, tandis que son coeur bat à un rythme trois fois plus élevé. Lors de la période d’accélération, elle se retrouve plaquée au sol de sa cabine.
Une fois en orbite, Laïka découvre l’état d’apesanteur et son rythme cardiaque chute dramatiquement pour revenir à un nombre de battements à peine supérieur à la normale.
Dès le départ, il est entendu que Laïka ne reviendra jamais vivante sur Terre car le Spoutnik n’est pas équipé pour ce genre de manœuvre. Selon certaines sources officielles de l’époque, le septième jour dans l'espace, sa ration de nourriture doit contenir un poison destiné à l'euthanasier. Selon d’autres, il est initialement prévu que Laïka meure d'un manque d'oxygène, dix jours après le lancement ou qu’un gaz mortel soit relâché au bout de quatre jours. Mais rien ne fonctionne comme prévu…
Et ce n’est qu’en 2002, lors du World Space Congress qui se tient à Houston, que la vérité éclate grâce aux confidences du Docteur Dmitry Malashenkov de l’Institut russe des problèmes biomédicaux.
Selon le scientifique, voici ce qui s’est réellement passé : juste après sa mise en orbite, le satellite ne se sépara pas des réacteurs comme il était prévu, ce qui causa de graves problèmes de régulation thermique. Au bout de quatre ou cinq heures de vol, on assista alors à une dramatique élévation de la température à l’intérieur de l’habitacle (41°C). Comble de malheur et surtout faute de planification, la capsule ne possédait aucune protection contre les radiations solaires, ce qui augmenta encore plus la chaleur.
A compter de la cinquième heure, on n’enregistra plus aucune donnée de la petite chienne. Tout donne à penser qu’elle mourût après être tombée dans le coma, non sans avoir atrocement souffert de la chaleur, de déshydratation et de convulsions.
Contrairement à la version officielle qui fera croire à l’ensemble de la planète pendant des décennies au succès de cette mission, elle fut en fait un échec !
Le 14 avril 1958, le cercueil spatial de Laïka se consume dans l'atmosphère, 163 jours après son lancement. La dépouille de Laïka a accompli 2 570 révolutions de 104 minutes autour de la Terre et a couvert une distance d’environ 100 millions de kilomètres.
Le 19 août 1960, deux autres chiennes, Strelka (petite flèche) et Belka (écureuil), partent dans l’espace à bord de Spoutnik 5 pour revenir cette fois-ci, saines et sauves sur Terre après 18 orbites. Elles sont accompagnées de 40 souris et deux rats. Pour la petite histoire, il est intéressant de savoir que quelques mois après son voyage, Strelka donne naissance à six chiots! Un de ces bébés, Pushinka, est donné aux enfants du président John F. Kennedy, non sans avoir passé entre les mains du FBI qui avait peur que des micros aient été dissimulés à l’intérieur du chiot…
Après ce vol réussi, de nombreux autres chiens retournèrent dans l’espace au cours des années soixante. Au total, 14 chiens sont ainsi mis en orbite dont quatre trouvèrent malheureusement la mort. En 1966, Verterok (petit vent) et Ugolyok (petit morceau de Coal) établissent un record en passant 22 jours en orbite. Ils reviennent sur Terre vivants le 16 mars 1966.
Depuis 1997, Laïka, cette étoile filante de l’aéronautique russe possède sa propre plaque commémorative au cœur de Star City, tout près de Moscou.
Intéressante histoire !
Par contre le fait que les chiens aient été récupérés dans la rue me laisse dubitatif :|
Par contre le fait que les chiens aient été récupérés dans la rue me laisse dubitatif :|
Invité- Invité
Steph a écrit:La race de Leika (ne me demandez pas laquelle) et de ses collègues est parait-il l'une des plus docile et calme. C'est vrai que le yorkshire ça l'aurait pas trop fait
Sinon je crois qu'elle a sa statue à la cité de l'espace au même titre que Gagarine !
C'était un batard, je croisSpaceNut a écrit:Elle le mérite bien !! (je vais chercher pour la race de chien !)
Patrick- Invité
Steph a écrit:Intéressante histoire !
Par contre le fait que les chiens aient été récupérés dans la rue me laisse dubitatif :|
C'est bien ce que je pensais : ce sont des batards. Come les chiens de cirque
Patrick- Invité
Même sans être Brigitte Bardot et être du sexe opposé on peut trouver cette précipitation imposée par Kroutchev pas très honorable...surtout que dans de telles conditions celà n'apportait pas grand chose au niveau scientifique.Il n'y a pas besoin d'être un grand biologiste pour comprendre que la pauvre chienne ne tiendrait pas très longtemps . Mais si il n'y avait que çà ...il y avait aussi des hommes qui souffraient dans dans certains lieux...et tout çà continue ailleurs.Quand la barbarie cessera-t-elle?Aragatz a écrit:De quoi s'attirer les foudres de Brigitte Bardot, ces Soviétiques !
Giwa
Giwa- Donateur
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Localisation : Draguignan
c'est t'y pas émouvant ?
Patrick- Invité
et celle-ci ?
Patrick- Invité
1918 – Naissance de Werner Baum. Ancien de Peenemünde où il était ingénieur contrôle sur le programme A4. Déporté en Union Soviétique pour travailler sur les fusées.
1919 – Naissance de Oskar Holderer. Ancien de Peenemünde, membre du « Rocket Team », spécialiste en aérodynamique, concepteur de souffleries. A travaillé avec Arthur Rudolph sur les missiles Pershing.
1947 – Lancement d’une fusée A4 à 15:02 GMT de Kapustin Yar. L’engin atteint l’altitude de 89 km. Portée 286 km.
1962 – Décès d’un vétéran du programme Mercury, Enos, le premier chimpanzé en orbite lors de la mission Mercury-Atlas 5 (MA-5) meurt à l’âge de six ans, à la base aérienne Holloman, Nouveau Mexique. Depuis deux mois Enos est sous surveillance constante et soigné pour un cas très grave de dysenterie causée par un bacille résistant aux antibiotiques (shigellose). Sa maladie et son décès n’ont aucun lien avec son vol spatial de l’année précédente. Project Mercury Ballistic and Orbital Chimpanzee Flights (CHIMP) et un film retraçant son vol !
1981 – Lancement de Venera 14 à 05:31 GMT.
1994 – Atterrissage de Soyouz TM-19 à 07:30 GMT. A bord Yuri Malenchenko, Talgat Musabayev (16 ème expédition vers Mir. Durée de la mission : 125 jours 22 heures 53 minutes 36 secondes) et Ulf Merbold (ESA), parti avec Soyouz 20 le 3 octobre 1994.
IN MEMORIAM
August Wilhelm Schulze (1905-2001). Ancien de Peenemünde où il était l’assistant de Theodor Poppel, directeur du bureau qui développait les infrastructures nécessaires au lancement des fusées. Au Marshall, il était directeur du bureau sécurité et fiabilité.
Dernière édition par le Sam 4 Nov 2006 - 14:54, édité 2 fois
je pense que tu aurais pu mettre ENOS dans la catégorie "in memoriam"; cet animal mérittait bien que l'on le traite un peu comme un de ses cousins humains....n'oublions pas que nous avons sans doute un ancêtre commun dont le fossile reste à découvrir.....
dominique M.- Messages : 1863
Inscrit le : 15/10/2005
Localisation : val d'oise
dominique M. a écrit:je pense que tu aurais pu mettre ENOS dans la catégorie "in memoriam"; cet animal mérittait bien que l'on le traite un peu comme un de ses cousins humains....n'oublions pas que nous avons sans doute un ancêtre commun dont le fossile reste à découvrir.....
Tu sais que j' y ai pensé ! ;)
Oui un cousin germain ! D'autant que Enos veut dire homme en hébreux !
Patrick R7 a écrit:et celle-ci ?
Apolloman a écrit:OOOOOOOOOOOh les jolis toutous empaillés.. ;)
De plus, c'est d'un goût esthétique certain
;)
Patrick- Invité
1906 – Naissance de Fred Whipple.
1910 – Naissance de Gerhard Drawe. Ancien de Peenemünde, qui fera partie des 118 premiers savants allemands à partir pour les Etats-Unis.
1958 – Le Space Task Group est officiellement crée, même s’il existe de facto depuis plusieurs mois déjà au sein du Langley Research Center. Les membres ont été sélectionnés par Robert R. Gilruth, il y a notamment Charles Donlan, Maxime Faget, Chuck Matthews, Christopher Kraft, Glynn Lunney, Walter Williams… Ils sont chargés de mettre en place le programme spatial habité… En 1959 ce groupe sera rejoint par 30 ingénieurs du Canada « au chômage » après l’annulation du projet d’avion de chasse [url=http://www.avroarrow.org/AvroArrow/index.html ]Arrow[/url] de la société A.V. Roe Aircraft Company. Parmi ces canadiens dont beaucoup sont en fait britanniques il y a Jim Chamberlin, John Hodge, Owen Maynard, Rodney Rose… A compter de ce jour le Space Task Group dépend du quartier général de la NASA.
1959 – Les astronautes se rendent chez le fabricant B. F. Goodrich Company à Akron, Ohio, pour essayer leur nouvelle combinaison de vol et apprendre à s’en servir. (Goodrich Corporation fabrique aujourd’hui les roues et le système de freinage des navettes)
1963 – En guise de cadeau de mariage Nikita Kruchtchev offre à Adrian Nikolayev et Valentina Tereshkova un luxueux appartement dans une résidence normalement réservée aux plus hauts dirigeants du Parti Communiste. L’appartement compte sept chambres et peut être divisé en deux s’ils veulent vivre chacun de leur côté…
1995 – Atterrissage de Columbia à 11:46 GMT au Centre Spatial Kennedy – Mission STS-73 – après une mission de 15 jours, 21 heures, 53 minutes, 16 secondes.
2003 – Voyager 1 est à 90 UA du soleil. (Le 15 août 2006 Voyager 1 était à 100 UA du soleil)
1961 – Le Marshall Space flight Center demande à North American de « revoir » le deuxième étage (S-II) de la Saturn V afin que ce dernier puisse accueillir 5 moteurs J-2 et non pas deux.
1966 – Lancement de Lunar Orbiter 2 à 23:21 GMT. (6:21 heure locale). Il s’agit de photographier des sites d’atterrissage potentiels pour les missions Apollo. Au cours de cette reconnaissance Lunar Orbiter 2 prendra 208 photos à différentes résolutions, effectuera 205 changements d’attitude et répondra à 2421 « commandes » des opérateurs au sol. Des capteurs détecteront 3 impacts de micro météorites sur le vaisseau.
1985 – Atterrissage de Challenger à 18:01 GMT à Edwards après une mission de 7 jours, 0 heures, 44 minutes, 51 secondes – Mission STS-61A - Seul et unique vol avec 8 astronautes, STS-71 avait 8 personnes à l'atterrissage (retour de Mir-18)
Press Kit
Yantar a écrit:SpaceNut a écrit:
Je pense qu'il y a une petite erreur dans le montage photo. Je ne sais pas de qui il s'agit, mais ce n'est pas Wernhrer von Braun :oops:
Voilà une photo de Von Braun
Non, non il n'y a pas d'erreur c'est bien Baum, un autre spécialiste Allemand des fusées
Pour ma part il a un petit air de Sarkozy dans le regard ;)
Commémoration de la Révolution d’Octobre, aucun lancement soviétique significatif ce jour.
1962 – Grumman Aircraft Engineering Corporation est sélectionné pour la construction du LEM.
1963 – Premier test du LES (Launch Escape System) du CSM à White Sands. Le test qui dure 165,1 secondes est un succès, le seul problème ; de la suie s’est déposé sur le CM…
Apollo Pad Abort Mission I - PA-1
1967 – Lancement de Surveyor 6 à 07:39 GMT. Le 10 novembre l’engin atterrit sur la Lune, prend de nombreuses photos et effectue des analyses d’échantillons. Le 17 novembre les moteurs de Surveyor 6 sont rallumés afin de simuler un décollage, la sonde s’élève de 4 mètres et se repose en douceur 2,5 mètres plus loin.
1996 – Lancement de Mars Global Surveyor à 17:00 GMT.
1998 – Atterrissage de Discovery à 17:03 GMT après une mission de 8 jours, 21 heures, 44 minutes - Mission STS-95 - C’était le 2ème vol de John H. Glenn. Comparatif entre ses deux vols...
SpaceNut a écrit:1963 – Premier test du LES (Launch Escape System) du CSM à White Sands. Le test qui dure 165,1 secondes est un succès, le seul problème ; de la suie s’est déposé sur le CM…
Apollo Pad Abort Mission I - PA-1
Ca demeure toujours impressionnant
Patrick- Invité
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