Venus Express - Mission autour de Vénus
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Dernière édition par tatiana13 le Mer 16 Mar 2011 - 10:58, édité 1 fois
tatiana13- Messages : 6102
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http://www.enjoyspace.com/fr/news/venus-planete-vivante-1
Et voici un article sur Enjoy Space et même si Vénus est géologiquement active cela ne nous aidera pas beaucoup plus vu le fourneau qu'est Vénus
Et voici un article sur Enjoy Space et même si Vénus est géologiquement active cela ne nous aidera pas beaucoup plus vu le fourneau qu'est Vénus
Doc- Messages : 1591
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Doc a écrit:
L'indication la plus claire est que Vénus est toujours géologiquement active. De relative jeunes coulées de lave ont été identifiées par le rayonnement infrarouge.
Cette indication est-elle une réelle bonne nouvelle? Puisque Mars connait elle aussi des coulées de lave encore récente sans pour autant être géologiquement active.
Il faut évidemment s'entendre sur le terme "récent" ..... en géologie quelques millions d'années, c'est récent ... mais probablement que la lave aura alors refroidi et s'il n'y a pas de coulées plus récentes ... on parle d'inactivité.
Si on détecte aux IR .... cela veut dire que le refroidissement n'est pas terminé donc que l'éruption d'origine doit se comptabiliser en dizaine ou maximum centaine d'années ?
Finalement même si c'est un enfer et si l'exploration s'annonce extrêmement compliquée pour le matériel, Venus pourrait redevenir une destination vraiment intéressante (mais on se contentera de sondes et de landers hyper-blindés)
montmein69- Donateur
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http://www.esa.int/esaCP/SEMUDKF098G_index_0.html
Venus Express a complété une série de test nommée aerodrag (c'est quoi au juste?), pendant cinq mesures aerodrag la semaine dernière, les panneaux solaires de Venus Express et des systèmes de commande ont été opérés comme un grand capteur volant, avec les panneaux solaires tournés aux angles divers à la direction de vol.
Venus Express a complété une série de test nommée aerodrag (c'est quoi au juste?), pendant cinq mesures aerodrag la semaine dernière, les panneaux solaires de Venus Express et des systèmes de commande ont été opérés comme un grand capteur volant, avec les panneaux solaires tournés aux angles divers à la direction de vol.
Doc- Messages : 1591
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Doc a écrit:http://www.esa.int/esaCP/SEMUDKF098G_index_0.html
Venus Express a complété une série de test nommée aerodrag (c'est quoi au juste?), pendant cinq mesures aerodrag la semaine dernière, les panneaux solaires de Venus Express et des systèmes de commande ont été opérés comme un grand capteur volant, avec les panneaux solaires tournés aux angles divers à la direction de vol.
En gros traînée atmosphérique.
En variant l'inclinaison des panneaux solaires, on obtient des mesures plus affinées de la densité de l'atmosphère de Vénus à haute altitude (ils précisent 180 km, c'est quand même assez bas). Densité faible certes, mais existante : je rappelle que même l'ISS subit un "drag" qui lui fait perdre de l'altitude.
La variante avec Vénus Express est qu'on ne mesure pas la parte d'altitude, mais la rotation subie par la sonde, car l'orientation des panneaux a été mise en "hélice" (+ 45° pour le panneau solaire à gauche et - 45° à droite par exemple).
Manoeuvre très astucieuse !
Dernière édition par Olivier Sanguy le Mer 21 Avr 2010 - 17:43, édité 1 fois
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Ah merci pour les renseignements :D
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Continued positive results may enable Venus Express to conduct more sophisticated investigations deeper in the atmosphere, which would be of immense interest to planetary scientists.
Ces expérimentations nécessitent de descendre ... donc d'être plus en prise avec la fameuse trainée.
Cela a-t'il des conséquences sur la consommation d'ergols pour ensuite "remonter" ou bien s'achemine-t'on vers une fin de mission où on ne se soucie plus de cette perte d'altitude ?
montmein69- Donateur
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http://www.esa.int/esa-mmg/mmg.pl?b=b&type=I&mission=Venus%20Express&single=y&size=b&start=1
Images prises dans l'ultraviolet à une distance de 30 000 Km.
Images prises en infrarouge et ultraviolet.
Images prises dans l'ultraviolet à une distance de 30 000 Km.
Images prises en infrarouge et ultraviolet.
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Tomorrow, entretien à l'ESOC pour Spacecraft Operation Engineer :) :) :) :) :)
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Dernière édition par tatiana13 le Mer 16 Mar 2011 - 10:59, édité 1 fois
tatiana13- Messages : 6102
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http://www.esa.int/SPECIALS/Venus_Express/SEMVIWSOREG_0.html
L'atmosphère polaire de Vénus serait plus mince que prévu puisque Venus Express a sonder Vénus au cours d'une série de passages à basse altitude en Juillet-Août 2008, Octobre 2009, et Février et avril 2010. L'objectif était de mesurer la densité de la haute atmosphère polaire, une expérience qui n'avait jamais été tentée auparavant sur Vénus.
La campagne a retourné 10 mesures jusqu'à présent et montré que la haute atmosphère au-dessus des pôles est un surprenant 60% plus mince que prévu. Cela pourrait indiquer que des processus naturels imprévus sont à l'œuvre dans l'atmosphère. Une équipe dirigée par Ingo Mueller-Wodarg de l'Imperial College à Londres mènent actuellement une enquête.
L'atmosphère polaire de Vénus serait plus mince que prévu puisque Venus Express a sonder Vénus au cours d'une série de passages à basse altitude en Juillet-Août 2008, Octobre 2009, et Février et avril 2010. L'objectif était de mesurer la densité de la haute atmosphère polaire, une expérience qui n'avait jamais été tentée auparavant sur Vénus.
La campagne a retourné 10 mesures jusqu'à présent et montré que la haute atmosphère au-dessus des pôles est un surprenant 60% plus mince que prévu. Cela pourrait indiquer que des processus naturels imprévus sont à l'œuvre dans l'atmosphère. Une équipe dirigée par Ingo Mueller-Wodarg de l'Imperial College à Londres mènent actuellement une enquête.
Doc- Messages : 1591
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Les manoeuvres abaissant l'orbite pour traverser les hautes couches de l'atmosphère sont intéressantes car elles permettent d'accéder à des données nouvelles.
Le prix à payer c'est qu'il faut ensuite redonner une impulsion pour remonter la sonde.
Le prix à payer c'est qu'il faut ensuite redonner une impulsion pour remonter la sonde.
montmein69- Donateur
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tatiana13- Messages : 6102
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Cinq ans déjà depuis le lancement de Venus Express
Elle a atteint son orbite de destination en avril 2006, au terme d’un voyage de cinq mois. Sa mission concrète autour de Vénus – la planète la plus chaude, en termes de structure, de composition et de dynamique, et la plus proche voisine de la Terre – devait durer deux journées vénusiennes (soit 486 jours terrestres). Cette mission, couronnée de succès, a été prolongée jusqu’au 31 décembre 2012 au moins.
[...]
Un point intéressant à noter : lorsque Venus Express arrivera en toute fin de mission, elle sera la première sonde européenne à tester la technique de l’aéro-freinage, qui consiste à utiliser le freinage sur les couches de l’atmosphère pour abaisser l’orbite d’un satellite, en évitant ainsi de consommer du carburant précieux.
Doc- Messages : 1591
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Bonne occasion pour féliciter l'équipe dirigeante de cette mission qui n'aura jamais les honneurs de J-P Lebreton. Et à l'avance, un bravo pour tous ceux qui nous préparent les prochaines missions vers cette planète, loin du tout-médiatique pro-martien.
Ripley- Messages : 1998
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tatiana13- Messages : 6102
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Animation de la rotation Vénusienne
Une couche de dioxyde de soufre découvert par Venus Express dans les hautes altitudes vient de trouver une explication, les nuages se forment à des altitudes de 50-70 km ainsi, la détection d'une couche de dioxyde de soufre à 90-110 km en 2008 a posé un mystère complet.
Des simulations sur ordinateur effectuer par Xi Zhang au laboratoire de la California Institute of Technology aux États-Unis, montrent que quelques gouttes d'acide sulfurique peuvent s'évaporer à haute altitude, ce qui libère l'acide sulfurique gazeux qui est alors rompu par la lumière du soleil, libérant du dioxyde de soufre de gaz.
Source
Une couche de dioxyde de soufre découvert par Venus Express dans les hautes altitudes vient de trouver une explication, les nuages se forment à des altitudes de 50-70 km ainsi, la détection d'une couche de dioxyde de soufre à 90-110 km en 2008 a posé un mystère complet.
Des simulations sur ordinateur effectuer par Xi Zhang au laboratoire de la California Institute of Technology aux États-Unis, montrent que quelques gouttes d'acide sulfurique peuvent s'évaporer à haute altitude, ce qui libère l'acide sulfurique gazeux qui est alors rompu par la lumière du soleil, libérant du dioxyde de soufre de gaz.
Source
Doc- Messages : 1591
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La sonde Venus Express vit ses derniers moments en orbite.
L'ESA va abaisser l'orbite de la sonde afin d'effectuer des manœuvres d'aérofreinage. Des expériences seront également menées au plus proche de la planète. Venus Express utilise ses dernières réserves d'ergols, il a donc été décidé de précipiter sa fin en vue d'obtenir de l'expérience sur les missions futures qui nécessiteront de l'aérofreinage.
La phase d'aérofreinage aura lieu en juin et juillet, la sonde atteindra alors 130 km voire moins, et il se pourrait qu'elle vide alors complètement ses réserves d'ergols (contrôle d'attitude) ou qu'elle n'y survive pas... Si elle en réchappe, il est estimé que la sonde ne passera pas l'année.
http://www.esa.int/Our_Activities/Space_Science/Venus_Express/Venus_Express_gets_ready_to_take_the_plunge
L'ESA va abaisser l'orbite de la sonde afin d'effectuer des manœuvres d'aérofreinage. Des expériences seront également menées au plus proche de la planète. Venus Express utilise ses dernières réserves d'ergols, il a donc été décidé de précipiter sa fin en vue d'obtenir de l'expérience sur les missions futures qui nécessiteront de l'aérofreinage.
La phase d'aérofreinage aura lieu en juin et juillet, la sonde atteindra alors 130 km voire moins, et il se pourrait qu'elle vide alors complètement ses réserves d'ergols (contrôle d'attitude) ou qu'elle n'y survive pas... Si elle en réchappe, il est estimé que la sonde ne passera pas l'année.
http://www.esa.int/Our_Activities/Space_Science/Venus_Express/Venus_Express_gets_ready_to_take_the_plunge
Invité- Invité
Je suppose qu'il s'agira de circulariser l'orbite elliptique en LVO (Low Venus Orbit) ... comme quoi si cela réussit pour une fois siMarsSurfaceWanderer a écrit:La sonde Venus Express vit ses derniers moments en orbite.
L'ESA va abaisser l'orbite de la sonde afin d'effectuer des manœuvres d'aérofreinage. Des expériences seront également menées au plus proche de la planète. Venus Express utilise ses dernières réserves d'ergols, il a donc été décidé de précipiter sa fin en vue d'obtenir de l'expérience sur les missions futures qui nécessiteront de l'aérofreinage.
La phase d'aérofreinage aura lieu en juin et juillet, la sonde atteindra alors 130 km voire moins, et il se pourrait qu'elle vide alors complètement ses réserves d'ergols (contrôle d'attitude) ou qu'elle n'y survive pas... Si elle en réchappe, il est estimé que la sonde ne passera pas l'année.
http://www.esa.int/Our_Activities/Space_Science/Venus_Express/Venus_Express_gets_ready_to_take_the_plunge
la technologie de l'aérofreinage s’élèvera ! ;)À niveler par le bas, on ne s'élève guère
Giwa- Donateur
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Pas vraiment, l'ESA n'est pas sûre qu'il y aura une orbite finale (la sonde survivra-t-elle ?). Cependant, pendant la phase entre juin et juillet, il y aura effectivement une tendance à une circularisation de l'orbite (250 km x 66 000 km au début de la mission d'après Wikipédia - je me souviens que le périastre avait été (temporairement) abaissé à 180 km il y a quelques années).Giwa a écrit:Je suppose qu'il s'agira de circulariser l'orbite elliptique en LVO (Low Venus Orbit)
Invité- Invité
Effectivement l'aérofreinage se fait dans la zone du périastre ce qui permet de descendre progressivement l'apoastre et pour que la sonde puisse rester en orbite, il faudrait qu'il y ait encore assez d'ergols pour pouvoir faire cesser l’aérofreinage en relevant ce périastre (qui d'ailleurs descend de plus en plus ce qui amplifie l'aérofreinage jusqu'à le rendre irréversible si on n'intervient pas à temps)MarsSurfaceWanderer a écrit:Pas vraiment, l'ESA n'est pas sûre qu'il y aura une orbite finale (la sonde survivra-t-elle ?). Cependant, pendant la phase entre juin et juillet, il y aura effectivement une tendance à une circularisation de l'orbite (250 km x 66 000 km au début de la mission d'après Wikipédia - je me souviens que le périastre avait été (temporairement) abaissé à 180 km il y a quelques années).Giwa a écrit:Je suppose qu'il s'agira de circulariser l'orbite elliptique en LVO (Low Venus Orbit)
Cela serait possible si on pouvait encore vers l'apoastre redonner une poussée afin de relever le périastre suffisamment.
En théorie , ce n'est pas impossible, mais les manœuvres seraient très délicates et demanderait d'avoir conserver assez de propergols pour assurer le delta V nécessaire à cet ré-hausse;
Giwa- Donateur
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Sur la vidéo de l'ESA (certes orientée "public" et donc relativement peu précise), la sonde ne semble pas utiliser ses propulseurs pour s'extraire de l'atmosphère (cependant l'article de l'ESA dit que la sonde pourrait ne plus avoir d'ergols au sortir de l'aérofreinage, je pensais que la consommation provenait exclusivement du contrôle d'attitude de la sonde, qui ne peut pas "deviner" l'exercice qu'on lui fait endurer).Giwa a écrit:Effectivement l'aérofreinage se fait dans la zone du périastre ce qui permet de descendre progressivement l'apoastre et pour que la sonde puisse rester en orbite, il faudrait qu'il y ait encore assez d'ergols pour pouvoir faire cesser l’aérofreinage en relevant ce périastre (qui d'ailleurs descend de plus en plus ce qui amplifie l'aérofreinage jusqu'à le rendre irréversible si on n'intervient pas à temps)
Cela serait possible si on pouvait encore vers l'apoastre redonner une poussée afin de relever le périastre suffisamment.
En théorie , ce n'est pas impossible, mais les manœuvres seraient très délicates et demanderait d'avoir conserver assez de propergols pour assurer le delta V nécessaire à cet ré-hausse;
Est-il possible de "traverser tangentiellement" l'atmosphère, c'est-à-dire d'y entrer et d'en sortir de façon quasi-longiligne (évidemment ce n'est pas le cas en réalité, à cause de la densité atmosphérique) ? Auquel cas l'utilisation d'un propulseur pour s'extraire de l'atmosphèren'est plus nécessaire puisqu'il n'y a qu'à attendre que la traversée soit teminée... ? L'atmosphère a cette altitude est-elle capable de "capturer" la sonde en l'empêchant de sortir "naturellement" de l'atmosphère ?
Invité- Invité
Ressortir des couches plus denses de l’atmosphère est possible sur une orbite "elliptique " (en première approximation) sans propulsion si cet aérofreinage au voisinage du périastre est faible ; mais le problème est qu'après avoir remonté jusqu'à son apoastre, la sonde retournera de nouveau à son périastre où l’aérofreinage reprendra encore plus fortement et au bout de quelques révolutions, l'aérofreinage deviendra trop intense pour que la sonde puisse s'extraire de nouveau des couches plus denses.
Pour arrêter ce processus, il serait nécessaire au voisinage de l'apoastre de fournir un delta V pour empêcher la sonde de retourner sur un périastre trop bas, mais effectivement comme tu le dis cette sonde ne doit pas en avoir les moyens si ces propulseurs très faibles ne font que contrôler l’attitude.
Pour arrêter ce processus, il serait nécessaire au voisinage de l'apoastre de fournir un delta V pour empêcher la sonde de retourner sur un périastre trop bas, mais effectivement comme tu le dis cette sonde ne doit pas en avoir les moyens si ces propulseurs très faibles ne font que contrôler l’attitude.
Giwa- Donateur
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Age : 81
Localisation : Draguignan
Exact, effectivement il paraît logique que la sonde revienne dans l'atmosphère au même point lors de l'orbite suivante.Giwa a écrit:Ressortir des couches plus denses de l’atmosphère est possible sur une orbite "elliptique " (en première approximation) sans propulsion si cet aérofreinage au voisinage du périastre est faible ; mais le problème est qu'après avoir remonté jusqu'à son apoastre, la sonde retournera de nouveau à son périastre où l’aérofreinage reprendra encore plus fortement et au bout de quelques révolutions, l'aérofreinage deviendra trop intense pour que la sonde puisse s'extraire de nouveau des couches plus denses.
Pour arrêter ce processus, il serait nécessaire au voisinage de l'apoastre de fournir un delta V pour empêcher la sonde de retourner sur un périastre trop bas, mais effectivement comme tu le dis cette sonde ne doit pas en avoir les moyens si ces propulseurs très faibles ne font que contrôler l’attitude.
Invité- Invité
article de sciences et avenir
lien http://www.sciencesetavenir.fr/espace/20140519.OBS7662/la-sonde-venus-express-prete-pour-sa-mission-suicide.html?cm_mmc=EMV-_-SEA-_-20140519_NLSEAACTU-_-la-sonde-venus-express-prete-pour-sa-mission-suicide#xtor=EPR-6-[ActuSciences17h]-20140519
lien http://www.sciencesetavenir.fr/espace/20140519.OBS7662/la-sonde-venus-express-prete-pour-sa-mission-suicide.html?cm_mmc=EMV-_-SEA-_-20140519_NLSEAACTU-_-la-sonde-venus-express-prete-pour-sa-mission-suicide#xtor=EPR-6-[ActuSciences17h]-20140519
grysor- Messages : 3316
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Age : 52
Localisation : bretagne rennes
Première orbite d'aérofreinage : http://blogs.esa.int/rocketscience/2014/05/20/first-aerobraking-orbit-update-at-1617-cest
Statut de la puissance bord (les panneaux solaires, qui servent d'aérofreins, ne sont plus orientés vers le Soleil, ce qui implique une attention particulière portée à la puissance consommée et une utilisation de deux instruments seulement) : http://blogs.esa.int/rocketscience/2014/05/23/venus-express-on-board-power-update
L'équipe à Darmstadt pendant l'aérofreinage : http://blogs.esa.int/rocketscience/2014/06/03/venus-express-team-during-first-aerobraking-mode-orbit
La densité atmosphérique serait plus élevée que prévu. Comme annoncé auparavant, l'erreur d'estimation d'ergols à bord (30 %) fait que l'on ne sait pas si l'on reverra la sonde après chaque aérofreinage.
Statut de la puissance bord (les panneaux solaires, qui servent d'aérofreins, ne sont plus orientés vers le Soleil, ce qui implique une attention particulière portée à la puissance consommée et une utilisation de deux instruments seulement) : http://blogs.esa.int/rocketscience/2014/05/23/venus-express-on-board-power-update
L'équipe à Darmstadt pendant l'aérofreinage : http://blogs.esa.int/rocketscience/2014/06/03/venus-express-team-during-first-aerobraking-mode-orbit
La densité atmosphérique serait plus élevée que prévu. Comme annoncé auparavant, l'erreur d'estimation d'ergols à bord (30 %) fait que l'on ne sait pas si l'on reverra la sonde après chaque aérofreinage.
Invité- Invité
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