[BD] 1989, Opération Wanagi
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Merci pour cette nouvelle planche.
Vignette en bas à gauche j'écrirais "Et nous putain ?!" au lieu de "Et nous p.... ?!"
La situation critique du cosmonaute excusera amplement ses grossièretés
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J'ai aussi regardé pour la balade sans scaphandre de notre ami à la surface de Titan : le pression y est de 1.47 bars soit l'équivalent d'une plongée à 5 mètre sous l'eau. D'ailleurs son scaphandre ne paraît pas sous pression donc il devait déjà y être soumis, et au pire à part un pincement aux tympans ca ne lui fera rien de mal... s'il ne respire pas.
L'atmosphère de Titan étant composée de 95% d'azote et de 5% de méthane (inodore, incolore et non toxique) sa paraît jouable cette escapade au frais surtout qu'il ne se retrouve pas nu mais en sous-combinaison. Par comparaison les cryothérapies en vogue se font à -150°C en maillot de bain avec des chaussons et des gants.
Pour ses yeux la cornée risque de commencer à geler, bien qu'il n'y ait pas de vent, pas grave car ses cellules se renouvelles en permanence donc on plissant les yeux ça devrait passer et sa vue reviendra vite une fois au chaud.
L'atmosphère de Titan étant composée de 95% d'azote et de 5% de méthane (inodore, incolore et non toxique) sa paraît jouable cette escapade au frais surtout qu'il ne se retrouve pas nu mais en sous-combinaison. Par comparaison les cryothérapies en vogue se font à -150°C en maillot de bain avec des chaussons et des gants.
Pour ses yeux la cornée risque de commencer à geler, bien qu'il n'y ait pas de vent, pas grave car ses cellules se renouvelles en permanence donc on plissant les yeux ça devrait passer et sa vue reviendra vite une fois au chaud.
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Merci, ça me rassure dans mes réflexions. J'essaie de rester aussi réaliste que possible, même si l'histoire n'est pas vraiment plausible. Mais bon, nous sommes dans l'univers de la bande dessinée, tout est possible après tout.
Je ne vais pas publier les deux prochaines planches. Il s'agit simplement d'un rêve de Sergueï qui ne se déroule pas sur Titan. De plus, elles pourraient révéler quelques éléments de l'intrigue. Pour ceux qui ne peuvent pas attendre la publication de l'album prévue dans environ un an, je peux les envoyer en message privé. Les prochaines planches se déroulant sur Titan seront mises en ligne après mi-janvier, dès qu'elles seront terminées. Je vais mettre mon crayon (électronique) de côté pour m'occuper de mes petits-enfants à plein temps, ce qui est beaucoup plus exigeant que de créer une bande dessinée.
salut, sa faisais longtemps que je n'était pas intervenu (3 semaines a tester un habitat spatial dans un milieu froid, donc on est dans le thème ). Mais bien sur je vais continuer a chipoté.
chapitre 10:6 : "egalisation de pression", pourquoi ne pas pressurisé l'habitat a 1,5bar a 12% d'oxygène? j'ai pas vérifier dans la littérature , mais sur le principe, c'est l'équivalent de 5m de profondeur en mer, donc vivable a long terme. sa limiterais les contraintes sur la structure (ok, pendant le voyage le module tiendra 1bar en inflation, la c'est que 0,5bar mais en compression) et simplifierais les procédures dans le sas. même par principe, se serais mieux d'être en surpression pour évité que dans le sas le méthane se mélange a l'air respirable avec de l'oxygène. De plus, a 1,5bar on ne peu pas vraiment dire qu'on réduit le volume d'oxygène, on réduit plutôt la proposition pour garder une pression partiel constante.
chapitre 10:7 : la chute me parais assez violente sachant qu'on est a 1/7 de g. Sur le principe, le problème de glissement est quasi indépendant de la valeur absolu de la force mais de ca direction. Donc même a faible poids il est possible de glissé, mais la chute se ferais au ralenti, bien assez pour se rattrapé sur les balustrades.
chapitre 10:6 : "egalisation de pression", pourquoi ne pas pressurisé l'habitat a 1,5bar a 12% d'oxygène? j'ai pas vérifier dans la littérature , mais sur le principe, c'est l'équivalent de 5m de profondeur en mer, donc vivable a long terme. sa limiterais les contraintes sur la structure (ok, pendant le voyage le module tiendra 1bar en inflation, la c'est que 0,5bar mais en compression) et simplifierais les procédures dans le sas. même par principe, se serais mieux d'être en surpression pour évité que dans le sas le méthane se mélange a l'air respirable avec de l'oxygène. De plus, a 1,5bar on ne peu pas vraiment dire qu'on réduit le volume d'oxygène, on réduit plutôt la proposition pour garder une pression partiel constante.
chapitre 10:7 : la chute me parais assez violente sachant qu'on est a 1/7 de g. Sur le principe, le problème de glissement est quasi indépendant de la valeur absolu de la force mais de ca direction. Donc même a faible poids il est possible de glissé, mais la chute se ferais au ralenti, bien assez pour se rattrapé sur les balustrades.
Pertinent! J’y avais pensé concernant les pressions. Soit j’enlève « égalisation de pression » soit je suppose que MAKHA n’a pas modifié son système de survie prévu sur le module dérivé de la station Ops-Tks soviétique et reste sur 1 atmosphère d’où l’égalisation de pression. J’y réfléchirai.
Concernant la chute, je me suis fait plaisir. Tout à fait d’accord que c’est exagéré… Mais la dynamique est là.
Concernant la chute, je me suis fait plaisir. Tout à fait d’accord que c’est exagéré… Mais la dynamique est là.
Je souhaiterais intégrer une parenthèse. À l'issue du récit, je prévois d'ajouter un appendice où les vaisseaux spatiaux et autres éléments tels que la combinaison « titanienne » et l'hélicoptère, qui jouent un rôle dans l'histoire, seront détaillés dans des fiches techniques détaillées afin de conférer à la BD un aspect le plus « réaliste » possible. Les trajectoires, la position des astres et les variations de ∆V seront également pris en considération dans la mesure du possible. Avant la publication de l'album, j'aurai donc besoin de votre expertise pour rectifier toute inexactitude majeure.
Ce scénario, contrairement au précédent qui devait se conformer à la réalité historique, me donne carte blanche pour l'imaginaire et même pour l'absurde. Toutefois, pour maintenir un certain ancrage dans le réel, je souhaite conserver un degré de réalisme dans les aspects techniques.
Ce scénario, contrairement au précédent qui devait se conformer à la réalité historique, me donne carte blanche pour l'imaginaire et même pour l'absurde. Toutefois, pour maintenir un certain ancrage dans le réel, je souhaite conserver un degré de réalisme dans les aspects techniques.
salut
pas grand chose a dire mais des petites remarque rapide:
-le module qui bascule, il aurais pu s'en rendre compte depuis l'interieur (sol pas droit, objet qui roule, objet suspendu penché).
-pour la meteo titanien, je sais pas s'il peut y avoir des episodes de neige ou de brouillard (vu sont dynamisme sa ne m'etonnerais pas) et generalement , dans se genre de milieu (base polaire, refuge de montagne) il y a des mains courante (cable tendu sur des poteaux) entre les diffrentes point d'interet (habitat, central electique, hangar a vehicule) afin de ne pas se perdre en cas de sortie dans la tempete. Sinon il y a la technique pompier avec leur fil a boule "31/13" (pour entré dans les milieux enfumé, tu t'attache a une corde ayant une boule isolé, un espace et trois boule regroupé, ainsi si un collegue viens te cherché, il aura 1 boule puis 3 boule =13 il se dirige vers le danger, et dans l'autre sense 3 boule puis 1 boule= 31 securité, il vas vers l'entré) . Donc a la place de notre chere astonaute, j'aurais pris un cable tendu depuis l'habitat pour etre sur de pas me perdre, mais bon, c'est peut etre pas voulu dans le senario.
Pour la partie explication technique, se serais un plaisir de t'aider.
phenix a écrit:
-le module qui bascule, il aurais pu s'en rendre compte depuis l'interieur (sol pas droit, objet qui roule, objet suspendu penché).
On aussi peut considérer que le module commence juste à s'enfoncer. Avant, il était seulement légèrement penché mais sans bouger.
_________________
Blog sur le suivi du développement d'Orion
J'apprécie beaucoup tes commentaires, ça montre que tu t'intéresses à l'histoire. J'ai pensé aussi que la sensation de l'inclinaison du module devait être ressentie de l'intérieur. Peut-être que dans un environnement avec moins de gravité, la sensation est moins évidente ? Ou comme tu dis le module ne fait que s'enfoncer. Par contre il va se passer quelque chose à MAKHA plus tard. Mais je ne veux pas révéler l'intrigue. Sergueï a été un peu téméraire en se déplaçant en surface sans aide. Il va l'admettre lors de la prochaine planche. La neige est apparue à cause d'un cryovolcan. Les détails seront expliqués dans une des pages suivantes. Concernant le brouillard, c'est pour ajouter du piquant à l'histoire. Est-ce qu'il peut y en avoir ? C'est une question de saturation de liquide dans l'atmosphère en fonction de la température : eau, hydrocarbures ? Je serais ravi de te demander conseil sur les points techniques avant de publier. Pour l'instant, le but est d'éviter les erreurs flagrantes pour pouvoir rectifier les dessins. De ma part j'ajoute et j'admet que la combinaison "titanienne" est un peu simpliste mais cela facilite le dessin et la progression de la BD.
Excellent ! Et malheureusement réaliste...
Pour le brouillard titanien, c'est une supposition très raisonnable. D'une part il y a les clichés de Huygens qui montrent une atténuation certaine dans la distance (on appelle ça le tau, il me semble) et d'autre part il y a déjà un max de nuages dans l’atmosphère, alors pourquoi pas au ras du sol...
Un détail que l'on retrouve rarement en SF mais qui peut avoir son importance —j'y pense à l'instant— : la condensation à l'extérieur du casque et de la visière ! Vu le différentiel de température, j'imagine qu'il pourrait y avoir synthèse de toutes sortes de molécules hydrocarbonées et azotées, peut-être même opaques ! Des coulures sales, donc, voire une opacification plus ou moins progressive et très handicapante. Il y a une vieille nouvelle de SF lunaire où deux astronautes se baladent au fond du cratère Platon, et sont surpris par les propriétés électrostatiques de la poussière à cet endroit. (Dust Rag -chiffon à poussière- de Hal Clement)
Continuez l'excellent boulot !
Pour le brouillard titanien, c'est une supposition très raisonnable. D'une part il y a les clichés de Huygens qui montrent une atténuation certaine dans la distance (on appelle ça le tau, il me semble) et d'autre part il y a déjà un max de nuages dans l’atmosphère, alors pourquoi pas au ras du sol...
Un détail que l'on retrouve rarement en SF mais qui peut avoir son importance —j'y pense à l'instant— : la condensation à l'extérieur du casque et de la visière ! Vu le différentiel de température, j'imagine qu'il pourrait y avoir synthèse de toutes sortes de molécules hydrocarbonées et azotées, peut-être même opaques ! Des coulures sales, donc, voire une opacification plus ou moins progressive et très handicapante. Il y a une vieille nouvelle de SF lunaire où deux astronautes se baladent au fond du cratère Platon, et sont surpris par les propriétés électrostatiques de la poussière à cet endroit. (Dust Rag -chiffon à poussière- de Hal Clement)
Continuez l'excellent boulot !
Avant d'entamer le prochain chapitre, J'aurais aimé avoir vos observations sur l'hélicoptère "titanien". Le dessein consiste à élaborer un modèle d'hélicoptère aisément montable et susceptible d'être logé à bord d'un vaisseau spatial. Il convient de rappeler que le récit se situe durant les années 80, antérieurement à l'avènement des quadroptères commandés par une électronique miniaturisée.
Je me suis réapproprié un projet qu'au début des années 70, j'avais "conçu", portant sur un hélicoptère pendulaire s'inspirant d'une aile delta. C'est en visionnant une vidéo sur YouTube il y a une décennie que j'ai pris conscience que mon concept n'était pas entièrement dépourvu de sens (cf. Helitrike1).
L'idée présentée est celle d'un hélicoptère électrique alimenté par des batteries rechargées entre deux vols grâce à un générateur à isotopes. Les mouvements de tangage et de roulis seraient pilotés par le déplacement du pilote par rapport au centre de gravité, tandis que la rotation serait contrôlée par la rotation du pilote et la translation verticale par la puissance du moteur. Le choix d'employer deux monopales a été fait pour simplifier la stabilité des pales en réduisant les vibrations (?). Un problème majeur identifié réside dans l'effet gyroscopique lors des changements de direction. Les pales, de dimension réduite, offrent un profil adapté à une rotation lente (peut-être limitant ainsi l'impact gyroscopique) ou peut-être aussi pour provoquer le lecteur. En somme, il s'agit d'une fiction où l'imagination demeure souveraine.
Je me suis réapproprié un projet qu'au début des années 70, j'avais "conçu", portant sur un hélicoptère pendulaire s'inspirant d'une aile delta. C'est en visionnant une vidéo sur YouTube il y a une décennie que j'ai pris conscience que mon concept n'était pas entièrement dépourvu de sens (cf. Helitrike1).
L'idée présentée est celle d'un hélicoptère électrique alimenté par des batteries rechargées entre deux vols grâce à un générateur à isotopes. Les mouvements de tangage et de roulis seraient pilotés par le déplacement du pilote par rapport au centre de gravité, tandis que la rotation serait contrôlée par la rotation du pilote et la translation verticale par la puissance du moteur. Le choix d'employer deux monopales a été fait pour simplifier la stabilité des pales en réduisant les vibrations (?). Un problème majeur identifié réside dans l'effet gyroscopique lors des changements de direction. Les pales, de dimension réduite, offrent un profil adapté à une rotation lente (peut-être limitant ainsi l'impact gyroscopique) ou peut-être aussi pour provoquer le lecteur. En somme, il s'agit d'une fiction où l'imagination demeure souveraine.
Déjà sympa l’idée d’un helico pendulaire. Il y a quelque année, j’avais imaginé un concept de « treuil sans hélico ». En gros le pilote porte un baudrier auquel est attaché un crochet, comme s’il était treuillé par un hélicoptère, mais au lieu d’un câble, il accroche au croché du bloc moteur (4 turbines de modélisme) qui souffle dans les pales d’un contrarotatif (voir hélicoptère djinn). Pas d’embiellage, pas de contrôle de pas (une augmentation de la puissance fait augmenter la vitesse de rotation donc la portance, cependant à haute vitesse sa deviens compliqué). L’opérateur penche le bloc moteur rotor (son centre de gravité est sous le bloc car il est attaché au baudrier.wettnic a écrit:Avant d'entamer le prochain chapitre, J'aurais aimé avoir vos observations sur l'hélicoptère "titanien". Le dessein consiste à élaborer un modèle d'hélicoptère aisément montable et susceptible d'être logé à bord d'un vaisseau spatial. Il convient de rappeler que le récit se situe durant les années 80, antérieurement à l'avènement des quadroptères commandés par une électronique miniaturisée.
Je me suis réapproprié un projet qu'au début des années 70, j'avais "conçu", portant sur un hélicoptère pendulaire s'inspirant d'une aile delta. C'est en visionnant une vidéo sur YouTube il y a une décennie que j'ai pris conscience que mon concept n'était pas entièrement dépourvu de sens (cf. Helitrike1).
L'idée présentée est celle d'un hélicoptère électrique alimenté par des batteries rechargées entre deux vols grâce à un générateur à isotopes. Les mouvements de tangage et de roulis seraient pilotés par le déplacement du pilote par rapport au centre de gravité, tandis que la rotation serait contrôlée par la rotation du pilote et la translation verticale par la puissance du moteur. Le choix d'employer deux monopales a été fait pour simplifier la stabilité des pales en réduisant les vibrations (?). Un problème majeur identifié réside dans l'effet gyroscopique lors des changements de direction. Les pales, de dimension réduite, offrent un profil adapté à une rotation lente (peut-être limitant ainsi l'impact gyroscopique) ou peut-être aussi pour provoquer le lecteur. En somme, il s'agit d'une fiction où l'imagination demeure souveraine.
Dans ton système, je ne vois pas très bien comment marche le contrôle en lacet. En stationnaire, si tu tour ton bloc rotor de 20° vers la gauche, ton hélico va pointer vers la droite (disons 20°) mais ton triangle de contrôle va rester à 40° dans tes mains, si tu le remets droit tu vas revenir dans la direction d’origine. Je vois 4 solutions :
-tu a un petit empênage a l’arrière, si tu le place sous le disque rotor et que tu place une gouverne horizontalement sous la poutre de queue, tu auras qu’a penché à gauche ou a droit pour crée du lacet (mais sa vas aussi te faire cabre et potentiellement un peu de roulier qu’il faudra compenser avec ton triangle de commande).
-tu installe une rotation entre ton triangle de contrôle et ton bloc moteur/rotor, ainsi tu peux faire tourner ton rotor autant que tu veux autour de son axe sans avoir ton triangle de travers.
-tu installe une roue a inertie dans l’axe de ton rotor. Quand tu la fais tourner dans un sens, tout ton hélicoptère tour dans l’autre sens et quand tu arrêtes la rotation de la roue, ton helico s’arrêté de tourné.
- (solution que j’avais choisi pour mon treuil sans helico) des palettes (aerofrein) sur chaque pale. Si tu veux tourner dans un sens, tu ouvre les palettes sur le rotor tourant dans l’autre sens, augmentant la trainé, son couple va devenir supérieur au couple de l’autre rotor et l’hélicoptère vas tourner.
Pour le monopale, tu parle bien d’une seule pale d’un coté et un contre poids de l’autre ? j’ai découvert que les Allemands avait testé ça au début de la guerre froide. Résultat…. Regardez le nombre d’hélicoptère monopale dans le monde (en théorie 0, en pratique il y a bien un gars qui la bricolé dans son garage). sur le papier c’est bien, car la pale est très peu perturbé par le sillage de la pale de devant (vue que la pale de devant c’est elle-même, il y a le temps d’un tour complet pour évacuer les turbulences) donc se serait intéressant pour les très grande pale (grand disque rotor) supportant une faible masse (grand disque+ charge= faible vitesse de passage de l’air) et tournant rapidement (bon sa deviens un peut contradictoire, on peut retrouver un peut se cas avec une éolienne cherchant les basses vitesse de vent)
Déjà, le contre poids c’est bien à l’arrêt, mais quand le rotor entre en rotation, la force centrifuge n’est plus du tout la même, en gros si tu place un contre poids a 10cm l’axe rotor en face d’une pale de 2m, il faut que le contre poids soit 10 fois plus lourds que la pale pour compenser la force centrifuge (bref, se serais moins lourd de remplacer le contre poids par une autres pales).
Ensuite, quand le rotor est en rotation… c’est pire. On a qu’un seul centre de portance (le point sur lequel repose virtuellement toute la masse de l’helico) situer au 2/3 de la longueur de la pale, donc loin du centre rotor, et il tourne…. donc l’helico vas penché a chaque rotation, et en plus la tainé deviens non compensé, donc en gros, ce c’est par le rotor qui vas tourné autour d’un axe fixe défini par l’hélicoptère, c’est l’hélicoptère est la pale qui vont tourné autour d’un axe diffèrent de l’axe rotor. Bref niveau, si le rotor tourne lentement, il basculera avant même d’avoir fait un tour. S’il tourne vite, hélicoptère vas vibrer comme pas possible. Si on tourne très (très très …) vite et qu’on introduit de la souplesse dans l’arbre rotor (qui vas vivre un vrai martyr) peut être que ça peut marcher.
Si on est sur un cas à double rotor monopale contrarotatif (jamais entendu parler d’un tel projet), déjà faut prévoir que 50% des inger meca vont se tirer une balle en voyant qu’on doit avoir un arbre contrarotatif (donc l’arbre du rotor supérieur passe dans l’arbre du rotor supérieur) tout en offrant beaucoup de souplesse a chaque arbre (donc les roulements vont devoir absorber deux déformation contradictoire…). Après, si les deux pales se croise à l’avant et a l’arrière, le fait qu’elle soit en opposition sur les coté fait que tu n’auras pas (moins) de mouvement latéral, cependant le mouvement avant -arrière vas être amplifier. De plus, l’un des coté cool du contrarotatif se retour contre nous. En effet, chaque pale vas faire tourné l’air autour d’elle dans sont sens et lorsque ce flux vas percuté l’autre pale, sela vas virtuellement augmenté ça vitesse donc sa portances, donc on vas atteindre un maximum de portance quand les deux pales sont du même coté, donc centre de portance le plus décalé de l’axe de rotation. Bref, avec ça, james bond aura sont martine au shecker. Si tu veut vraiment garder des rotor monopale contrat rotatif(même si je vois pas de raison technique de le justifier) tout en gardant du réalisme (après c’est pas une obligation) il faudrait des pales tournant très vide et un rotor monté sur rail amorte permettent d’avancé/reculé très vite a une frequence identique au rotor.
Tu a des donnée chiffré ? masse, longueur des pales, vitesse de rotation , puissance du RTG ? j’aimerais calculé les perfo.
Je suis d’accord que le monopale est une mauvaise idée. Il existe je crois un hélicoptère dont le rotor de queue est une monopale. Effectivement avec un pas fixe il y a un problème avec le contre poids. Je vais passer en bipale.
Le lacet est créé par rotation de l’empennage induisant une force latérale asymétrique. Le pilote étant attaché par une suspente à une poulie horizontale au centre de gravité en pivotant sur la gauche ou la droite induira un lacet tout en gardant ses mains sur le trapèze. Pour Titan, je n’ai rien calculé. Pour la version terrestre, j’avais fait des calculs sommaires que je n’ai plus. Pour autant que je me souvienne, un moteur deux temps de 50 centimètres cube devait suffire.
Le lacet est créé par rotation de l’empennage induisant une force latérale asymétrique. Le pilote étant attaché par une suspente à une poulie horizontale au centre de gravité en pivotant sur la gauche ou la droite induira un lacet tout en gardant ses mains sur le trapèze. Pour Titan, je n’ai rien calculé. Pour la version terrestre, j’avais fait des calculs sommaires que je n’ai plus. Pour autant que je me souvienne, un moteur deux temps de 50 centimètres cube devait suffire.
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