VASIMR - Le moteur plasmique
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Firnas2 a écrit:Merci Henri pour ces explications. Si le retour va durer quarante jours comme pour l'aller, est ce que la configuration des positions relatives des planètes oblige un séjour obligatoire sur Mars ? Et de combien de mois (un, deux ou plusieurs ?) autrement dit une mission de 6 mois, en tout, pour Mars avec le VASIMR est elle envisageable ?Henri a écrit: Le scénario est inversé pour le retour...
Je viens de voir ta question et y réponds un peu tard... Ne pas hésiter à me contacter en message perso si je loupe une question qui m'est adressée (il m'arrive de ne pas aller sur le forum pendant plusieurs jours de suite).
La propulsion VASIMR privilégie des missions courtes sur Mars (quelques dizaines de jours avec aller-retour sur la même conjonction). Pour des missions plus longues, on se retrouve de nouveau dans la fourchettes des 26 mois... Il faut de nouveau attendre la prochaine conjonction de Mars et de la Terre. Maintenant un aller sur la conjonction et un retour sur l'opposition devraient être jouable, il faudrait demander à lambda0 qui a plus l'habitude de jongler avec la mécanique céleste que moi.
La propulsion VASIMR privilégie des missions courtes sur Mars (quelques dizaines de jours avec aller-retour sur la même conjonction). Pour des missions plus longues, on se retrouve de nouveau dans la fourchettes des 26 mois... Il faut de nouveau attendre la prochaine conjonction de Mars et de la Terre. Maintenant un aller sur la conjonction et un retour sur l'opposition devraient être jouable, il faudrait demander à lambda0 qui a plus l'habitude de jongler avec la mécanique céleste que moi.
Dernière édition par Henri le Jeu 9 Juil 2009 - 1:47, édité 1 fois
...un premier test sur l'ISS en 2012, intéressant, ça se rapproche...Steph a écrit:Ad Astra a testé avec succès le premier étage (la partie électro-magnétique supraconductrice) de son moteur VX-200, à une puissance de 30 kW.
Des tests du second étage débuteront à partir du 14 juillet pour une puissance totale de 200 kW.
http://www.adastrarocket.com/Release%20020709.pdf
http://www.aviationweek.com/aw/generic/story_channel.jsp?channel=space&id=news/Vassie070709.xml
_________________
Les fous ouvrent les voies qu'empruntent ensuite les sages. (Carlo Dossi)
Il devrait y avoir des articles intéressants présentés à IEPC 2009 (20-24 septembre 2009), mais comme la date de clôture de présentation des résumés était au 15 mai, ce sera plutôt sur le VX200i (mais date limite pour les articles finaux au 1er septembre...)
lambda0- Messages : 4879
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Tests in Houston used a low-temperature superconducting magnet manufactured by Scientific Magnetics of the U.K. Designed for a nominal operating temperature of minus 268 degrees C., the unit boosted the magnetic field in the company's VX-200i test rig tenfold over that delivered by a temporary water-cooled magnet, permitting the full-power test of the rocket's first stage.
En résumé :
Ces essais à Houston ont utilisé un aimant supraconducteur à basse température construit par Scientific Magnetics ( société anglaise)conçu pour une température de fonctionnement nominale -268 °C ce qui a permis d’amplifier le champ magnétique de dix fois par rapport à celle d’un aimant refroidi à l'eau permettant l'essai à pleine puissance du première étage.
Conclusion : c’est vraiment une étape capitale qui vient d’être franchie :
Utilisation de l’hélium liquide pour le refroidissement d’un aimant supraconducteur délivrant un champ magnétique très puissant pour le confinement du plasma.
En résumé :
Ces essais à Houston ont utilisé un aimant supraconducteur à basse température construit par Scientific Magnetics ( société anglaise)conçu pour une température de fonctionnement nominale -268 °C ce qui a permis d’amplifier le champ magnétique de dix fois par rapport à celle d’un aimant refroidi à l'eau permettant l'essai à pleine puissance du première étage.
Conclusion : c’est vraiment une étape capitale qui vient d’être franchie :
Utilisation de l’hélium liquide pour le refroidissement d’un aimant supraconducteur délivrant un champ magnétique très puissant pour le confinement du plasma.
Giwa- Donateur
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Giwa a écrit:Tests in Houston used a low-temperature superconducting magnet manufactured by Scientific Magnetics of the U.K. Designed for a nominal operating temperature of minus 268 degrees C., the unit boosted the magnetic field in the company's VX-200i test rig tenfold over that delivered by a temporary water-cooled magnet, permitting the full-power test of the rocket's first stage.
En résumé :
Ces essais à Houston ont utilisé un aimant supraconducteur à basse température construit par Scientific Magnetics ( société anglaise)conçu pour une température de fonctionnement nominale -268 °C ce qui a permis d’amplifier le champ magnétique de dix fois par rapport à celle d’un aimant refroidi à l'eau permettant l'essai à pleine puissance du première étage.
Conclusion : c’est vraiment une étape capitale qui vient d’être franchie :
Utilisation de l’hélium liquide pour le refroidissement d’un aimant supraconducteur délivrant un champ magnétique très puissant pour le confinement du plasma.
J'étais en train de parfaire ma culture en lisant des articles sur la Z-machine et je tombe sur ton post au sujet de Vasimir et du test d'amplification du champ
magnétique, si j'osais je dirais "majic" disons à la place fantastique.
Je suis toujours avec intérêt ce fil.
Commentaire de Charlie Bolden, nouvel administrateur de la NASA, lors de son audition : "Franklin Chang Diaz est mon idole, avec son VASIMR qui nous emmènera sur Mars en 39 jours" ;)
http://www.nasawatch.com/archives/2009/07/franklins_warp.html
http://www.nasawatch.com/archives/2009/07/franklins_warp.html
Invité- Invité
Ce n’est pas grave Henri, la constante de temps pour ces nouvelles technologie se chiffre en dizaine voire vingtaine ou trentaine d’années «Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage (La Fontaine, Le Lion et le Rat) » . Et puis j’étais agréablement surpris qu’un sujet initié le 19 Décembre 2008 comme, la membrane solaire - tapis volant, rentre en hibernation pour six mois et puis se réveille brusquement le 1 Juillet 2009 avec beaucoup de science et de poésie sous l'impulsion de nouveaux brillants forumeurs.Henri a écrit:Je viens de voir ta question et y réponds un peu tard...
Henri a écrit:...quelques dizaines de jours avec aller-retour sur la même conjonction...
Giwa a écrit:
Conclusion : c’est vraiment une étape capitale qui vient d’être franchie
Astro-notes a écrit:...fantastique.
Avant de me mettre à rêver qu’un voyage vers mars en 90 jours (40+10+40) est désormais possible (avec un poète parmi l’équipage), avez-vous des scenarios, ça sera pour quand?
- une dizaine d’années
- une vingtaine d’années
- une trentaine d’années
- plus que ça
:drunken:
Firnas2- Messages : 2416
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On ne fait qu'appliquer la même méthode que nos sondes interplanétaires au long cours :) L'hybernation !Firnas2 a écrit: Et puis j’étais agréablement surpris qu’un sujet initié le 19 Décembre 2008 comme, la membrane solaire - tapis volant, rentre en hibernation pour six mois et puis se réveille brusquement le 1 Juillet 2009 avec beaucoup de science et de poésie sous l'impulsion de nouveaux brillants forumeurs.
Giwa- Donateur
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Bonjour Giwa,Giwa a écrit:On ne fait qu'appliquer la même méthode que nos sondes interplanétaires au long cours :) L'hybernation !Firnas2 a écrit: Et puis j’étais agréablement surpris qu’un sujet initié le 19 Décembre 2008 comme, la membrane solaire - tapis volant, rentre en hibernation pour six mois et puis se réveille brusquement le 1 Juillet 2009 avec beaucoup de science et de poésie sous l'impulsion de nouveaux brillants forumeurs.
Attention, ils vont te dire : «hybernation, n'est ni dans le Robert, ni dans le Petit Larousse...»
De toutes les façons, le problème du VASIMR est plus facile à résoudre que la multitudes des sources dans les mille et une nuits.
:lol!:
Firnas2- Messages : 2416
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:oops: Merci Firnas 2 pour la détection de ce i grec qui n'avait rien à faire dans ce mot qui dérive du latin hibernare ;)Firnas2 a écrit:Bonjour Giwa,Giwa a écrit:On ne fait qu'appliquer la même méthode que nos sondes interplanétaires au long cours :) L'hybernation !Firnas2 a écrit: Et puis j’étais agréablement surpris qu’un sujet initié le 19 Décembre 2008 comme, la membrane solaire - tapis volant, rentre en hibernation pour six mois et puis se réveille brusquement le 1 Juillet 2009 avec beaucoup de science et de poésie sous l'impulsion de nouveaux brillants forumeurs.
Attention, ils vont te dire : «hybernation, n'est ni dans le Robert, ni dans le Petit Larousse...»
De toutes les façons, le problème du VASIMR est plus facile à résoudre que la multitudes des sources dans les mille et une nuits.
:lol!:
Giwa- Donateur
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Il y a quelques vidéos de cet essai à l'adresse :
http://www.onorbit.com/node/1276
Je vous mets 2 des 4 vidéos :
http://www.onorbit.com/node/1276
Je vous mets 2 des 4 vidéos :
Invité- Invité
Il y a au plus quelques Newtons sur toute la section du faisceau, donc sur un fil ça doit en effet être très faible.Skyboy a écrit:Dis-donc, ça a pas l'air de pousser très fort ! À voir les fils de l'appareil de mesure qui ne bougent même pas !
D'autre part, si on est très proche de la sortie, encore dans le champ magnétique de la tuyère, les trajectoires des particules ne sont pas encore complètement dépliées sur l'axe, et la poussée axiale pas encore maximale.
lambda0- Messages : 4879
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Une image qui montre à quoi ressemblera le Vasimr VX-200 qui sera installé sur ISS et où il sera installé :
DeepField- Messages : 1023
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Age : 34
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Va falloir faire gaffe à l'orientation, histoire de ne pas risquer d'envoyer trop d'ions énergétiques vers les panneaux solaires, le faisceau a quand même une certaine divergence.
lambda0- Messages : 4879
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Age : 57
Localisation : Nord, France
C'est vrai que la géométrie de l'ISS ne facilite pas le montage d'un VASIMR... Il ne faut ni abimer la station avec le moteur, ni exercer une poussée asymétrique...
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Les fous ouvrent les voies qu'empruntent ensuite les sages. (Carlo Dossi)
Bonsoir,DeepField a écrit:Une image qui montre à quoi ressemblera le Vasimr VX-200 qui sera installé sur ISS et où il sera installé :
J'ai 2 questions :
1) Pourquoi l'utiliser avec l'ISS ? On peut le tester en LEO sans le fixer à l'ISS, non ? (hum, je crois que je viens de poser une question bête ...)
2) Quel système énergétique l'accompagnera ?
A+,
Argyre
Argyre- Messages : 3397
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Age : 58
Localisation : sud-ouest
moi je voit une reponse: le mettre sur l'iss a l'avantage de lui aporter directement l'energie des grand panneaux solaires, de plus, au lieu de pousser rien dans le vide, ca reausserai l'orbite d'iss. Et puis, je pense, pourquoi permetre un retour de materiel sur terre pour faire diverses analyse non ?
yoann- Messages : 5781
Inscrit le : 31/01/2007
Age : 39
Localisation : indre et loire
Le montage sur l'ISS a des avantages et introduit aussi quelques complications.
Avantages (déjà cités, je résume):
- utilisation des panneaux solaires de l'ISS comme source d'énergie
Les tests de moteurs plasmiques sont habituellement réalisés sur des engins indépendants, mais il s'agit de faible puissance, quelques kW. Pour des puissances plus élevées, il peut être avantageux de profiter d'une centrale plus puissante déjà en orbite, celle de l'ISS
- possibilités d'intervention
- accessoirement, contribution au rehaussement de l'orbite de l'ISS
Nécessite beaucoup moins de propulsif que la méthode classique, grâce à l'Isp élevée
Inconvénients :
- attention à l'interaction des ions avec le reste du vaisseau (érosion)
- CEM (compatibilité électromagnétique)
Ces inconvénients sont connus, il y a actuellement dans l'espace des dizaines d'engins spatiaux utilisant des moteurs plasmiques, et la conception implique toujours une étude des interactions des moteurs avec le reste de l'engin.
A+
Avantages (déjà cités, je résume):
- utilisation des panneaux solaires de l'ISS comme source d'énergie
Les tests de moteurs plasmiques sont habituellement réalisés sur des engins indépendants, mais il s'agit de faible puissance, quelques kW. Pour des puissances plus élevées, il peut être avantageux de profiter d'une centrale plus puissante déjà en orbite, celle de l'ISS
- possibilités d'intervention
- accessoirement, contribution au rehaussement de l'orbite de l'ISS
Nécessite beaucoup moins de propulsif que la méthode classique, grâce à l'Isp élevée
Inconvénients :
- attention à l'interaction des ions avec le reste du vaisseau (érosion)
- CEM (compatibilité électromagnétique)
Ces inconvénients sont connus, il y a actuellement dans l'espace des dizaines d'engins spatiaux utilisant des moteurs plasmiques, et la conception implique toujours une étude des interactions des moteurs avec le reste de l'engin.
A+
lambda0- Messages : 4879
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Age : 57
Localisation : Nord, France
Justement c'est bien pour cela qu'il y aurait intérêt à le tester sur l'ISS pour maitriser ces inconvénients puisque de tels moteurs devront pouvoir s'adapter à des vaisseaux spatiaux habités et non seulement à des sondes inhabitées.lambda0 a écrit:
Inconvénients :
- attention à l'interaction des ions avec le reste du vaisseau (érosion)
- CEM (compatibilité électromagnétique)
Ces inconvénients sont connus, il y a actuellement dans l'espace des dizaines d'engins spatiaux utilisant des moteurs plasmiques, et la conception implique toujours une étude des interactions des moteurs avec le reste de l'engin.
A+
Giwa- Donateur
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Age : 81
Localisation : Draguignan
lambda0 a écrit:Le montage sur l'ISS a des avantages et introduit aussi quelques complications.
Avantages (déjà cités, je résume):
- utilisation des panneaux solaires de l'ISS comme source d'énergie
Les tests de moteurs plasmiques sont habituellement réalisés sur des engins indépendants, mais il s'agit de faible puissance, quelques kW. Pour des puissances plus élevées, il peut être avantageux de profiter d'une centrale plus puissante déjà en orbite, celle de l'ISS
- possibilités d'intervention
- accessoirement, contribution au rehaussement de l'orbite de l'ISS
Nécessite beaucoup moins de propulsif que la méthode classique, grâce à l'Isp élevée
Inconvénients :
- attention à l'interaction des ions avec le reste du vaisseau (érosion)
- CEM (compatibilité électromagnétique)
Ces inconvénients sont connus, il y a actuellement dans l'espace des dizaines d'engins spatiaux utilisant des moteurs plasmiques, et la conception implique toujours une étude des interactions des moteurs avec le reste de l'engin.
A+
Ok.
Je suis néanmoins surpris du "accessoirement, contribution au rehaussement de l'orbite". Ca me paraissait être une raison fondamentale (d'où le fait que je pensais que ma question était "bête").
Sinon, concernant l'utilisation des panneaux solaires de l'ISS, c'est vrai que c'est un +, mais je suppose que leur dimensionnement est étroitement lié aux besoins actuels. Autrement dit, on ne peut pas les utiliser à pleine puissance uniquement pour le VASIMR ou alors uniquement pendant quelques minutes, ce qui ne facilite pas le rehaussement d'orbite. De plus, l'ISS n'étant pas sur une orbite équatoriale, on perd un peu de CU à y aller et à établir le rdv. Hors ISS, on aurait donc un peu plus de CU ... qui pourrait être dédiée à des panneaux solaires. Si on ajoute à cela qu'il y aura des fusées qui vont amener du ravitaillement à l'ISS pour maintenir les conditions de vie au moins jusqu'à cette fameuse expérience, fusées qui pourraient donc être utilisées pour amener d'autres panneaux solaires au VASIMR ... on peut sérieusement se demander si on gagne à faire ce test sur l'ISS, non ?
A+,
Argyre
Argyre- Messages : 3397
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Localisation : sud-ouest
C'est une expérience parmi d'autres, on ne maintient pas l'ISS uniquement pour le Vasimr...Argyre a écrit:
Ok.
Je suis néanmoins surpris du "accessoirement, contribution au rehaussement de l'orbite". Ca me paraissait être une raison fondamentale (d'où le fait que je pensais que ma question était "bête").
...
on peut sérieusement se demander si on gagne à faire ce test sur l'ISS, non ?
Il est tout à fait possible qu'il soit finalement plus intéressant de lancer un engin indépendant, après analyse, mais on y perd quand même quelques possibilités de mesures et d'interventions directes.
Peut-être bien qu'il y a aussi un petit intérêt politique (montrer que l'ISS est utile comme plate-forme technologique).
Sinon, comme alternative, on pourrait par exemple penser à un petit "tug" lunaire de 50 kW, puisque c'est l'une des applications envisagées pour le Vasimr.
Pour ce qui est du rehaussement d'orbite, je le vois comme un bénéfice annexe, au moins dans un premier temps, surtout qu'il s'agit d'un prototype, qui par définition peut ne pas fonctionner comme espéré.
La finalité est surtout de tester le moteur dans l'espace, dans un vrai vide.
A+
lambda0- Messages : 4879
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Age : 57
Localisation : Nord, France
C'est vrai qu'en TUG lunaire ou géostationnaire, la propulsion VASIMR alimentée par panneaux solaires pourrait rendre de grands services et constituer un puissant motif de développement de sources électronucléaires pour l'utilisation du VASIMR en interplanétaire.
_________________
Les fous ouvrent les voies qu'empruntent ensuite les sages. (Carlo Dossi)
^^^J'ai trouvé une page sur le site d'AdAstra rocket qui montre les différentes types de missions possibles avec un VASIMR.
http://www.adastrarocket.com/missions.html
Il y a notamment la possibilité de réhauser l'orbite d'une station, les sondes interplanétaires,...
http://www.adastrarocket.com/missions.html
Il y a notamment la possibilité de réhauser l'orbite d'une station, les sondes interplanétaires,...
DeepField- Messages : 1023
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Localisation : Colombes (92)
A surveiller de près suite aux problèmes de boulons explosifs des Soyouz ...lambda0 a écrit:- CEM (compatibilité électromagnétique)
Invité- Invité
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