Annonce sur le futur du programme spatial américain
Page 24 sur 41
Page 24 sur 41 • 1 ... 13 ... 23, 24, 25 ... 32 ... 41
Désolé, mais je ne crois pas l'avenir du tourner en rond pour tourner en rond.
Spirit- Messages : 314
Inscrit le : 24/01/2010
mais on tourne en rond autour de la Terre, qu'on soit en orbite terrestre ou autour de la Lune; on tourne en rond autour du soleil quand on va partout ailleurs dans le système solaire.
Un voyage spatial tourne toujours en rond quelque part !
Un voyage spatial tourne toujours en rond quelque part !
Franchement les gars, relisez-vous, ya quelque chose qui tourne pas rond dans vos raisonnements !
pougatchev- Messages : 88
Inscrit le : 04/01/2009
Age : 71 Localisation : Nantes
Pougatchev, ce n'est pas la première fois que tu es désagréable de la sorte.
A mon tour de te dire de te relire et de montrer plus de respect envers les membres de ce forum.
edit : et je précise, inutile de répondre à la provocation de Pougatchev, retour au sujet.
A mon tour de te dire de te relire et de montrer plus de respect envers les membres de ce forum.
edit : et je précise, inutile de répondre à la provocation de Pougatchev, retour au sujet.
Dernière édition par Steph le Dim 14 Mar 2010 - 17:37, édité 2 fois
Invité- Invité
Raoul a dit:
Bien entendu, mais ici je faisais allusion au tourner en rond autour de la Terre, ce que nous faisons depuis 40 ans. Si la seule motivation de faire des ronds autour de la Terre est d'assurer une présence humaine dans l'espace, j'ai des doutes sur l'avenir du vol habité.
mais on tourne en rond autour de la Terre, qu'on soit en orbite terrestre ou autour de la Lune; on tourne en rond autour du soleil quand on va partout ailleurs dans le système solaire.
Bien entendu, mais ici je faisais allusion au tourner en rond autour de la Terre, ce que nous faisons depuis 40 ans. Si la seule motivation de faire des ronds autour de la Terre est d'assurer une présence humaine dans l'espace, j'ai des doutes sur l'avenir du vol habité.
Spirit- Messages : 314
Inscrit le : 24/01/2010
Age : 77
Localisation : Strasbourg
Spirit a écrit:
Bien entendu, mais ici je faisais allusion au tourner en rond autour de la Terre, ce que nous faisons depuis 40 ans. Si la seule motivation de faire des ronds autour de la Terre est d'assurer une présence humaine dans l'espace, j'ai des doutes sur l'avenir du vol habité.
Ce que nous savons faire avec les technologies actuelles, c'est effectivement de tourner en rond autour de la Terre.
- comme tu le dis en LEO .... avec un cordon ombilical permanent avec la planète-mère (MIR, ISS)
- éventuellement à 300 000 km sur notre satellite ... et toujours la nécessité du cordon ombilical avec des ravitaillements pour le support vie, et probablement des difficultés avec les protections des astronautes (donc missions courtes)
Pour aller au-delà, voyager longtemps, assurer un support-vie efficace pour des années coupés de la Terre .... on ne sait pas faire ...
Si on essaye malgré tout de bâtir des scénarios, ils sont très complexes, très chers, et la mise en danger des équipages est telle qu'aucune agence spatiale n'acceptera de se lancer là-dedans.
Ce constat est difficile à avaler pour certains .... mais si on ne le fait pas ... qu'on ne l'assume pas .... et qu'on tourne le dos à des perspectives nouvelles (même si il faut accepter le délai de R&D et pas d'assurance absolue qu'on trouve) alors effectivement ... le futur des voyages habités longs restera un Graal inaccessible pour fort longtemps.
montmein69- Donateur
- Messages : 20962
Inscrit le : 01/10/2005
Age : 73
Localisation : région lyonnaise
montmein69 a dit:
En fait ce qui est difficile à avaler (disons à accepter), c’est pourquoi ce qui paraissait réalisable il y a une quarantaine d’années dans des délais très courts, ne l’est plus du tout aujourd’hui, malgré les formidables progrès accomplis. On était beaucoup plus optimiste dans les années 60. Alors naïveté ou intox ???
Les plus jeunes ne réalisent pas l'importance de ce basculement.
Ce que nous savons faire avec les technologies actuelles, c'est effectivement de tourner en rond autour de la Terre.
- comme tu le dis en LEO .... avec un cordon ombilical permanent avec la planète-mère (MIR, ISS)
- éventuellement à 300 000 km sur notre satellite ... et toujours la nécessité du cordon ombilical avec des ravitaillements pour le support vie, et probablement des difficultés avec les protections des astronautes (donc missions courtes)
Pour aller au-delà, voyager longtemps, assurer un support-vie efficace pour des années coupés de la Terre .... on ne sait pas faire ...
Ce constat est difficile à avaler pour certains .... mais si on ne le fait pas ... qu'on ne l'assume pas .... et qu'on tourne le dos à des perspectives nouvelles (même si il faut accepter le délai de R&D et pas d'assurance absolue qu'on trouve) alors effectivement ... le futur des voyages habités longs restera un Graal inaccessible pour fort longtemps.
En fait ce qui est difficile à avaler (disons à accepter), c’est pourquoi ce qui paraissait réalisable il y a une quarantaine d’années dans des délais très courts, ne l’est plus du tout aujourd’hui, malgré les formidables progrès accomplis. On était beaucoup plus optimiste dans les années 60. Alors naïveté ou intox ???
Les plus jeunes ne réalisent pas l'importance de ce basculement.
Spirit- Messages : 314
Inscrit le : 24/01/2010
Age : 77
Localisation : Strasbourg
N'oublie pas que la NASA ne cherche pas à rééditer Apollo, les USA ne sont plus intéressés par une mission "flag and footprints" sur la Lune, ça a déjà été fait.Spirit a écrit:En fait ce qui est difficile à avaler (disons à accepter), c’est pourquoi ce qui paraissait réalisable il y a une quarantaine d’années dans des délais très courts, ne l’est plus du tout aujourd’hui, malgré les formidables progrès accomplis. On était beaucoup plus optimiste dans les années 60. Alors naïveté ou intox ???
Les plus jeunes ne réalisent pas l'importance de ce basculement.
Dans les missions envisagées aujourd'hui, on parle de 75 tonnes envoyés en TLI (à comparer aux 45 à 50 tonnes du temps d'Apollo), quatre astronautes sur le sol lunaire (contre deux + un en orbite), pour un temps de présence d'une semaine à six mois (contre un à trois jours).
Invité- Invité
Steph a dit :
Ce que je sous-entendais dans ma dernière intervention c’est que, dans les années soixante, les Américains avaient des ambitions qui dépassaient très largement le cadre d’Apollo. Apollo ne devait pas être une fin en soi mais le début d’une conquête.
Étaient à l’étude : des véhicules lunaires (le Molab), des bases lunaires (L.I.L.= Laboratoire International Lunaire) et on songeait déjà à l’exploitation de notre satellite naturel. Parallèlement les Américains envisageaient de développer une navette et une grosse station spatiale permanente (avec rotation artificielle comme pour le projet de North American Rockwell). De nombreux essais de mini-navettes (lifting bodies) avaient été effectués (X20, X24, SV5), sans oublier ceux de l'avion-fusée X15. A l’étude aussi le Dyna Soar. Comme si cela ne suffisait pas les Américains ambitionnaient d’aller sur Mars. Aussi avaient-ils engagé des recherches très poussées sur la propulsion atomique (projets Kiwi, Phoebus, Nerva…), sur la propulsion électrique, sur les systèmes écologiques clos, sur les générateurs radio-isotopiques, etc…
Une activité débordante, tout azimuts, une R&D ultra-dynamique, car à l’époque on voulait tout faire à la fois. Des projets grandioses, futuristes, (que je n'ai pas pu tous citer) et dans des délais à couper le souffle.
La station spatiale permanente: fin des années 70, en même temps que la navette.
La base lunaire: dans les années 80, vers la même époque que la première mission martienne.
L'abandon du programme Apollo a cassé une formidable dynamique.
Comme je l’ai dit précédemment, aujourd'hui, les plus jeunes ne réalisent pas l'importance de ce basculement. Alors, que faut-il retenir de tous ces projets mirobolants? Avaient-ils vraiment des chances d'aboutir si le budget de la NASA avait été maintenu à son plus haut niveau? Pêchait-on plutôt par naïveté ou bien s'agissait-il d'intox ??? La question reste ouverte.
Merci mais je suis parfaitement renseigné sur le programme Constellation. Je me suis mal fait comprendre.N'oublie pas que la NASA ne cherche pas à rééditer Apollo, les USA ne sont plus intéressés par une mission "flag and footprints" sur la Lune, ça a déjà été fait.
Dans les missions envisagées aujourd'hui, on parle de 75 tonnes envoyés en TLI (à comparer aux 45 à 50 tonnes du temps d'Apollo), quatre astronautes sur le sol lunaire (contre deux + un en orbite), pour un temps de présence d'une semaine à six mois (contre un à trois jours).
Ce que je sous-entendais dans ma dernière intervention c’est que, dans les années soixante, les Américains avaient des ambitions qui dépassaient très largement le cadre d’Apollo. Apollo ne devait pas être une fin en soi mais le début d’une conquête.
Étaient à l’étude : des véhicules lunaires (le Molab), des bases lunaires (L.I.L.= Laboratoire International Lunaire) et on songeait déjà à l’exploitation de notre satellite naturel. Parallèlement les Américains envisageaient de développer une navette et une grosse station spatiale permanente (avec rotation artificielle comme pour le projet de North American Rockwell). De nombreux essais de mini-navettes (lifting bodies) avaient été effectués (X20, X24, SV5), sans oublier ceux de l'avion-fusée X15. A l’étude aussi le Dyna Soar. Comme si cela ne suffisait pas les Américains ambitionnaient d’aller sur Mars. Aussi avaient-ils engagé des recherches très poussées sur la propulsion atomique (projets Kiwi, Phoebus, Nerva…), sur la propulsion électrique, sur les systèmes écologiques clos, sur les générateurs radio-isotopiques, etc…
Une activité débordante, tout azimuts, une R&D ultra-dynamique, car à l’époque on voulait tout faire à la fois. Des projets grandioses, futuristes, (que je n'ai pas pu tous citer) et dans des délais à couper le souffle.
La station spatiale permanente: fin des années 70, en même temps que la navette.
La base lunaire: dans les années 80, vers la même époque que la première mission martienne.
L'abandon du programme Apollo a cassé une formidable dynamique.
Comme je l’ai dit précédemment, aujourd'hui, les plus jeunes ne réalisent pas l'importance de ce basculement. Alors, que faut-il retenir de tous ces projets mirobolants? Avaient-ils vraiment des chances d'aboutir si le budget de la NASA avait été maintenu à son plus haut niveau? Pêchait-on plutôt par naïveté ou bien s'agissait-il d'intox ??? La question reste ouverte.
Spirit- Messages : 314
Inscrit le : 24/01/2010
Age : 77
Localisation : Strasbourg
Dans les années soixante, les Américains n'avaient pas une dette public abyssale...Spirit a écrit:Ce que je sous-entendais dans ma dernière intervention c’est que, dans les années soixante, les Américains avaient des ambitions qui dépassaient très largement le cadre d’Apollo.
Tout est possible. Tout. Ce n'est qu'une question d'argent.
soa- Messages : 644
Inscrit le : 12/05/2009
Age : 104
Localisation : *
ah!!!!!!!!!si l'argent n'existait pas, et si tout le monde oeuvrait pour la gloire, un défi, un destin commun..............ok, je rêve 8-) 8-) 8-)
normal à cette heure :sleep: :sleep: :sleep:
normal à cette heure :sleep: :sleep: :sleep:
tatiana13- Messages : 6102
Inscrit le : 25/06/2009
Age : 74
Localisation : galaxie
http://cartoons.courrierinternational.com/dessin/2010/02/04/la-lune-ou-rien
Fan de Ducrocq- Messages : 3282
Inscrit le : 11/12/2009
Age : 73
Localisation : Lorient - Morbihan - Bretagne - France - Europe
http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/labandon-de-constellation-inquiete-de-nombreux-parlementaires-americains_22998/
Barack Obama souhaite mettre à contribution le secteur privé et internationaliser l’exploration. Ce nouveau paradigmes’appuie sur le monde universitaire des Etats-Unis et le développement de nouvelles technologies mais aussi sur l’absence de feuille de route. Aucun objectif n'est imposé autre que celui, ultime, de l'exploration de Mars. Le Président américain fait le pari que de nouveaux objectifs se matérialiseront d’eux-mêmes à mesure que les Etats-Unis se doteront de nouvelles capacités technologiques capables de rendre le voyage spatial plus sûr et plus simple.
Ce choix plonge de nombreux parlementaires de tous bords dans l’expectative. Leur crainte est que les Etats-Unis perdent leur rang de première puissance spatiale au profit de la Chine, voire de la Russie. Ils sont 15 députés (10 démocrates et 5 républicains), la plupart du Texas et de la Floride, où se situe une grande partie de l’industrie spatiale, à demander à l’administrateur de la Nasa Charles Bolden, de mettre sur pied rapidement une commission en charge de passer en revue toutes les solutions pour réaliser les objectifs du programme Constellations dans les limites du budget proposé par la Maison Blanche.
Barack Obama souhaite mettre à contribution le secteur privé et internationaliser l’exploration. Ce nouveau paradigmes’appuie sur le monde universitaire des Etats-Unis et le développement de nouvelles technologies mais aussi sur l’absence de feuille de route. Aucun objectif n'est imposé autre que celui, ultime, de l'exploration de Mars. Le Président américain fait le pari que de nouveaux objectifs se matérialiseront d’eux-mêmes à mesure que les Etats-Unis se doteront de nouvelles capacités technologiques capables de rendre le voyage spatial plus sûr et plus simple.
Ce choix plonge de nombreux parlementaires de tous bords dans l’expectative. Leur crainte est que les Etats-Unis perdent leur rang de première puissance spatiale au profit de la Chine, voire de la Russie. Ils sont 15 députés (10 démocrates et 5 républicains), la plupart du Texas et de la Floride, où se situe une grande partie de l’industrie spatiale, à demander à l’administrateur de la Nasa Charles Bolden, de mettre sur pied rapidement une commission en charge de passer en revue toutes les solutions pour réaliser les objectifs du programme Constellations dans les limites du budget proposé par la Maison Blanche.
Doc- Messages : 1591
Inscrit le : 14/03/2010
Age : 38
Localisation : Basse-normandie
En tout cas, ce qui fait figure de Une sur le portail Yahoo France là tout de suite, c'est cela...le futur programme US :megalol: :blbl:
Article de Maxisciences
Article de Maxisciences
Invité- Invité
Déjà discuté ici : https://astronautique.actifforum.com/autres-sujets-f28/l-amour-dans-l-espace-t2736.htm?highlight=amour
Intéressant.
Intéressant.
Fan de Ducrocq- Messages : 3282
Inscrit le : 11/12/2009
Age : 73
Localisation : Lorient - Morbihan - Bretagne - France - Europe
Tu as parfaitement raison, il y a eu un basculement d'ordre psychologique.Spirit a écrit:L'abandon du programme Apollo a cassé une formidable dynamique.
Comme je l’ai dit précédemment, aujourd'hui, les plus jeunes ne réalisent pas l'importance de ce basculement. Alors, que faut-il retenir de tous ces projets mirobolants? Avaient-ils vraiment des chances d'aboutir si le budget de la NASA avait été maintenu à son plus haut niveau? Pêchait-on plutôt par naïveté ou bien s'agissait-il d'intox ??? La question reste ouverte.
De plus, juste après Apollo les projets étaient devenus extrêmement ambitieux et donc très chers à mettre en oeuvre (par exemple le projet de mission vers Mars de Von Braun avec 2 énormes fusées de 6 personnes). On peut donc comprendre leur annulation. Mais le comble, c'est qu'on veut maintenant retourner sur la Lune ou aller vers Mars avec 2 fois moins de charge utile et une longue expérience du support de vie longue durée (Mir + ISS) et qu'on trouve que c'est encore trop complexe et trop cher, alors qu'il y a grosso modo un zéro en moins à aligner et qu'on se retrouve sur des budgets annuels du même ordre qu'Apollo, voire moins puisque étalés sur 15 à 20 ans au lieu de 8.
Ce basculement conduit de nombreux jeunes (y compris les jeunes spécialistes du spatial) à penser que c'est infaisable, trop dangereux, trop cher, que sais-je encore, alors qu'en 1969 l'état d'esprit des jeunes, spécialistes ou pas, était totalement différent.
Toujours et encore, je persiste à croire qu'il n'y a qu'une seule grande décision politique à prendre pour que la conquête spatiale reparte de plus belle. Il faut juste un visionnaire, un seul, mais avec un pouvoir politique à sa mesure.
A+,
Argyre
Argyre- Messages : 3397
Inscrit le : 31/01/2006
Age : 58
Localisation : sud-ouest
Argyre a dit:
Merci. C'est tout à fait l'idée que j'essayais de faire passer.
Tu as parfaitement raison, il y a eu un basculement d'ordre psychologique.
De plus, juste après Apollo les projets étaient devenus extrêmement ambitieux et donc très chers à mettre en oeuvre (par exemple le projet de mission vers Mars de Von Braun avec 2 énormes fusées de 6 personnes). On peut donc comprendre leur annulation. Mais le comble, c'est qu'on veut maintenant retourner sur la Lune ou aller vers Mars avec 2 fois moins de charge utile et une longue expérience du support de vie longue durée (Mir + ISS) et qu'on trouve que c'est encore trop complexe et trop cher, alors qu'il y a grosso modo un zéro en moins à aligner et qu'on se retrouve sur des budgets annuels du même ordre qu'Apollo, voire moins puisque étalés sur 15 à 20 ans au lieu de 8.
Ce basculement conduit de nombreux jeunes (y compris les jeunes spécialistes du spatial) à penser que c'est infaisable, trop dangereux, trop cher, que sais-je encore, alors qu'en 1969 l'état d'esprit des jeunes, spécialistes ou pas, était totalement différent.
Toujours et encore, je persiste à croire qu'il n'y a qu'une seule grande décision politique à prendre pour que la conquête spatiale reparte de plus belle. Il faut juste un visionnaire, un seul, mais avec un pouvoir politique à sa mesure.
Merci. C'est tout à fait l'idée que j'essayais de faire passer.
Spirit- Messages : 314
Inscrit le : 24/01/2010
Age : 77
Localisation : Strasbourg
http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/post-frontiere/
J'ai eu la chance de pouvoir écouter cette émission. Ce que je retiens de cette émission c'est la volonté d'exploiter au mieux l'ISS, d'intensifier la R&D et l'observation de la Terre, de développer des missions robotiques, de développer la coopération internationale, de créér une Haute autorité pour réguler toutes les activités spatiales. En ce qui concerne les vols habités c'est le flou pour l'après ISS. Roger-Maurice Bonnet mise sur une synergie au niveau international. J'espère seulement que cette synergie n'accouchera pas d'une souris avec un train de retard.
J'ai eu la chance de pouvoir écouter cette émission. Ce que je retiens de cette émission c'est la volonté d'exploiter au mieux l'ISS, d'intensifier la R&D et l'observation de la Terre, de développer des missions robotiques, de développer la coopération internationale, de créér une Haute autorité pour réguler toutes les activités spatiales. En ce qui concerne les vols habités c'est le flou pour l'après ISS. Roger-Maurice Bonnet mise sur une synergie au niveau international. J'espère seulement que cette synergie n'accouchera pas d'une souris avec un train de retard.
Spirit- Messages : 314
Inscrit le : 24/01/2010
Age : 77
Localisation : Strasbourg
J'ai oublié de préciser le sujet de l'émission: Les politiques d’exploration spatiale (émission de France Culture, lundi 15 mars 2010)
Intervenants:
Roger-Maurice Bonnet. directeur de l'ISSI, (institut international des sciences de l’espace), à Bern
Isabelle Sourbès-Verger. expert indépendant, membre du centre Alexandre Koyré. spécialiste de la politique spatiale de la chine.
Intervenants:
Roger-Maurice Bonnet. directeur de l'ISSI, (institut international des sciences de l’espace), à Bern
Isabelle Sourbès-Verger. expert indépendant, membre du centre Alexandre Koyré. spécialiste de la politique spatiale de la chine.
Spirit- Messages : 314
Inscrit le : 24/01/2010
Age : 77
Localisation : Strasbourg
spirit a écrit: de créér une Haute autorité pour réguler toutes les activités spatiales
sans trop dériver du sujet, ceci est le souhait suite aux ambitions du code de bonne conduite et pour faire face aux collisions et responsabilités émanant du domaine spatial?
cette vision est-elle désormais partager par l'ensemble des pays?
sans trop dériver du sujet, ceci est le souhait suite aux ambitions du code de bonne conduite et pour faire face aux collisions et responsabilités émanant du domaine spatial?
cette vision est-elle désormais partager par l'ensemble des pays?
tatiana13- Messages : 6102
Inscrit le : 25/06/2009
Age : 74
Localisation : galaxie
Selon Keith Cowing, Air Force One se poserait directement à Cape Canaveral.Ripley a écrit:Obama passera en Floride le 15 avril pour un sommet sur l'espace
http://nasawatch.com/archives/2010/03/florida-space-s.html
Invité- Invité
http://www.enjoyspace.com/fr/breves/la-station-vise-2028
http://www.esa.int/esaCP/SEMLMN9KF6G_index_0.html
La station jusqu'en 2028 soit 30 ans d'exploitation. Le double de Mir.
http://www.esa.int/esaCP/SEMLMN9KF6G_index_0.html
Le 11 mars 2010, les chefs des agences partenaires de la Station Spatiale Internationale se sont réunis à Tokyo au Japon (photo ci-dessus). Ceux-ci ont bien évidemment réaffirmé l’importance de son exploitation future étant donné que son assemblage est bientôt terminé et que les équipages permanents (les Expéditions) comptent désormais 6 astronautes. La NASA, Roscosmos, l’ESA, la JAXA et l’ASC souhaitent également certifier les éléments sur orbite au-delà de 2020 afin de continuer à utiliser la Station jusqu’en 2028.
La station jusqu'en 2028 soit 30 ans d'exploitation. Le double de Mir.
Spirit- Messages : 314
Inscrit le : 24/01/2010
Age : 77
Localisation : Strasbourg
http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/labandon-de-constellation-inquiete-de-nombreux-parlementaires-americains_22998/#xtor=RSS-19
Une politique qui signe un recul des ambitions américaines dans l’exploration
Devant ce projet s’appuyant sur le secteur privé pour assurer le transport des astronautes dans l’espace, on peut se demander s’il ne s’agit pas d’un moyen déguisé de repousser aux calendes grecques le retour des Etats-Unis dans l’exploration. La question de l’utilité des vols habités et des programmes spatiaux dont la durée dépasse de loin l'horizon politique de leurs décideurs refait surface et d’aucuns se demandent à quoi cela sert d’autant que cela coûte très cher. Aujourd’hui, il est raisonnable de penser que si Mars est le prochain monde à conquérir, le Système solaire ne sera pas réellement colonisable tant que le coût de lancement n'aura pas été divisé par un facteur 10, voire 100. D'ici là, on continuera de faire ce qu'on fait actuellement, c'est-à-dire offrir à des astronautes des tours en orbite basse qui n'apportent quasiment rien. Il est à craindre que pendant plusieurs décennies on demeure incapable d’explorer au-delà de Mars de sorte que l’on peut se demander si la Planète rouge n’est pas une fin en soi.
Spirit- Messages : 314
Inscrit le : 24/01/2010
Age : 77
Localisation : Strasbourg
http://www.planete-mars.com/agenda/index.php?id=891
Est-ce que quelqu'un à l'occasion d'assister à cette conférence? Cela m'intéresserais d'avoir un retour.
Une seconde conquête de la Lune sans les Américains ?
A l'occasion de son Assemblée Générale Ordinaire, Planète Mars propose une conférence par Philippe Coué, chargé de mission dans le secteur spatial, auteur, spécialiste du spatial chinois
samedi 20 mars 2010, à 16 heures
maison des associations du 14e arrondissement 22 rue Deparcieux, Paris 14e (M° Gaîté)
Alors que les Etats-Unis ont renoncé à la Lune, les puissances asiatiques nourrissent encore de grandes ambitions. La Chine et l'Inde souhaitent encore poursuivre l'exploration automatique de notre satellite naturel par des missions habitées. Dans cette histoire, la Russie pourrait encore jouer le rôle d'arbitre en s'impliquant dans ces programmes. Cette intervention tentera aussi de démontrer que l'absence des USA dans l'exploration habitée du Système solaire n'est que provisoire.
Est-ce que quelqu'un à l'occasion d'assister à cette conférence? Cela m'intéresserais d'avoir un retour.
Spirit- Messages : 314
Inscrit le : 24/01/2010
Age : 77
Localisation : Strasbourg
Futura-sciences a écrit:... de sorte que l’on peut se demander si la Planète rouge n’est pas une fin en soi.
Cette phrase me parait absurde. Si Mars est colonisée, l'accès à l'espace sera grandement facilité ... à partir de Mars. C'est comme si sur Terre on parvenait à diviser par 100 les coûts des voyages spatiaux. Et donc, contrairement à ce qui est dit, si on s'installe sur Mars, c'est tout le système solaire qui devient à portée de vol spatial habité.
A+,
Argyre
Argyre- Messages : 3397
Inscrit le : 31/01/2006
Age : 58
Localisation : sud-ouest
Page 24 sur 41 • 1 ... 13 ... 23, 24, 25 ... 32 ... 41
Sujets similaires
» Futur programme spatial américain
» Futur programme spatial américain
» Budget et projets alternatifs du temps d'Apollo
» vidéo diaporama NASA
» Spatial militaire américain
» Futur programme spatial américain
» Budget et projets alternatifs du temps d'Apollo
» vidéo diaporama NASA
» Spatial militaire américain
Page 24 sur 41
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum